Vos gueules les hiboux!!!

Pour ce jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

Dont je suis la meneuse

J’ai re-repris un poème

Qui en a fait rire certains

Et qui j’espère amusera d’autres.

En ce mois de mai 2014

J’avais pris quelques vacances avec mon mari

Question de régénérer mes neurones

Quelques peu agités.

Et je lui avais promis d’éviter

De passer ma vie sur l’ordi

Afin que nous passions notre semaine

Dans un climat de complicité.

J’avais tout de même profité de quelques moments éphémères

Pour participer au défi que nous proposait Asphodèle chaque quinzaine.

water-closed sur apln-blog

 

Les mots imposés m‘avaient ramenée à un défi que j’avais fait auparavant

Il fallait raconter un retour de vacances tout en se mettant en situation.

Et  en utilisant le pluriel des mots en “ou”

 

Voici  l’évolution de quatre situations imposées :

1)Un soucis avec votre voiture ,expliquer au mécano le problème…

2)Salon de massage Thaïlandais , demander de vous chouchouter…

3)Un stage de saut en parachute ,ou à l’élastique...

4)Vous êtes mécontent de votre boucher,un gigot dur comme un caillou…

 

Les mots imposés par Asphodèle étaient les suivants :

Changement, incrédulité ou incrédule (au choix),

papillon, régénérer, chenille, évolution, climat, déguiser,

magie, transformation, grossesse, adolescence, éclosion, cafard,

majestueux, amour, éphémère, éperdu, envol, travesti 

&&&&&

A la mi-août

Nous voilà sur la route

De retour de vacances

Au revoir douce France

Quand soudain un éléphant roux

Passe devant nos roues

Mon chéri fait une embardée

Pour éviter l’animal effrayé

Voilà qu’il freine comme un fou

Et nous nous retrouvons sur un chemin de cailloux

Il fait presque nuit

La lune dans le ciel luit

Sur une branche deux majestueux hiboux

Crient “hou hou”

Mon époux tente de redémarrer

Le moteur semble peiner

Il sort et se met à genoux

Pour regarder en dessous

Malgré l’obscurité

Il voit que la roue a pété

Voilà qu’il se met à pester contre cette ogresse

En fin de grossesse.

Il sait qu’avec une voiture

Quand la roue pète c’est la mort sûre

Il souffre de partout

Ce qui lui fait faire une vilaine moue

Maintenant il faut bien

Appeler un mécanicien

Pour le changement de cette fichue roue

Dans laquelle il y a un énorme trou

Oui mais comment le payer

En vacances nous avons dépensé tous nos deniers

Aux enfants il ordonne de donner tous leurs joujoux

Vous les auriez vu pleurer les pauvres choux

Le mécanicien fut appelé

Et la roue réparée

Mais il refusa les joujoux

Leur préférant mes bijoux

Tout est bien qui finit bien

Dans cette histoire qui ne ressemble à rien

Et sur leur branche les deux hiboux

Continuaient à faire “hou hou”…

Après notre mésaventure

Avec notre voiture

Le mauvais état des genoux

De mon époux

Nous reprenions la route

Cette nuit de la mi-août

Les enfants avec leur joujoux

Et moi dépouillée de mes bijoux

Nous roulions gentiment

Nous éloignant lentement

Des deux hiboux

Qui faisaient “hou hou”

La fatigue se faisant sentir

Nous cherchions un coin pour dormir

Mon mari prit cette fois un petit chemin de boue

Parsemé de quelques cailloux

Il faisait nuit

La lune se cachait derrière des nuages de pluie

Et sur une branche “hou hou”

Faisaient toujours deux hiboux

A l’arrière les petits choux déjà endormis

Mon tendre amour et moi de la voiture sommes sortis

Quand soudain nous glissions dans la boue

Encore un peu nous nous rompions le cou

Mais très vite nous prenions du plaisir

A nous vautrer dans cet élixir

Sous le regard des deux hiboux

Qui faisaient maintenant “bou bou”…

Après le cauchemar

De la mare

C’est dans une clarté entre chien et loup

Et recouvert de boue

Que nous essayions de nous agripper

Pour jusqu’à la voiture nous hisser

Et qui donc faisaient toujours “hou hou”?

Ces deux crétins de hiboux

Soudain mon mari

Lança un horrible cri

Voilà qu’il était prêt à s’embourber

Il fallait que je trouve une bouée

J’étais moi même dans la boue

Jusqu’aux genoux

Pour la suite pardonnez mon indécence

Digne d’une gamine pas encore sortie de l’adolescence…

J’eus juste le temps d’enlever mon slip

Croyez moi ça valait bien un vidéoclip

Oui mais pas de caméra dans les joujoux

De mes petits choux

Je lui envoyais donc de mon slip l’élastique

J’en conviens que cela n’est guère pratique

Il me promit que si par magie je le sortais de cette boue

A notre retour il me couvrirait de bijoux

Et m’emmènerait voir un spectacle de travestis

Ces mecs déguisés qui s’exhibent dans les cabarets de Paris

Quel air pathétique

Pour son premier envol à l’élastique

Et toujours les deux hiboux incrédules

Qui de leur branche hululent!!!….

Après cette histoire mythique

Du saut à l’élastique

Et ces hiboux

Qui sans cesse faisaient “hou hou”

Nous reprenions la route

En cette nuit tragique de la mi août

Nos enfants tenaient sur leurs genoux

Leurs derniers joujoux

Tandis que mon mari et moi

Etions encore tout en émoi

Nous avions une faim de loup

De Bruxelles nous rêvions de choux

 Fallait-il encore les accommoder

Avec un morceau de viande de notre boucher

Oui mais voilà nous n’avions plus un sous

Ni même de bijoux

Sur la branche toujours les deux hiboux

Qui faisaient “hou hou”

Ne voulant pas les tuer

Tout au plus les effrayer

Mon mari lança des cailloux

Pour faire fuir les sacs à poux

Mais c’est complètement sonnés

Que tous les deux de l’arbre sont tombés

Il ne nous manquait plus que les choux

Pour manger les hiboux à la mode de chez nous

Pendant que mon chéri s’occupait de la flambée

Et se chargeait de les déplumer

A défaut de choux je me décidais de préparer un court bouillon

De chenilles avant transformation en papillon

Accompagnées d’oeufs de cafards

En éclosion, met, dit-on, aussi fin que du caviar

Au moment de planter la fourchette

C’est éperdues que les pauvres bêtes

Qui nous avaient accompagnés jusqu’au bout

Se mirent à crier “pas nous pas nous”

&&&&&

Poisson d’Avril !!!

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« Si le fait d’être tout le temps en retard

n’est pas encore répertorié dans la bible des troubles

relevant de la psychopathologie la tendance relève toutefois

du trouble comportemental »

Voici le sujet de la thèse que Jeanne doit présenter aujourd’hui

devant un auditorium de futurs psychologues.

Cinq heures du mat Paris s’éveille et Jeanne aussi,

elle jette un oeil furtif sur le réveil radio et horreur …

*Les plombs ont sauté … Merde je suis en retard!

Quel jour sommes nous? Quelle heure est-il? demande t-elle à Tom

Son mari ne répond pas tout de suite et s’étonne de sa question…

*Elle ne se trompe jamais de date et moi toujours… se dit-il.

Il décide de lui faire une mauvaise plaisanterie, la date est propice.

Nous sommes le 1 er Avril , il est 5 heures , tu dois présenter ta thèse

et ton train est dans moins d’une heure.

Il sait que ça va la rendre folle *Mais ça le fait marrer de la faire enrager.

Et c’est réussi, la voilà dans tous ses états.

Pour la calmer Tom lui lance un « Poisson d’Avril »

*Quelle gourde j’ai été … lui dit-elle et

*Elle inspira profondément en se forçant à sourire,

se disant qu’il ne servait à rien de continuer à s’énerver.

* Clémentine Célarié : On s’aimera

*Oscar Wilde : Le portrait de Dorian Gray

*Barbara Constantine :Tom petit Tom tout petit homme

*Gilles Legardinier : Ca peut pas rater

*Valérie Gans : Le bruit des silences

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Voici ma participation tardive (que c’était dur ce défi)

Au défi 164 chez les Croqueurs de Môts

Mené par mes soins 😉

J’aimerais être une souris …

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Pour le défi 163 chez les Croqueurs de Môts notre Cap’tain Jill Bill

Nous demande de raconter une p’tite histoire en prose ou autre…

poésie, haïku, etc, à notre guise !

Sur une photo de Cezary Wysynski (National Géographic)

 

J’aimerais être une souris

Pour venir te visiter chaque nuit

Pour me glisser dans ton lit

Non pas pour voir ton zizi

Ca c’était juste pour rimer avec fantaisie

J’aimerais être une souris

Pour tout savoir de ta nouvelle vie

Savoir si à l’autre aussi

Pour la conquérir tu as menti

J’aimerais être une souris

Pour voir si toujours sûr à midi

Et saoul à minuit

J’aimerais être une souris 

Et caetera , et caeteri …

Au final à quoi bon être une souris

Puisque je connais tout de ta vie

Je me sauve je crois bien être suivie

-dimdamdom-

tom&jerry

 

Rouge colère!!!

colère rouge

Pour ce deuxième Jeudi Poésie

Chez les Croqueurs de Môts

Lilousoleil nous demande de thématiser la couleur rouge.

Pour cette occasion j’ai retrouvé un poème

Que j’avais déjà partagé avec vous.

Ce poème ne m’appartient pas, mais les mots

Expriment bien les sentiments de colère qui m’habitent

Et pour lesquels, vous, moi, sommes impuissants!!!

 

Rongée par un sentiment de colère,

Prisonnière, j’en veux à la terre entière.

Petit à petit, une haine sourde m’envahit,

Elle est telle qu’elle pourrait déclencher un incendie.

 

Je me sens devenir hystérique, telle une éruption volcanique,

Je réduis vos remarques en cendres et vous inspire une peur panique.

Non, ne fuyez pas… Il est trop tard pour cela !

Je tiens d’ores et déjà votre sort entre mes doigts.

 

Je fais de la rancoeur ma maîtresse,

Mes larmes ont été taries par sa sécheresse.

Adieu la petite fille pleine de maladresses…

A présent, les mots en flot se déversent et vous font tomber à la renverse.

 

Mon coeur s’endurcit au rythme de ses pulsations,

mon âme s’obscurcit, l’orage pointe à l’horizon.

Sur vos mines apeurées, une pluie de vérités s’abat en inondation.

Vous pouvez vous repentir, je ne vous accorde pas mon pardon !

 

Ma fureur explose comme se déchaînent les éléments,

Elle ne vous laisse aucun répit tel le ferait un ouragan.

Mes intentions sont mauvaises comme celles d’une tornade

Et dès maintenant, prennent vos moindres faits et gestes en embuscade.

 

-princesse-des-cieux-

 

La dame rouge.

dame rouge

 Pour le défi 162 Lilou nous propose un début de scénario

et à nous d’écrire le film ou l’histoire ou le synopsis mais avec une contrainte..

 Scénario :

Une femme en robe rouge descend du bus. Elle est furieuse.

Elle bouscule un homme qui traverse la rue en dehors des passages piétons.

Vous devrez utiliser :

Les verbes : caqueter, rêver, applaudir, s’ébaudir, refroidir

Les noms : portail, violon, gazon ; galurin, hérisson, allure, caraco.

Les adjectifs : opportun, guilleret, pâle, maudit, violet.

 

Ce matin presque printanier, elle se lève le coeur presque léger.

En ouvrant la fenêtre, elle voit sur le gazon en regain un hérisson

qui se déplace à vive allure vers le portail, il semble pressé

de laisser derrière lui cet hiver maudit.

Malgré sa crainte qu’il ne passe sous les roues d’une voiture ,

elle se sent presque guillerette, mais pas de quoi s’ébaudir.

Elle entend sa voisine faire des gammes au violon.

Habituellement cela a le don de la refroidir voire la rendre furieuse,

aujourd’hui elle se retient de l’applaudir..

Le moment lui semble opportun d’enfiler sa robe rouge

laissant deviner un petit caraco sexy.

L’ensemble ravive son teint devenu pâle par manque de soleil.

Avant de sortir, elle choisit un joli galurin de la même couleur que sa robe,

elle est toute en harmonie.

Dans le bus , des collégiennes ne cessent de caqueter

ce qui ne l’empêche de rêver.

Son état de douce quiétude est interrompu par une sonnerie

provenant de son téléphone.

Elle fouille au fond de son sac rouge, trop tard …

Aussitôt un nouveau signal sonore lui indique qu’elle a un message.

C’est son ex mari, celui dont elle vient de divorcer.

Elle avait signé deux jours auparavant.

Elle se croyait forte, lorsqu’elle était sortie du bureau de son avocate,

qu’elle n’avait pas versé une seule larme.

Elle pensait être vraiment guérie de cet être infâme qui n’avait de cesse de

la détruire.

Soudain elle se lève, le teint pâle elle demande l’arrêt.

En sortant du bus elle titube,

elle traverse la rue en dehors du passage pour piétons

et bouscule un homme qui la voyant au plus mal

l’accueille dans ses bras. Elle perd connaissance,

l’homme inquiet ramasse son téléphone qu’elle a lâché dans sa chute.

Il lit le message sur l’écran qui disait ceci :

« Pour ton information, j’ai quelqu’un dans ma vie ».

Il comprend le désarroi de cette jolie femme en robe rouge

qui revient tout doucement à elle.

Pour lui redonner des couleurs il dépose sur ses lèvres rouges

un baiser d’une extrême douceur ……

-dimdamdom-

Ah que c’est moche!!!

fricNous voici déjà lundi soir ,et je suis heureuse de vous retrouver .

 J’espère que votre week-end aura été bon

 Et moins tumultueux que le mien.

Laissez-moi vous raconter …

Nous revenions d’un mois passé sur notre yacht clinquant.

Où nous vivions dans le luxe le plus ultra.

 Un soir nous avions invité tout le voisinage

 Pour la célébration de nos cinq numéros gagnants à l’Euromillions

 Tout fut déployé, cotillons , champagne ça sentait le fric à plein nez

 Au lendemain nous devions prendre l’avion

 Pour nous envoler vers un paradis lointain.

 Quand un appel téléphonique arriva tel un ouragan

 C’est à ce moment là que je vis un grand tourment

 Dans les yeux de mon mari.

 En un instant ce fut la métamorphose inverse du papillon

 Qui refermait ses ailes pour redevenir chrysalide.

Mon chéri d’habitude si tempétueux resta muet,

Il venait de comprendre que tout ce bonheur n’était que pacotille.

On lui annonçait que son billet gagnant

Venait de brûler dans l’incendie de notre HLM.

 -dimdamdom-

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Voici ma participation

Au défi 161 chez les Croqueurs de Môts

Mené par Jeanne Fadosi

Sur le thème « Quiproco »

On s’aimera!!!

 

jeanne-eyre

Bonjour Mathieu,

Je pose à l’instant  le roman de Clémentine Célarié

dans lequel tu joues le personnage principal.

J’avoue que je me suis empressée d’en commencer la lecture

afin de pouvoir répondre au défi 160

chez les Croqueurs de Môts mené par Lénaïg.

« On s’aimera » ce livre, au titre emprunté à un célèbre chanteur

dont je vous laisse deviner l’identité, raconte l’histoire d’une famille engluée

dans sa richesse matérielle, smartphone, écrans divers,

et autres symboles du progrès de la technologie

et  se retrouve soudain bloquée dans sa luxueuse maison

par une violente tempête de neige ….

Je suis admirative, Mathieu, devant ta détermination

de vouloir réunir cette famille de « geek » complètement à l’Ouest.

i'm accro

Je ne sais encore si tu es parvenu à leur réapprendre à se parler,

à s’écouter, à se regarder, à se toucher, à s’aimer

mais j’apprécie ta persévérance et le ton enjoué que tu as utilisé pour y arriver.

Alors il faut que je te dise pourquoi j’ai choisi cette lecture.

Tout comme toi Mathieu je me retrouve bloquée par une violente tempête dans ma vie.

Avant j’étais engluée dans une ambiance, métro, boulot, dodo, famille,

quand un tsunami a tout fait basculer.

Alors je me suis réfugiée derrière des écrans divers ,

chaque matin je me levais en mettant mes statuts à jour

puis je faisais le tour de mes contacts virtuels.

Après la pause café je commentais le statut ou l’article

de Pierre, Jacques ou Paul, puis voila cool j’avais un nouvel ami.

Avant midi j’allais vite voir si l’un ou l’autre

avait commenté mon dernier article et …. rien.

Je me suis retrouvée désarmée avec le sentiment

que mes amis me délaissaient parce qu’il n’avaient

que faire de mes états d’âme.

Maintenant j’aimerais tant qu’un petit gars comme toi Mathieu

m’aide à retrouver ma vie d’avant .

Du coup je me suis posée quelques questions afin de comprendre

pourquoi je suis tombée dans cet engrenage.

Pour se faire je me suis inspirée d’un article dans un magazine

Que j’ai un peu tourné à ma sauce!!!

Voici ce qu’il nous dit :

Pourquoi sommes nous addicts aux réseaux sociaux et pas que

Simplement, enfin c’est pas si simple,

parce qu’on se façonne une vie parallèle.

On a besoin de reconnaissance,

mais on ne la trouve pas dans la vie réelle.

Alors que sur les réseaux sociaux, blogs y compris

on a l’impression d’être une super star

parce qu’on a des centaines d’amis même des grandes stars

Qu’on ne connait, ni d’Eve, ni d’Adam enfin parfois on les connait

Ce qui m’a valu un coup de gueule un jour sur mon compte privé de FB

On nous tague un peu partout, on réagit à notre statut,

On s’extasie qu’on puisse se lever le matin

Prendre son bain, manger aller aux toilettes …

On nous oblige à aimer et commenter

Ne pas aimer, est une chose impossible

On s’expose sur les photos, de nos vacances, de nos soirées

On expose, nos amours nouveaux ou déchus.

Bref on fait notre People en nous fabricant une image.

Et le comble, c’est qu’on adore ça et on en redemande!!!

On y cherche aussi un psy à moindre coût

On  utilise les blogs et les réseaux sociaux comme thérapie.

Ils sont notre confessionnal.

On n’est pas face à la personne à qui l’on se confie.

Il n’y a ni pleurs, ni cris, ni silences, ni regards

Qui en disent long,  juste des mots et des smileys.

Et ça fait tellement de bien de “PARLER”

Que finalement, dès qu’il nous arrive le moindre évènement,

On envoie un message à l’un de nos contacts

Et on attend impatiemment derrière son écran une réaction.

D’ailleurs il me tarde de voir vos commentaires 😉

J’aime beaucoup le livre de Clémentine Célarié qui nous ouvre les yeux

sur une virtualité devenu hélas tellement réalité.

Umberto Eco

 

 

Tournez manège!!!

croqueurs

Pour le défi 159 mené par Fanfan

Chez les Croqueurs de Môts

Elle nous demande de faire une annonce sur Meetic

En utilisant les mots suivants :

“foire, poirier, carambar, marchandise, bois, tagada, rose,yacht”.

Voici ma participation :

 

Si tu aimes les fraises tagada sauce carambar je serai ta Maïté

Si tu possèdes un yacht rose  tu seras mon Crésus

Si tu aimes les poitrines en forme de poire je serai ton poirier

Si tu me fais vivre des sensations fortes ensemble nous irons à la foire

Mais attention si tu bois, c’est sans considération que je renverrai la marchandise.

les inconnus

 

Ave amicorum!!!

 

danse-arbres-et-fleurs

Avé amicorum

 

Rien à dire

C’est bien ça le pirum

Vous dire que vous me manquare

Tout le monde s’en foutare

Mais pas Dimdamdum

 

Rien à dire

C’est bien ça le pirum

Vous dire que dès le matin je fuis l’internetatum

Tout le monde s’en foutare

Même l’ ami « corum »

 

Rien à dire

C’est bien ça le pirum

Vous dire que j’ai beaucoup maigrirare

Tout le monde s’en foutare

Même mon docteur  Bibendum

 

Rien à dire

C’est bien ça le pirum

Vous dire que je suis beatus de revenire

Tout le monde s’en foutare

Mais sûrement pas les vrais amicorums

 

Et le pirum

C’est qu’il m’a fallus  des heurum

Pour vous dire

Que je n’ai rien à dire

 

-dimdamdum-

 

Voici ma participation rigolatum

Au défi 158 mené par Lilumsol

Chez les Croqueurs de Môts

Elle nous demandait

d’écrire un texte, pas trop long car nous allions devoir l’écrire,

et  le lire, dans une langue nouvelle : le Macaronisme…

C’est quoi au juste ?

C’est notre propre langue à laquelle nous ajoutons

des terminaisons latines pour chaque mot.

Exemple : un lapin gambade dans un champ de blé

Donne en macaronisme :

Unum lapinus (ou lapinum) gabadare dans unum champus de blénum.

Donc je vous rassure je vais bien tout va bien 🙂

croqueurs

Tout ça pour vous dire

Que je vais revenir lentement mais sûrement 😉

 

 

De vous à moi …

bulle-de-liberté

Pour le défi 157 chez les Croqueurs de Môts

Martine85 nous demande d’écrire 6 courtes résolutions pour cette nouvelle année

(6 comme le dernier chiffre de 2016) avec deux contraintes :

Faire rire, ou sourire afin de bien commencer l’année.

Nos résolutions peuvent être irréalisables, folles, farfelues, surréalistes …

Tout est permis

Utiliser les six mots (un par résolution) pris dans la liste ci-dessous

Humour, TGV, toit, solution, arbre , silence

Vous n’allez pas me croire aussi irréalisable soit-elle pour moi

Je prends la décision de me mettre en pause.

L’humour y est toujours mais depuis que j’ai changé de toit

La fatigue m’envahit au point que je suis en rupture d’inspiration.

La seule résolution dont je suis encore capable pour le moment

Est de favoriser le partage, entre vous et moi

Mais surtout entre vous et vous!!!

Jusqu’à ce que je retrouve l’entrain pour ne pas dire l’en »TGV »

Je vais garder le silence, me connecter avec les arbres et rentrer dans ma bulle,

Tout en continuant à gérer mes communautés qui me tiennent très à coeur.

Je n’ai pas d’autres solutions pour le moment.

Pardonnez-moi !!!

paroles-sages