Les carottes sont cuites!!!

les carottes sont cuites sur apln-blog

Deux jolies carottes

Se promenaient sans culotte

Le long d’une plage

Devant un public de tout âge.

Un monsieur

Plutôt insidieux

Se dirigea vers elles

Et dit aux demoiselles :

« Savez-vous jolies carottes

Que vous n’avez point de culotte! »

Elles lui répondirent sans révérence

Avec un peu d’insolence :

« Nous savons, mais au littoral

Nous apprécions le bronzage intégral »

Vexé le monsieur tourna le dos aux demoiselles

Et retourna sous son ombrelle

Le soir venu il prit une attitude dévote

Lorsque repassèrent les deux jolies carottes

Faut dire que les demoiselles

Etaient brulées jusqu’en dessous des aisselles

C’est ainsi que naquit par la suite

 L’expression connue : ”Les carottes sont cuites”

-dimdamdom-

“Expliquer à votre sauce l’origine d’une expression connue”

Voici le thème pour le défi 132

Chez les Croqueurs de Mots

A la barre Dômi »

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Des Croqueurs de Mots.

 

 

Péter plus haut que son cul !!!

Il était une fois un petit trouduc

Qui habitait le village de Moncucq

Il s’entrainait au championnat de France

De la flatulence

Mais son entourage

Se lassait de ses outrages

Un jour il partit de façon impromptue

Faire le tour de Moncucq

Ce départ suspect

Lui permit en toute liberté de lâcher ses pets

Quand soudain

Il vit un talus au loin

C’est là qu’il se dit

Voilà la chance de ma vie

Et en grimpant sur la butte de Moncucq

Enfin il put péter plus haut que son cul”

D’où vient l’expression connue

“Péter plus haut que son cul”

-dimdamdom-

J’en déduis qu’il ne faut jamais retenir un pet

Car il pourrait monter

Le long de la colonne vertébrale

Pour finir au cerveau

Et vous donner des idées de merde!!!

 

Beaucoup auront reconnu

Mon petit poème

Qui est toujours de circonstance

Et que j’ai ressorti

Dans les jeudis poésie

Pour la communauté des Croqueurs de Mots

Dont je me suis auto-proclamée

Capitaine de la barre 132

Non messieurs dames, je ne pète pas plus haut que mon cul 😉

croqueurs

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De la communauté des Croqueurs de Mots

 

La croisière s’amuse avec les Croqueurs de Mots!!!

croqueurs

Il était un petit navire

Qui n’avait ja-jamais navigué

Il était un petit navire…

Avant Dômi, Tricôtine, il y avait Brunô

Pour doucement faire voguer

La Coquille sur les eaux

Ohé, ohé Matelôts

Maintenant naviguent sur les flots

 

La communauté fut fondée par Brunô en Août 2009,

Jeux d’écritures, Haïkus, défis, poésie …

Nous voici en 2014, après quatre années de bons et loyaux services

C’est au tour de Tricôtine de quitter le navire

Pour céder à Dômi cette mignonne Coquille qu’elle tentera 

De faire voguer sur les flots des môts,

Légère, conviviale, amicale, dans le respect de chacun,

Sans controverses, ni prises de vents.

 Avec tous ses matelôts…

Les anciens dont on n’a plus de nouvelles

Depuis que Overblog les a privé des communautés

En migrant vers la nouvelle version,

Ceux qui ont quitté Overblog pour d’autres océans,

Les fidèles à qui elle promet de faire de son mieux

Mais aussi des nouveaux qui monteront bientôt à bord!!!

J’espère de tout coeur

Que vous serez nombreux

A vouloir embarquer avec nous

Et devenir membres de l’équipage.

Voici quatre mois que je suis à la barre

De la communauté des Croqueurs de Mots

Et je suis conquise avec le désir de continuer l’aventure.

Sur cette communauté vous avez le loisir

De prendre la barre par quinzaine

En nous proposant un défi à thème

Qui se décomposera en un lundi annonce de celui-ci sur votre blog

Suivi de deux jeudis poésie entrecoupés d’un lundi défi.

Pour mieux comprendre le concept

Je vous invite sur le blog de la communauté

Des Croqueurs de Mots

En cliquant dur l’image tout en haut de cet article.

Pour cette quinzaine qui s’annonce

C’est moi qui serait à la barre

Pour un défi dont voici le thème.

« Expliquer à votre sauce l’origine d’une expression connue »

Tout est permis, image, photos, vidéos

Textes, poésies etc ….

Tout ce qui vous passe par la tête.

Je me doute que cela risque d’être drôle voire très drôle

Pour les jeudis poésie bien évidemment

Ce sera sur le thème demandé, mais chacun est libre

De voguer sur les flots de son imagination.

Voilà si l’idée vous séduit

Je vous encourage à vous abonner

Au blog de la communauté des Croqueurs de Mots

Afin de recevoir l’actualité

Toujours en cliquant sur l’image en haut de cette page

Et pour les plus érudits à la Communauté des Croqueurs de Mots

En passant par l’adresse suivante :

http://lacommunautedescroqueursdemots.apln-blog.fr

Dans l’encart de gauche, dans inscription

Passez d’abord par « s’enregistrer » avant de donner

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Sans quoi vous recevrez un message d’erreur 😉

Pour toute question je me ferai un plaisir de vous répondre

Et pas de la façon suivante …. 😉

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Désolé le mot de passe est toujours incorrect

Ben fallait le dire plus tôt ….

1correct ça te va tête de Fouette-Queue!!!!

Oh mais il va la fermer où je lui pète son fusible

-dimdamdom-

 

Pas de chance !!!

Pas de chance sur apln-blog

Il y a quelques temps, je participais à un atelier d’écriture

Chez Olivia Billington où il fallait placer des mots imposés.

J’ai retrouvé celui-ci, qui correspond très bien

Au thème choisi par Martine qui est à la barre 131

Chez les Croqueurs de Mots!!!

La coquille des croqueurs de mots sur apln-blog

En cliquant sur l’image vous accédez

Au blog de la communauté des Croqueurs de Mots

 

tourment – tempétueux – bourrasque – envoler – avion – aile – papillon 

métamorphose – chrysalide – soie – luxe – yacht – fric – clinquant 

pacotille – cotillon – célébration

&&&&&

Pas de chance!!!

Nous voici à la rentrée et je suis heureuse de vous retrouver .

J’espère que vos vacances auront été bonnes

Et moins tumultueuses que les miennes.

A vrai dire elles avaient bien commencé

Nous venions de passer un mois sur notre yacht clinquant.

Nous dormions dans des draps de soie, nous vivions dans le luxe le plus ultra.

Un soir nous avions invité tout le voisinage

Pour la célébration de nos cinq numéros gagnants à l’Euromillions

Tout fut déployé, cotillons , champagne ça sentait le fric à plein nez

Au lendemain nous devions prendre l’avion

Pour nous envoler vers un paradis lointain.

Quand un appel téléphonique arriva telle une bourrasque

C’est à ce moment là que je vis un grand tourment

Dans les yeux de mon mari.

En un instant ce fut la métamorphose inverse du papillon

Qui refermait ses ailes pour redevenir chrysalide.

Lui mon chéri qui  d’habitude était si tempétueux resta muet,

Il comprit que tout ce bonheur n’était que pacotille.

Nous venions de dépenser toute une vie d’économie

Et voilà qu’il apprend que notre billet gagnant

Venait de brûler dans l’incendie de notre HLM.

-dimdamdom-

ruiné sur apln-blog

 

Loto ou gastro il faut choisir!!!

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Avec le régime Weight Gastro

Je perds mes kilos

Mon derrière en peau de pèche

Est devenu tout rêche

Avec mon régime Weight Gastro

Je passe ma journée sur le pot!!!

Je n’ai vraiment pas la pèche

Je vous laisse il faut que je me dépêche

J’aurais mieux fait de jouer au loto

J’ai vraiment pas de pot

-dimdamdom-

Voici ma participation divinatoire

Au jeudi poésie

Pour Martine (Quai des rimes)

Qui est à la barre 131 des Croqueurs de Mots

Cette quinzaine

croqueurs

 

Bleus horizons!!!

il y a cent ans sur apln-blog

Il y avait longtemps que je n’avais plus fait du deux en un

Et surtout il y avait longtemps que je n’avais plus participé

A la communauté de Clara  » Il y a cent ans »

J’ai trouvé que le thème « Horizon » proposé par Lénaïg

Sur la communauté des Croqueurs de Mots

Pouvait parfaitement se confondre dans la communauté de Clara.

Alors voici ce que je vous propose …

bleus horizons sur apln-blog

Dans Bleus Horizons, Jérôme Garcin jette une poignée de terre

sur un poète fauché en 1914, Jean de la Ville de Mirmont ,

tombé sous la mitraille et qui aurait pu devenir aussi célèbre

qu’un Maulnier dans l’histoire de la littérature

si un obus allemand n’avait figé sa postérité en statue de terre.

 Mort debout sur le Chemin des Dames, Jean de la Ville de Mirmont

n’eut le temps de composer qu’un unique recueil de poèmes :

L’Horizon Chimérique et un court roman  « Les dimanche de Jean Dézert » ,

texte atopique dirait-on aujourd’hui qui raconte

les déambulations dominicales et « contentements misérables »

d’un rond de cuir un peu terne.

Les poètes souvent sont prophètes,  comme Arthur Rimbaud qui se prédit « estropié »,

revenant des pays chauds, Jean de la Ville de Mirmont , héros de Bleus Horizons

a la prémonition d’ un futur « chimérique » .

Ses rêves malouins de bateau et de « grand voyage » ne se concrétiseront jamais.

Malgré cela , le grand Grasset le publiera.

Le grand Fauré percevra sa petite musique

et composera une œuvre autour de son poème.

Un baryton illustre du moment (Charles Panzera)

en célèbrera les tremolos lancinants.

François Mauriac qui a connu le poète jeune homme

s’émouvra de sa fin tragique au point d’en être hanté.

Mais le livre de Jérôme Garcin n’est pas seulement

le roman historique d’une vie exemplaire et brisée.

Derrière Jean de la Ville de Mirmont

et à travers son narrateur Louis Gémon, un « poilu »

qui l’a accompagné dans l’enfer, un compagnon inconnu soldat,

c’est tout le peuple des sans-grades qui hurle à l’absurdité.

Bleus Horizons a une ambition forte :

faire comprendre le poids de cette guerre sur toute une génération.

Une guerre qui aura affecté aussi bien ceux qui l’ont fait

que les autres meurtris de culpabilité comme le grand Mauriac ,

comme l’intransigeant Fauré.

Et le désarroi de Louis Gémon est plus bouleversant au fond

que les états d’âme des grands serviteurs de l’art .

Ce poilu qui ne peut plus vivre normalement va se lancer

dans une réhabilitation impossible et émouvante de son ami

au patronyme qui sonne comme un octosyllabe

(la scène avec le journaliste qui moque le nom de son ami est pathétique,

celle de Mauriac accablé d’avoir été pistonné

pour ne pas partir nourrit une inattendue compassion etc.)

En tentant de remplir le puits d’absurdité de quelque signification,

Louis va tout perdre (la « petite épouse » qui l’a accompagné

dans sa lente et douloureuse reconstruction,

ses biens, plus grave : une raison de vivre )

avant que l’histoire ne le rattrape et fasse éclater,

à nouveau, le non-sens d’une guerre nouvelle.

Après Guillou, Maulnier, Céline , Rouault et de tant d’autres,

Jérôme Garcin ne veut pas s’arrêter.

 « Nous serons vainqueurs avec le temps»

écrivait Jean de la Ville de Mirmont à sa mère en octobre 14.

Avec une plume limpide, élégante et classique,

l’auteur de ces horizons bleus poursuit

dans les limbes de cette guerre inhumaine.

Un très beau livre, vraiment !

Voici un de ses poèmes qui correspond bien au thème de « l’horizon »

Pour la communauté des Croqueurs de Mots

croqueurs

 La mer est infinie et mes rêves sont fous.

La mer chante au soleil en battant les falaises

Et mes rêves légers ne se sentent plus d’aise

De danser sur la mer comme des oiseaux soûls.

 

Le vaste mouvement des vagues les emporte,

La brise les agite et les roule en ses plis ;

Jouant dans le sillage, ils feront une escorte

Aux vaisseaux que mon cœur dans leur fuite a suivis.

 

Ivres d’air et de sel et brûlés par l’écume

De la mer qui console et qui lave des pleurs,

Ils connaîtront le large et sa bonne amertume ;

Les goélands perdus les prendront pour des leurs.

 

– Jean de la Ville de Mirmont –

&&&&&

Je n’ai pas eu l’occasion de le lire,

mais je pense sincèrement l’acquérir

A moins que quelqu’un l’ait dans sa bibliothèque

Et qui proposerait une chaine du livre

Comme nous le propose Florence du blog « Testé pour vous »

Franchement c’est une super idée , pour découvrir

Cliquez sur le lien « Testé pour vous »

Dans le cas où cela vous branche

Je suis intéressée de l’avoir en prêt

Je vous donnerai mon adresse en privé.

Bon juste pour réceptionner le livre,

Pas question de vous voir débarquer avec toute la smala

Afin d’ être nourri et blanchi hein 😉

Défi 130 à la barre Lénaïg : Evasion, Herbe et béton, horizon

croqueurs

En cliquant sur l’image vous accédez au blog

de la communauté des Croqueurs de Mots

Pour ma participation au défi 130 mené par Lénaïg

J’ai ressorti de derrière les fagots

Une conversation entre Dieu et Saint François d’Assises

Qui aurait pu se faire entre

Fernandel et sa vache

Car Fernandel me fait penser immanquablement à Don Camillo

Et je l’imagine bien en conversation avec Dieu

De plus je trouve que ce texte rejoint bien

le thème proposé par Lénaïg

L’herbe et le béton

La vache et le prisonnier sur apln-blog

don camillo sur apln-blog

– Toi, François, qui t’y connais en nature et jardinage,

peux-tu me dire ce qui arrive aux pissenlits,

violettes, chardons et toutes les autres belles fleurs

que j’ai dispersées sur terre il y a des siècles?

J’avais prévu des espaces parfaits, sans entretien.

Mes plantes poussent dans n’importe quel sol,

supportent la sécheresse et se multiplient à profusion.

Le nectar de leurs fleurs attire des papillons,

des abeilles et des volées d’oiseaux aux chants mélodieux.

Je m’attendais à voir de vastes jardins multicolores.

Mais tout ce que j’aperçois autour des maisons ce sont des rectangles verts.

 

– Ce sont les tribus qui se sont installées là, Seigneur.

On les appelle les Banlieusards.

Vos fleurs, ils y voient des « mauvaises herbes »

et ils ne ménagent aucun effort pour les remplacer par du gazon.

 

– Du gazon? Mais c’est tellement ennuyeux et peu coloré!

Il n’attire ni les papillons, ni les abeilles, ni les oiseaux,

mais seulement des vers blancs, des pyrales et des punaises.

Pire, le gazon est capricieux et réagit mal aux écarts de température.

Ces Banlieusards veulent-ils vraiment tous ces tracas?

 

– Apparemment Seigneur.

Ils dépensent beaucoup d’argent et d’énergie

pour faire pousser leur gazon et le maintenir vert.

Ils commencent par appliquer des engrais tôt au printemps

et ils empoisonnent toutes les autres plantes

qui y montrent le bout du nez.

 

– Alors en début de saison,

lorsque les pluies et la fraîcheur font bien pousser l’herbe du gazon,

cela doit rendre les Banlieusards très heureux?

 

– Eh non, Seigneur. Dès que le gazon commence à pousser,

ils le coupent, parfois même deux fois par semaine.

 

– Ils le coupent?

Et ils en font des ballots, comme avec du foin?

 

– Pas vraiment Seigneur.

La plupart d »entre eux ramassent l’herbe coupée pour la mettre dans des sacs.

 

– Dans des sacs?

Pourquoi?

Est ce qu’ils les vendent?

Est-ce une récolte bien rentable?

 

– Pas du tout Seigneur.

Au contraire.

Ils payent pour qu’on vienne ramasser leurs sacs.

 

– Voyons donc, je ne comprends pas!

Tu me dis qu’ils engraissent le gazon pour qu’il pousse plus vite.

Et quand il pousse bien, ils le coupent et payent pour s’en débarrasser?

 

– Oui Seigneur.

 

– Alors c’est en été que ces Banlieusards doivent être contents,

lorsque nous diminuons les précipitations et lançons des canicules.

La croissance du gazon ralentit, ce qui doit leur sauver beaucoup de travail.

 

– Vous n’allez pas me croire Seigneur.

Quand le gazon pousse moins vite,

ils sortent le boyau d’arrosage pour pouvoir continuer

à couper et à remplir des sacs de gazon.

 

– C’est insensé! Mais au moins ils ont conservé quelques arbres…

C’était là une idée de génie de ma part, si j’ose dire.

Les arbres font pousser des feuilles au printemps

pour produire une magnifique parure et procurer de l’ombre en été.

En automne, les feuilles tombent au sol pour former un tapis naturel

qui protège le sol et les racines.

De plus, quand les feuilles se décomposent,

elles enrichissent le sol et nourrissent les arbres

pour faire de nouvelles feuilles.

C’est le parfait exemple du recyclage naturel.

 

– Vous êtes mieux de vous asseoir Seigneur.

Les Banlieusards ont imaginé un cycle différent.

Aussitôt que les feuilles tombent, ils les ramassent,

les mettent dans des sacs et payent pour s’en débarrasser là aussi.

 

– Mais voyons donc!

Comment font-ils pour protéger les racines des arbres

et des arbustes en hiver et pour conserver l’humidité du sol?

 

– Après avoir jeté les feuilles,

ils achètent quelque chose qu’ils appellent du paillis.

Ils se donnent du mal pour le rapporter chez eux

et l’étaler autour des arbres pour remplacer les feuilles.

 

– Ah?! Et où vont-ils chercher ce paillis?

 

— Ils coupent des arbres et les réduisent en petits copeaux.

 

– Assez! Je ne veux plus entendre pareilles inepties!

Sainte Catherine, toi qui est responsable des arts,

quel film as-tu prévu pour ce soir?

 

– « Les Sans-dessein ». C’est un film assez absurde sur les …

 

– Laisse faire, on vient de me raconter l’histoire!

 

Original anglais de Bud Chester,

adaptation française d’Edith Smeesters et de Thérèse Romer.

Souris des villes, souris des champs!!!

Sur mon tracteur de l’an mille neuf cent neuf,

Je parcours les champs

De souris des villes

Je deviens souris des champs

Devant moi la nature défile

Du haut de mon tracteur je suis à la teuf!!!

Dans ma vieille teuf teuf

Je suis toute la journée dans les files

De souris des champs

Je redeviens souris des villes

Je cherche la clé des champs

Dans ma vieille teuf teuf je ne suis plus à la teuf!!!

-dimdamdom-

Pour les Croqueurs de Mots

J’ai remis ce poème au goût du jour

Car il colle bien au thème que Lénaïg

A choisi pour nous.

croqueurs

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Défi n°129 : Que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître!!!

 

ipp

 Nous n’étions pas différents

Juste pas les mêmes parents

Nous avons partagé le même nid

Croyant que ce serait pour la vie

Nous sommes retournés chez nos parents

Nous leurs manquions tellement

De force avons quitté le nid

Cela s’est fait sans bruit

Peut-on leur en vouloir

Même si bien souvent nous pleurions dans le noir

Tort ou raison?

A chacun sa raison

Avons fait notre chemin

Parfois caha, parfois cahin

Avons laissé s’écouler le temps

Tellement longtemps

Qu’aujourd’hui nous nous retrouvons

Et voilà que nous bredouillons

Tant de choses à dire

Tant de choses à se souvenir

-dimdamdom-

Sur cette unique photo de mon enfance

Je suis à gauche entourée

De ma soeur et mon frère de coeur

Nous avons vécu dans la même famille d’accueil.

Nous nous sommes retrouvés après 40 ans

Depuis nous nous revoyons régulièrement.

Pour Ce défi n° 129 Enriqueta nous invite à un voyage en nostalgie…

De choisir dans nos photos anciennes une qui date d’au moins de 20 ans

 De la raconter sur notre blog en expliquant pourquoi on l’a choisie.

 

 

J’ai jeté mon coeur à la poubelle!!! Défi 128, M’amzelle Jeanne à la barre!!!

En cliquant sur l’image

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Pour ce défi 128 M’amzelle Jeanne nous propose :

Par magie.. ou en réalité.. vous avez… connu.. aimé..

Vous avez été le partenaire… le modèle..

Vécu dans l’univers d’un homme (ou d’une femme) connu

Du siècle dernier.. ou de celui d’avant…

Il ou elle était…

poète…philosophe…. écrivain..cinéaste.. acteur

Peintre..politicien..ou…

Vous vous étiez, sa muse, sa femme, son ami, son médecin.. son mécène…

Nous serions curieux de connaître les sentiments

Qui vous unissaient

Amitié.. amour.. jalousie….. ou rancoeur ?

&&&&&

Elles étaient trois

Se promenant au bois

Toutes les trois aimaient se retrouver

Pour se raconter de petites histoires

Parfois du matin au soir

Tantôt qui les faisaient éclater de rire

Tantôt faisant éclater leur ire

Elles avaient du caractère

Aucune ne se laissait faire

Mais une fois les choses dites

Elles revenaient à leurs rites

Jusqu’au jour, un renard

Apparut sans crier gare

Il n’était pas méchant en apparence

Il fit quelques pas de danse.

Et les trois amies furent aussitôt séduites

Oubliant de prendre la fuite

Faut dire qu’il avait un beau langage

Et savait y faire pour complimenter son entourage.

Il avait bien une tanière

Mais chaque fois qu’on trouvait son repère

Il faisait en sorte

Que close soit sa porte.

Jusqu’au jour l’une d’elle

Et se fut sans appel

Comprit son jeu

Ce qui le rendit quelque peu furieux

Il fit tant et si bien de semer la zizanie

Que se séparèrent les trois amies .

L’une tenta bien de justifier

Son attitude face à ce renard futé

Mais les deux autres ne voulurent rien entendre.

Elles laissèrent partir leur amie sans mots dire

Oubliant tout qui jusqu’ici les avait fait tant rire!!!

Celle-ci, partit non sans se retourner

Avec le coeur profondément blessé

Laissant entendre

Que plus jamais elle ne se laisserait prendre .

-dimdamdom-

Du vécu, tu as demandé Jeanne

Hélas en voici

Ce poème a été écrit pour la première fois en 2012

J’avais fait la connaissance de deux super nanas blogueuses

Nous avions beaucoup de points communs

Notamment l’humour

Mais aussi quelques coups durs de la vie

On s’est connu, on s’est reconnu,

On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue

On s’est retrouvé, on s’est réchauffé,

Puis on s’est séparé.

Puis…… je n’ai pas compris 🙁

J’ai laissé délibérément les commentaires.

Dans ceux-ci, pour la plupart, nous ne nous sommes plus revus,

Pas toujours voulu, parfois le sort s’en est chargé

Je garde notamment une pensée émue

Pour mon ami Antonio qui nous a quitté

Le 1er Avril 2013

Quelle mauvaise blague tu m’as fait là Antonio …