Mon premier est Anaë
Mon second est Sacha
Mon troisième est Erika
Mon quatrième est Samuel
Mon cinquième est Soren
Mon tout est … une Nanie comblée 😀
Mon premier est Anaë
Mon second est Sacha
Mon troisième est Erika
Mon quatrième est Samuel
Mon cinquième est Soren
Mon tout est … une Nanie comblée 😀
Dans mon petit nid
Je reprends goût à la vie
Loin de tout confort
Je trouve le réconfort
De ma liberté je jouis
Je découvre des plaisirs enfouis
Je ris autant que je respire
Avec ceux qui me font sourire.
-dimdamdom-
A bientôt vous tous!!!
Et voilà ma Pomponnette qui savoure avec sa maîtresse
des grands moments de liberté, c’est que du bonheur 😀
Aujourd’hui était pour moi un jour important
Aussi beau qu’un jour de printemps
Je reviens d’un long voyage
A bord de mon petit nuage
Je suis allée cueillir quelques fleurs
Pour vous faire un bouquet de bonheur
Un bouquet qu’il vous faudra entretenir
Pour ne pas le laisser mourir
Le printemps c’est douceur
Le printemps c’est couleur
Je vous le souhaite porteur
De toutes ces saveurs.
-dimdamdom-
Merci Denis, Oriane, So Ft, Elisa, Mélina, Bérengère, Silvia, Marie, Isaline, Camille
pour ce que vous m’avez apporté tout au long de cette année, grâce à vous j’ai retrouvé
confiance en moi et ça fait un bien fou 😍
Voici ma dernière participation de la saison chez les Croqueurs de Môts
Je vous retrouve en septembre pour de nouveaux défis
en espérant vous retrouver nombreux 😀
A très bientôt.
Bises amirales.
Dômi.
Pour ce défi 206 chez les Croqueurs de Môts
Asfree nous demande d’imaginer qu’un personnage fictif rencontré
à travers un roman ou un film nous écrive ?
A moins que se soit nous qui ayons quelque chose à lui dire.
Alors voilà, comme je n’ai guère de temps en cette fin de saison
je me suis inspirée d’un ancien défi , j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.
Bonjour Mathieu,
Je pose à l’instant le roman de Clémentine Célarié
dans lequel tu joues le personnage principal.
J’avoue que je me suis empressée d’en commencer la lecture
afin de pouvoir répondre à un défi chez les Croqueurs de Môts
“On s’aimera” ce livre, au titre emprunté à un célèbre chanteur
raconte l’histoire d’une famille engluée dans sa richesse matérielle,
smartphone, écrans divers, et autres symboles du progrès de la technologie
et se retrouve soudain bloquée dans sa luxueuse maison
par une violente tempête de neige ….
Je suis admirative, Mathieu, devant ta détermination
de vouloir réunir cette famille de “geek” complètement à l’Ouest.
Je ne sais encore si tu es parvenu à leur réapprendre à se parler,
à s’écouter, à se regarder, à se toucher, à s’aimer
mais j’apprécie ta persévérance et le ton enjoué que tu as utilisé pour y arriver.
Alors il faut que je te dise pourquoi j’ai choisi cette lecture.
Tout comme toi Mathieu je me retrouve bloquée par une violente tempête dans ma vie.
Avant j’étais engluée dans une ambiance, métro, boulot, dodo, famille,
quand un tsunami a tout fait basculer.
Alors je me suis réfugiée derrière des écrans divers ,
chaque matin je me levais en mettant mes statuts à jour
puis je faisais le tour de mes contacts virtuels.
Après la pause café je commentais le statut ou l’article
de Pierre, Jacques ou Paul, puis voila cool j’avais un nouvel ami.
Avant midi j’allais vite voir si l’un ou l’autre
avait commenté mon dernier article et …. rien.
Je me suis retrouvée désarmée avec le sentiment
que mes amis me délaissaient parce qu’il n’avaient
que faire de mes états d’âme.
Maintenant j’aimerais tant qu’un petit gars comme toi Mathieu
m’aide à retrouver ma vie d’avant .
Du coup, tu vois, je me suis posée quelques questions afin de comprendre
pourquoi je suis tombée dans cet engrenage.
Pour se faire je me suis inspirée d’un article dans un magazine
Que j’ai un peu tourné à ma sauce!!!
Voici ce qu’il nous dit :
Pourquoi sommes nous addicts aux réseaux sociaux et pas que
Simplement, enfin c’est pas si simple,
parce qu’on se façonne une vie parallèle.
On a besoin de reconnaissance,
mais on ne la trouve pas dans la vie réelle.
Alors que sur les réseaux sociaux, blogs y compris
on a l’impression d’être une super star
parce qu’on a des centaines d’amis même des grandes stars
Qu’on ne connait, ni d’Eve, ni d’Adam enfin parfois on les connait
Ce qui m’a valu un coup de gueule un jour sur mon compte privé de FB
On nous tague un peu partout, on réagit à notre statut,
On s’extasie qu’on puisse se lever le matin
Prendre son bain, manger aller aux toilettes …
On nous oblige à aimer et commenter
Ne pas aimer, est une chose impossible
On s’expose sur les photos, de nos vacances, de nos soirées
On expose, nos amours nouveaux ou déchus.
Bref on fait notre People en nous fabricant une image.
Et le comble, c’est qu’on adore ça et on en redemande!!!
On y cherche aussi un psy à moindre coût
On utilise les blogs et les réseaux sociaux comme thérapie.
Ils sont notre confessionnal.
On n’est pas face à la personne à qui l’on se confie.
Il n’y a ni pleurs, ni cris, ni silences, ni regards
Qui en disent long, juste des mots et des smileys.
Et ça fait tellement de bien de “PARLER”
Que finalement, dès qu’il nous arrive le moindre évènement,
On envoie un message à l’un de nos contacts
Et on attend impatiemment derrière son écran une réaction.
D’ailleurs il me tarde de voir vos commentaires 😉
J’aime beaucoup le livre de Clémentine Célarié qui nous ouvre les yeux
sur une virtualité devenu hélas tellement réalité.
Mais où … est-elle?
Que fait-elle
La nouvelle demoiselle
On dit d’elle
Qu’elle vole de ses propres ailes
Du haut de sa nacelle
Elle savoure de façon inconditionnelle
Sa liberté devenue obsessionnelle ….
-dimdamdom-
Voici ma participation au premier jeudi poésie
mené par Asfree pour les Croqueurs de Môts
Tu es restée deux ans sans voix
Maintenant c’est nous que tu laisses sans voix
Avant d’être Maurane tu étais Claudine
Et nous sommes quelques unes à pleurer notre copine.
“L’objet profond de l’artiste est de donner plus qu’il ne possède.”
Tu nous as tant donné …. à commencer par ton amitié .
Un petit ours polaire inquiet demande à son père :
– Papa, suis-je un vrai ours polaire et pourquoi j’aime l’eau?
-Bien sûr mon fils que tu es un ours polaire et tu aimes l’eau parce que
les atomes forment des liens entre eux
en échangeant ou en partageant des électrons.
Ils forment alors une molécule.
Or, le monde étant injuste jusque dans l’infiniment petit,
le partage d’électrons n’est pas toujours équitable…
Certains atomes sont plus électronégatifs que d’autres, c’est-à-dire
qu’ils ont une plus forte capacité à attirer et à conserver les électrons.
Lorsque des atomes partagent des électrons pour former une molécule,
les électrons partagés passent plus de temps avec l’atome le plus électronégatif,
qui les retient davantage…
Donc, l’atome plus électronégatif a une charge partielle négative
puisque les électrons sont plus souvent de son côté.
Donc, l’atome moins électronégatif a une charge partielle positive.
Ce qui veut dire que même dans une molécule électriquement nulle,
on peut apercevoir une polarité.
L’eau, par exemple, est une molécule polaire, et le plus commun des solvants.
Donc, un solvant polaire.
Et les solutés polaires se dissolvent parfaitement dans les solvants polaires.
En toute vraisemblance le petit ours polaire n’a rien pigé compris, je vous rassure moi non plus.
Alors il demande à son père : – Oui mais qu’est-ce qu’un ours polaire ?
-C’est tout simplement un ours cartésien qui a changé de coordonnées…
lui répond son père.
Pas convaincu le petit ours polaire demande à sa mère :
– Maman suis-je un ours polaire ?
– Mais bien sûr petit, tu es un vrai ours polaire. Je suis un vrai ours-polaire
et ton papa est un vrai ours polaire donc, toi qui est notre petit,
tu es un vrai ours polaire! »
Le petit ours polaire, encore inquiet, va voir sa grand-mère mamie
et lui pose la même question. La grand-maman mamie ours polaire lui répond :
– Mais oui, petit nigaud naîf, tu es un vrai ours polaire car je suis un vrai ours polaire et ton
grand-père papy aussi, nos enfants sont de vrais ours polaires et les enfants de nos enfants
sont de vrais ours polaires aussi …mais pourquoi me poses-tu cette question?
Le petit ours polaire lui répond :
– Parce que j’ai froid quand je sors de l’eau !
Voici ma participation au défi 205 pour les Croqueurs de Môts
revue et corrigée, parce que Jazzy avait dit point de G (lipogramme)
sauf pour l’explication du papa .
Allez donc expliquer à un ours cartésien ce qu’est un lipogramme 😉
C’est l’histoire d’un homme qui est né avec trois testicules.
Il s’appelait Ernest.
Toute sa vie durant, le pauvre Ernest
Alimentait un complexe grandissant au sujet du nombre de ses testicules.
À l’école déjà, tous ses petits camarades se payaient quotidiennement sa tête
En l’appelant ‘sapin de Noël’ faisant preuve d’un imaginaire
Surdimentionné en rapport avec sa glande surnuméraire.
Puis l’armée, où les moqueries encore se répètent
En le surnommant “triple bille’.
Son complexe commençait à prendre une importance démesurée.
Pour que son malheur soit complet, les quelques filles à qui il a pu exhiber
Sa particulière anatomie se sont toutes sauvées … vraiment pas sympa les filles!
Ou alors elles s’esclaffaient à tel point qu’elles en souffraient à en faire une hernie.
Au bord du suicide, Ernest décide de consulter des “chats” sur la toile,
Et par pur hasard, sur un forum d’échange classé cinq étoiles
Il lit une personne fort sympathique à qui il explique son souci d’androgénie.
Celui-ci lui recommande d’aller voir un psy
Ernest, étant un peu un cyberplouc sur les bords et ne comprenant pas grand chose
Aux subtilités du net, décide d’aller parler de son anamorphose.
Il va donc voir le psy…
Vous comprenez docteur, avec mes trois testicules, ma vie n’a pas de sens…
Mais bien au contraire jeune homme,
Imaginez-vous la chance que vous avez d’être un surhomme!!!
UNE FOIS ET DEMIE un homme normal!!! lui dit le psy avec beaucoup de bon sens.
Bref, vous êtes un surhomme, c’est fantastique !
Mais c’est vrai ça!’ dit Ernest qui rebondit
En sortant du cabinet sans même dire au revoir au psy..
Quelques mètres plus loin, il monte dans un bus avec la démarche typique
Du super-homme qu’il est, style Aldo Maccione, mais en moins ridicule
Il s’assied à côté d’un monsieur et l’accoste de façon inopportune.
Savez vous monsieur qu’à nous deux nous avons cinq testicules?
Et voilà que le monsieur lui répond d’un air incrédule,
Ah bon? Vous en avez qu’une?
-dimdamdom-
Inutile de vous dire que c’est une petite histoire
Que j’ai trouvée sur le net
Et que j’ai mis en rime pour participer au premier jeudi poésie
mené par Jazzy chez les Croqueurs de Môts, défi 205
sur le thème « le fantastique » en chanson ou en poème ou thème libre.
N’est-il pas fantastique Ernest dans tous les sens du terme 🙂
Un peu loufoque
Parfois plein d’ émoi
C’est aussi moi
Quelques coups de gueule
Ce sont eux qui le veulent
De l’humour
J’en ai eu toujours
Mes amours
Ils sont dans le four
De l’amitié
Je distribue à volonté
De la poésie
C’est juste pour rimer avec zizi
Rien de pire
Que de ne pas sourire
-dimdamdom-
Tout ça pour vous dire merci
d’être toujours là pour me lire
entendre mes peines et mes délires.
Sachez que même si je me fais plus rare
rien ne pourrait m’arrêter de penser à vous,
vous êtes mon leitmotiv dans cette vie parfois difficile.
Hier c’était le 1er Mai, jour de glande nationale,
Comme je suis de nature obéissante, j’ai fait ce qu’on nous demande,
J’ai glandé et pas que ce jour… ça vous l’aurez remarqué 😉
Pour ce second jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts
Zaza nous demandait de poétiser sur le joli moi de mai
Comme je suis fauchée …
A défaut de muguet je vous offre un pavé .
Et moi j’ai profité de celui de la voisine dans le coin de sa fenêtre …
Du muguet pas du pavé 😉
Le plus beau symbole du peuple ……. Le Pavé ….!!!
…. on lui marche dessus jusqu’à ce que vous vous le preniez sur la gueule …!!!
V’la tout d’abord le 1er mai
La jolie fête du saint boulot
Ceux qui en ont baisent toute la journée
Vont à la pêche, lavent leurs autos
Oui, c’est l’ bonheur, c’est les vacances
Y’a pas à dire, c’est l’ paradis
On en oublie ceux qu’ont pas d’ chance
Les RMIstes, les sans-abri
Quel jour joli, le 1er mai
C’est chômé, sauf pour les chômeurs
Ceux là, ils vendent des brins d’ muguet
Vu qu’il paraît qu’ ça porte bonheur
Ah ! Le joli moi de mai
Le joli mois de mai
Ah ! Le joli mois de mes … , si j’en avais
Tous les cinq ans, au mois de mai
On joue au jour des élections
On nous dit qu’ tout va s’arranger
Sauf le racisme et l’exclusion
Alors on part à la campagne
Electorale de préférence
Mais pas question d’ faire dans l’ social
Y’a des limites dans les finances
Tous les cinq ans, joli mois d’ mai
L’taulier d’ l’Etat fait l’amnistie
Toutes les bagnoles peuvent se vautrer
Vu qu’ ces années là, c’est gratuit
Ah ! Le joli mois de mai
Le joli moi de mai
Ah ! Le joli mois de mes…
Le 8, il faut bien y penser
On commémore la fin d’ la guerre
Grâce aux nazis, c’est jour férié
On fait la fête aux militaires
On processionne et on défile
Même si l’ fascisme est toujours là
Ce genre de fête, c’est bien utile
Pour oublier qu’on marche au pas
Quel jour joli que le 8 mai
On l’a promis, c’est la dernière
Mais dès qu’ c’est question d’ bombarder
Il paraît qu’ c’est d’ l’humanitaire
Ah ! Le joli mois de mai
Le joli mois de mai
Ah ! Le joli mois de mes…, si j’en avais
Et puis c’est l’ printemps au mois d’ mai
Au moins ça, ça remonte le moral
Ils sont en fleurs les brins d’ muguet
Il a éclos l’ front national
C’est vrai qu’ maintenant, on fête Jeanne d’Arc
Il y en a qui sont très inventifs
On peut voir fleurir les matraques
D’ ceux qui font saigner les manifs
Joli soit l’ printemps du mois d’ mai
On défile sur les coquelicots
C’est l’ temps des cerises écrasées
On s’en va cueillir du bicot
Ah ! Le joli moi de mai
Le joli mois de mai
Ah ! Le joli mois d’ mes…., si j’en avais
Il y a la Pentecôte au mois de mai
Et puis aussi la fête des mères
D’un côté, le jour des curés
De l’autre, l’idée d’un militaire
Et puis l’ mois d’ mai, c’est 68
Un grand coup d’ gueule qui s’est perdu
En y pensant, on s’ roule un stick
Puis on r’ tourne pointer au chômedu
Joli soit-il, le mois de mai
Toutes ces fêtes, tous ces souvenirs
Moi, j’ai pas d’ larmes à vous chialer
Juste un peu d’ rage à vous offrir
Ah ! Le joli mois de mai
Le joli mois de mai
Ah ! Le joli mois de mes … , si j’en avais……
-Agnès Bihl-
Une chanteuse à texte comme on n’en fait plus beaucoup.
Ca grince, ça touche là où ça fait mal, la où ça fait rire aussi.
Parce qu’en plus, vous avez un joli grain de folie.
Et on sent bien que cette époque vous insupporte,
Avec ses wagons de paradoxes.