Bonjour à tous je viens vous donner des nouvelles.

Rien de cassé, plus de peur que de mal.

J’ai eu un terrible accident hier, mais je vais mieux maintenant.

Je vous explique.

J’ai décidé de faire de l’équitation,

ce que je n’avais pas fait depuis un certain temps.

Alors que j’étais sur le cheval, il trottait gentiment,

quand il s’est mis à aller un peu plus vite,  de plus en plus vite

puis aussi vite qu’il pouvait aller.

Tout d’un coup, je suis tombée, mon pied est resté dans l’étrier

et le cheval continuait à me traîner.

Mon dos a touché le sol.

Le cheval ne s’est pas arrêté,

il n’arrêtait pas de galoper , de galoper.

J’ai cru que mon heure était venue,

Dieu merci, le gérant du manège  est sorti ….

et a débranché le carrousel  😆

Voici ma participation au défi 175

chez les Croqueurs de Môts

mené par Jeanne Fadosi

qui nous demande de raconter,

de préférence sur mode léger et sans allusion à l’actualité

 notre plus beau souvenir de petit désagrément

(maladie d’enfance, voyage annulé, …)

Ainsi font, font, font,

Les petites marionnettes,

Ainsi font, font, font,

Sèment le mensonge et puis s’en vont.

De l’autre côté,

Passez, passez, marionnettes,

De l’autre côté,

Marionnettes, passez sans vous retourner

La tête penchée,

Baissez baissez marionnettes,

La tête penchée,

Marionnettes, vos yeux il faut baisser

Puis les yeux baissés

Tournez, tournez, marionnettes, 

Puis les yeux baissés

Marionnettes, partez sans vous retourner

Ainsi s’en vont

Les petites marionnettes,

Ainsi s’en vont

Depuis le temps que nous en rêvions

Et nous danserons,

Comme des marionnettes

Et nous danserons,

Quand les vilaines partiront.

-dimdamdom-

Voici ma participation au deuxième jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

mené par Lilousoleil.

Je vous avais prévenu que le nain agité

me ferait parler 😉

Pour ce défi 174

chez les Croqueurs de Môts

Lilousoleil nous demande de raconter une belle histoire

qui va mettre en scène : trois personnages :

Jules, Jeanne et son éternelle cane

Un personnage de petite taille qui semble assez agité

Un lieu : une mare près de l’église

Un objet : une pendule

Jules Quoc , sa femme Jeanne et leur cane

se promenaient bien gentiment aux alentours d’une mare

non loin de l’église qui les avait unis pour le bien et surtout pour le pire.

Les voici tout deux assis sur un banc, lui lisant son journal favori,

elle tenant à l’oeil les canards qui se dandinaient autour de sa cane.

Voilà que Jules est pris d’une violente quinte de toux.

« Mais que t’arrive t-il mon Jules? » s’inquiète Jeanne.

Elle le voyait se tortiller comme un verre de terre et changer de couleur,

elle ne put rien faire, après quelques secousses,

son Jules s’envolait au paradis, sans même  lui dire adieu.

Le voilà aux portes du paradis…

Maître Quoc

Fier comme un qoc

A la porte du paradis toque

Toc toc …

Le grand Saint Pierre

Ouvre au petit homme fier.

Maître Quoc

Rempli de tics et de toc

Est sous le choc

En voyant au mur des pendules

Qui le rendent incrédule.

L’une indique zéro heure et une minute …tic

L’autre zéro heure zéro minute … tac

La première appartenait à Ghandi … tic

Qui n’avait menti qu’une seule fois dans sa vie … tac

La seconde à la vierge Marie …. tic

Qui elle n’aurait jamais menti … et toc pour Maître Quoc

Alors Maître Quoc

Toujours aussi fier qu’un qoc

Propose sans complexe un troc

En offrant sa Rollex mastoc.

Saint Pierre avait entendu parlé de lui

Et de ses facéties

Qu’il manque d’ en faire dans son froc

Mais remercie l’homme fier comme un qoc

Et décide que l’objet de valeur

Lui servirait de ventilateur.

Et toc

-dimdamdom-

Il était une fois

Un petit garçon

Qui était né à Hajdúböszörmény

Petit village de Hongrie.

Quand il eut passé l’âge de jouer avec un hochet

Qu’il devint plus grand, pas très grand

Il décida de devenir un grand homme

Très vite il fut atteint de la folie des grandeurs

Dans son Hummer, il paradait, sur les Champs Elysées

Hissé sur un hérisson, ce qui le rendait nerveux.

Il faisait tic, il faisait tac comme une horloge.

Dans la foule on l’acclamait de partout …

Hou, hou, hou!!!!

Il n’y a pas à dire on l’aimait beaucoup.

-dimdamdom-

Toute ressemblance à un personnage existant ou ayant existé

N’est pas pur hasard, mais il m’est interdit de révéler son identité !!!.

Je vous laisse un indice,

C’est un nain connu !!!

Non ce n’est pas Mister Haricot 😉

Voici ma participation au premier jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

mené par Lilousoleil

Ceci est une reprise d’un ancien article

Pardonnez-moi mais pour le moment je n’ai guère de temps

pour me renouveller 😉

La statue

Quand tu m’es apparue

c’est la tête penchée

et un doigt sur les lèvres.

Joli corps de statue

sur ton socle de grès,

tu m’as jeté un sort, sorcière !

Tu m’as jeté un sort…

Car tu m’as envoûté

de corps et de pensées,

un sourire sur les lèvres.

Es-tu sainte ou diablesse ?

Es-tu femme ou déesse ?

Tu m’as jeté un sort, sorcière !

Tu m’as jeté un sort…

Tu as tissé ta toile

comme ferait l’araignée,

un grand rire sur les lèvres.

Et en gestes comptés,

comme la reine d’un bal,

tu m’as jeté un sort, sorcière !

Tu m’as jeté un sort…

Alors brisant le mal,

je t’ai abandonnée,

un défi sur les lèvres.

Couché dans l’aube pâle,

je ne puis t’oublier.

Tu m’as jeté un sort, sorcière !

Tu m’as jeté un sort…

Adorable statue

à la tête penchée

et au doigt sur les lèvres,

merveille de formes nues

dans le marbre taillées,

tu m’as jeté un sort, sorcière !

Tu m’as jeté un sort…

(Esther Granek)

En la voyant si belle, si envoutante

Je suis resté figé

Elle m’a jeté un sort cette sorcière

Elle m’a jeté un sort …

Voici ma participation au défi 173 mené par Josette

(La cachette à Josette)

Chez les Croqueurs de Môts

Si longtemps que nous nous étions perdues de vue

Qu’un beau matin l’envie m’est venue 

De m’envoler pour te retrouver 

Pour toi j’ai tout quitté 

Dès mon arrivée autour de moi tu t’es lovée 

Inlassablement nous avons flirté

Je garderai de ce beau voyage 

Le témoignage du ciel et des nuages 

Il est déjà temps pour moi de partir 

Mais je te promets de revenir

Chaque fois que le besoin se présentera

Je viendrai me blottir dans tes bras. 

Même si dans mon pays d’en haut

Il n’y a pas d’aussi beaux bateaux

Je ferai en sorte de les transporter 

Afin que mon bonheur soit complet. 

Désormais avec toi c’est une certitude 

Plus jamais je ne craindrais la solitude. 

Pour ce deuxième jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

Durgalola nous demande de caser 3 mots dans les 10 proposés :

bagage, voyage, nuage, sage, paysage, caravane, train, vélo, avion, bateau.

Et d’en faire un texte sur le thème du voyage.

Je ne suis pas originale, car ce poème vous le connaissez

Mais voilà, c’était mon plus beau voyage 🙂

Partir, ça y était : instant magique que de s’embarquer

à deux sur cette embarcation

qui les ferait voguer sur les flots de la vie.

Les premières années furent tendres.

Avec le temps quelques tempêtes vinrent faire tanguer le navire.

Heureusement elle avait le pied marin,

malheureusement lui devenait

un commandant de bord intraitable.

Ils continuèrent à naviguer entre deux eaux ,

elle, se laissant bercer par le mouvements des vagues,

lui, voulant sans cesse les braver.

Jusqu’au jour où ils heurtèrent un iceberg, qui fendit leur embarcation .

L’eau s’y engouffra insidieusement ,

ils essayèrent tant bien que mal de colmater la brèche

mais lentement le bateau  se transforma en galère.

Ils n’avaient pas assez de leurs bras pour la faire avancer

et décidèrent de la laisser sombrer.

Partir ça y était, l’instant n’est plus magique.

-dimdamdom-

Voici ma participation

Au défi 172 mené par Durgalola

Chez les Croqueurs de Mots

Coqu’licot, coqu’licot,

Fleur des champs, coeur sauvage

Coeur en fleur du bel âge,

Coeur des champs, pas méchant.

Coqu’licot dans les blés,

Au soleil de la vie,

Rougissante et ravie,

Ta p’tite âme me plaît.

Parfois, tout comm’ moi,

Tu suis les rails d’un train,

D’un train qui n’pass’ plus

Merveilleux ch’min plein d’entrain

Le chemin des beaux jours,

Du ciel bleu, des vacances,

Des poèmes, des romances.

Coqu’licot d’amour.

Je m’souviens de Margot,

Je m’souviens de Jeannette,

Coqu’licots ou bleuettes

Je m’souviens mêm’très bien

De Suzon, de Mado.

Blondinettes ou brunettes,

Et j’entends dans ma tête

L’écho d’nos bécots.

Chacune fut exquise,

(J’leur ai conté fleurette)

Chacune fut éprise

De ma petite chansonnette.

Coqu’licots des faubourgs,

Des banlieues ou des villes,

Qui choisir entr’ cent mille

Coqu’licots d’amour.

Coqu’licot, coqu’licot.

Fleur des champs, coeur sauvage,

Coeur en fleur du bel âge,

Coeur des champs, pas méchant,

Troubadour des talus,

Vagabond des prairies,

Liberté de la vie,

Coqu’licot élu.

Bien mieux qu’un’ fleur snob,

Qu’une orchidée, « ma chère! »

Chérie! sur ta robe

N’est-c’ pas, c’est lui qu’tu préfères?

Coqu’licot des beaux jours,

Du soleil, des vacances,

Coeur ardent de la France,

Coqu’licot d’amour.

-Charles Trenet-

Voici ma participation au défi 171 chez les Croqueurs de Môts, mené par Lilousoleil

qui nous propose de nous inspirer de cette mosaïque composée.

Par manque de temps j’ai choisi les paroles d’une chanson de Charles Trenet

que je trouve très appropriées