J’ai la tête ailleurs !!!

Voilà une expression d’une finesse rare !

Ce qui veut dire que l’explication ne pourra pas vraiment faire dans la délicatesse.

Si vous avez moins de 18 ans ou êtes choqué par certains détails de l’anatomie humaine,

merci de vous cacher les yeux avant de la lire.

Cette expression est très récente. Elle serait apparue à la fin du siècle dernier sans que

sa source semble vraiment connue.

Contrairement à ce que certains pourraient croire, il n’est pas question d’aller mettre sa

tête dans l’arrière-train du voisin, même si le résultat serait identique quant à la perception

de l’entourage.

Sans compter que, pour commencer, il faudrait trouver un voisin consentant, ce qui est

peu probable.

Non, ce qui est évoqué ici, c’est bien une auto-intromission impossible car elle nécessite à

la fois une souplesse rare  et une extrême capacité de dilatation de l’orifice visé.

Une chose semble sûre  c’est qu’une fois la tête là-bas dedans, la vue doit être

‘légèrement’ brouillée et la perception des sons plutôt étouffée et déformée, exactement

comme quand on a du mal à refaire surface, ce qui suffit à expliquer pleinement la

métaphore.

Mais, plus simplement, peut-être n’y a-t-il dans cette expression qu’une allusion à ces

animaux qui, lorsqu’ils sont endormis, sont en boule, la tête dans le cul ?

Enfin voilà, pour vous dire que ce serait vous mentir en ce moment

de vous dire que « je vais bien tout va bien », j’ai beau essayer de sortir la tête du trou

qu’au contraire je m’y enfonce chaque jour un peu plus.

A vrai dire je suis  très fatiguée, je me surcharge d’activités ici et ailleurs

et je réalise que les plaisirs deviennent des obligations.

Si je ne viens pas vous lire depuis quelques temps,

ce n’est pas par désintérêt, mais simplement parce que cela me demande

trop d’énergie. Alors j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.

Voilà pourquoi je privilégie pour le moment mes communautés

pour lesquelles je vous remercie pour votre fidélité.

Merci aussi à ceux qui viennent me lire sans attendre de retour

Je pense à Covix , Océanique , Missfujii ….

Ceci était ma participation au défi 186

mené par Lénaïg

chez les Croqueurs de Môts.

Poing virgule ….

Un jour j’ai écrit ceci :

Est poète aussi celui qui vous donne l’envie

d’aimer la poésie en partageant des mots jolis

empruntés à autrui.

Aussi aujourd’hui pour le deuxième jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts, mené par Martine (Quai des rimes)

j’ai eu envie de partager avec vous ceci!!!

Le thème demandé est  le mot « Fin »

On met souvent à la fin d’une histoire un point final

J’ai bien essayé dans ma vie de m’en tenir à ce point

mais chaque fois il était suivi d’un autre … puis d’un autre

pour finir par une vie en suspension

Alors pour arrondir les angles j’ai fait comme dans la chanson

j’ai transformé mes poings en virgule …

J’ai changé

J’ai pris du recul

J’ai tourné ma langue dans ma bouche

Transformé mes points en virgule

J’ai mis de l’encre bleue dans mes cartouches

Il y avait là

Au fond de moi, l’âge

Et maintenant que j’ai tourné la page

Je suis à mal

D’éviter le conflit

Je mets mes points dans la poésie

Et quand je pense au passé

Ca me saoûle

Quand sur mes doigts

Il y avait des ampoules

C’est révolu

Je les ai mis KO

Je suis à nu

Je repars à zéro

Quelques mots d’amour

Me feraient du bien

Un peu tous les jours

Quelques mots d’amour

J’en ai besoin

Quelques mots d’amour

Dans des gants de velours

J’ai rangé mes points

Et c’est un choix

Un art de vivre

Que de laisser

Les points dans les livres

Une forte cause l’amour dans mon micro

Et ces poèmes se changeront en flots

J’ai mis mes points

Entre parenthèse

Dorénavant je me sens balaise

Si tu vois rouge

Prends un petit bol d’air

Et chante ces quelques mots

A ta manière

-Maya Barsony-

 

Le début de la fin ou l’inverse !!!!

Pour ce lundi de Pâques

Je vous fais un shampoing au oeufs deux en un 🙂

D’une part …

Pour ce 184ème voyage Martine (Quai des rimes) a le plaisir

de prendre la barre de la goélette des Croqueurs de Mots

Pour le défi de ce lundi 17 avril 2017

Elle cite ci-dessous 8 premières phrases de livres (incipit)

et 8 dernières phrases (explicit).

Je ne vous donne que celles que j’ai choisies.

Le défi consistera à choisir un début

et une fin de roman et d’écrire l’histoire (en prose ou en vers)

pour lier le début à la fin

Début de roman

« Je ne sais pas trop par où commencer« .

Philippe Claudel – Les âmes grises

Fin de roman

« – Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
– J’ai vieilli. »

Zazie dans le métro – Louis Pergaud

D’autre part …

Pour le défi « L’alphabet à thème »

Les mots étaient :

Kakatoès – Kalachnikov – Kamasutra

Je ne sais pas trop par où commencer …

Je pourrais vous parler de Mémé Jeanne et son affreux Pépé

mais j’ai peur de vous lasser .

Et puis zut, j’ai trop envie de décharger ma kalachnikov

sur ce kakatoès de mes fesses.

Alors laissez moi vous raconter une petite histoire coquine.

Oh mais je vous vois déjà outrés

Le Kamasutra un week-end de Pâques

Est-ce bien permis???

Et bien voyez-vous j’ai demandé la permission

A monsieur le curé qui m’a dit ceci :

Bien sûr que vous pouvez, mais uniquement

Avec votre conjoint (Pépé)

Il faut que ce soit une punition

Pas un plaisir .

Donc la dernière fois que Mémé Jeanne a dormi avec son Pépé,

c’était un lundi de Pâques

Etant de nature frileuse Pépé a commencé le kama sous le drap

C’est lorsque la chaleur se fit intense et que les cloches se mirent à sonner

qu’il a tenté quelques cabrioles.

C’est alors qu’il poussa un cri strident .

– Alors, qu’est-ce que t’as fait ? lui demanda Mémé

– Rien ….. J’ai vieilli.

 

Mots à maux !!!

Il y a les mots que l’on dit

Et ceux que l’on ne dit pas

Il y a les mots que l’on voudrait dire

Les mots que l’on ne veut pas dire

Les mots que l’on ne peut pas dire

Et ceux qu’on finit par dire.

Il y a les mots doux, les mots tendres

Ceux que l’on dit avec le coeur

Il y a les mots durs, les mots douloureux

Ceux que l’on dit avec la tête

Il y a les mots vrais, les mots révoltants

Ceux que l’on dit avec les tripes.

Il y a les mots fous

Fous d’amour, fous d’amitié

Fous de tendresse,

Les mots fous de joie, fous de rire

Fous de bonheur

Fous de réconfort, fous d’attention

Puis il y a les mots, fous de rage

Fous de colère, fous de haine

Fous de méchanceté,

Fous de tristesse, fous de déception.

Fous de douleur, fous de souffrance

Fous d’injustice

Il y a les mots hésitants

Les mots que l’on susurre

Les mots que l’on crie

Les mots que l’on hurle

Et les mots que l’on écrit

Il y a les mots qui sonnent faux

Les mots sincères.

Ceux qui vous blessent

Ceux qui vous hissent

D’autres qui retentissent.

Et d’autres qui s’enfouissent.

Il y a tant de mots

Et tous les maux

Ont leurs mots.

-Dimdamdom-

Pour ce premier jeudi poésie

mené par Martine (Quai des rimes)

chez les Croqueurs de Môts

je suis remontée à mes débuts …

Ceci est mon tout premier poème

Des mots inspirés par un mal être

Sur cette planète

Pas toujours nette.

J’aurais pu les corriger

Car je les trouve bien hésitants et maladroits

Mais ils étaient si sincères

Que je préfère ne rien changer

Ce sont mes mots!!!

Jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts : Abécé mène la barque !!!

Sur Ta barque

Un jour j’ai  embarqué

Nous avons fait le tour du lac

Non sans couacs

Quand un jour Elle a voulu embarquer

Sur Notre barque

Aussitôt j’ai débarqué

Vous laissant sur Votre barque

Vous avez fait le tour du lac

Il n’y eut que des couacs

De Votre barque

Tu l’as débarquée

Sur Ta barque

Tu voulais me faire rembarquer

Mais voilà ça sentait l’arnaque

Et je t’ai débarqué

Aujourd’hui il ne reste plus qu’une barque

Et plus personne pour embarquer.

-dimdamdom-

Pour ce deuxième jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

Abécé nous propose de faire un tour en barque 😉

Voici ma participation … encore une réédition

Je sens que si je continue vous allez me débarquer 😛

 

Histoire d’Ô !!!

C’était en quatorze de l’an deux mille

Que la commandante Dômi

Prenait la barre de la coquille

Après le fondateur Brunô

Suivi de l’amie Tricôtine

Elle recevait le célèbre chapô

C’est en bonne amirale

Qu’elle vogue sur les flôts des môts

Dans une ambiance drôle et amicale

Avec tous ses matelôts*

Anciens, fidèles

et quelques nouveaux

La voilà très fière de son équipage

C’est un plaisir immense

De naviguer sur les flôts du partage.

Bises amirales

Dômi.

embarcation chez abécé

Je vous présente mon drôle d’équipage

Léger, convivial, amical, dans le respect de chacun,

sans controverse, ni prise de vents.

Jill Bill et Eglantine Lilas les incorrigibles

Amtealty  la Bretonne-

Jeanne FadosiMartine (Quai des rimes) les poétesses

Lilousoleil dans son coin – Josette dans sa cachette –

Lénaïg à qui l’on souhaite un très Joyeux Anniversaire

Colette en toute simplicité – Enriqueta la prof –

Henri de Margaux et Loïc Tizef (ciel des hommes)

M’amzelle Jeanne notre doyenne

Fanfan une jeune retraitée très drôle

ABC, c’est elle qui mène la coquille cette quinzaine

Les Cabardouche un couple un peu louche

Marie Chevalier l’écrivaine

Aimela qui nous montre le chemin des Môts

Durgalola bonne petite graine et Luciole qui nous éclaire

Laura Vanel Coytte discrète et fidèle

Jazzy et Zaza deux Z partout

Pimprenelle qui a toujours une belle histoire à nous conter

Chloé qui écrit tout Z’azimut

Assoula notre dernier moussaillon

Votre commandant Dômi dans son coin de poésie

Merci à vous moussaillons

Au risque de me répéter

Je suis désolée de ne pas pouvoir vous suivre actuellement

mais c’est avec un plaisir certain que j’anime cette communauté

                                                                                                   parce que je vous aime 🙂

chats titanic sur apln-blog

Défi 183 chez les Croqueurs de Môts : Abécé nous mène en bateau !!!

C’était hier

On a pendu la crémaillère

J’ai reçu de Belgique de la bière

De Suisse du gruyère

Du thé d’Angleterre

Du café de la Cordillère

Des cailloux venant d’une huitrière

Que j’ai jetés à l’arrière

De la choucroute de Bavière

Du cochon en bétaillère

Du saucisson d’une charcutière

Du couscous dans une semoulière

De Bourgogne tout une escargotière

De Tirlemont de la betterave sucrière

Du chocolat d’une chocolatière

Et me voilà à braire …

Pour les retardataires

J’ai préparé quelques tupperware

Merci à vous bande de rastaquouères

Tout cela est somptuaire

Seulement voilà, j’ai le mal de mer

Vite vite allez me chercher ma mère

Avant qu’on ne me ramasse à la petite cuillère.

En partant n’oubliez pas de passer la serpillère

Car j’ai tout vomi sur le pont hier.

Et tant que vous y êtes faites une petite prière

Je vous donne rendez-vous au cimetière.

-dimdamdom-

Ohé Matelôts!!!

Il était une fois

Un joyeux équipage

Embarqué sur un coquillage

Ensemble il naviguait sur les Môts

Et au fil des Môts

Se partageait de jolis Môts ….

C’est ainsi qu’à commencé cette belle histoire

Voilà déjà trois ans

Je suis heureuse du chemin parcouru

en votre compagnie et j’espère que cela durera toujours 🙂

Bises amirales.

Dômi.

 

Voter oui … mais voter qui ???

[youtube]https://youtu.be/Y-o19vm4NuM[/youtube]

Je vous recommande de mettre le son !!!

Un phoque

Un peu loufoque

Danse le rock

Avec une girafe

Complètement paf

Qui lui file des baffes

Voilà que le phoque

Un peu loufoque

Se défroque

Tandis que la girafe

Complètement paf

Se dégrafe

Un renard

Peu débrouillard

Les suit du regard

Un lapereau

Pas très chaud

Se tient au chaud

Un diplodocus

Ruminant un cactus

Se gratte furieusement l’anus

Un doryphore

Chassé à la sulfateuse du Périgord

S’accroche très fort

Un dromadaire

A la mine patibulaire

Les regarde d’un drôle d’air

Une araignée

S’apprêtant à régner

Se trouve indignée

Pendant ce temps un lion altier

Flanait sous un tamarinier

A côté de son dentier

Tandis que son adoratrice

Lui astiquait la masticatrice

Avec du dentifrice

Tous voudraient que le roi lion

Dise à ces mignons

De calmer leurs pulsions

Mais aucun ordre

Ni contrordre

Pour enrayer le désordre

Le roi ne dit rien

Désormais chacun sait bien

Qu’un roi ne sert à rien.

– dimdamdom-

Pour ce second jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

Lilousoleil nous donne toute liberté

alors je me lâche 😉 😉 😉

Je n’aime vraiment pas cette campagne

faite de délation, de haine, de magouille

si c’est ça la politique, je préfère m’abstenir

et en rire 🙂

Libérée, délivrée ….

Pour le défi 182  chez les Croqueurs de Môts

Lilousoleil nous proposait un logorallye !!!

Et pas n’importe lequel… avec des mots anciens

qui commencent tous par la lettre F.

Il nous faut faire un texte en vers, en prose

ou les deux à la fois avec les mots suivant :

faucard : instrument de coup fait de plusieurs lames articulées

utilisé pour les herbes aquatiques

fentoir : large couperet à l’usage des bouchers

ferrade : marquage des bœufs au fer rouge

fétuque : une graminée des prairies

ferrandinier : fabricant d’étoffe de soir

fidéjusseur : celui qui se porte caution pour autrui

filaire : ver parasite d’Afrique tropicale de l’homme et de divers animaux

filetoupier : batteur de chanvre

fissipède : qui a le pied divisé en plusieurs doigts

fausset : broche de bois pour boucher un trou fait au foret dans un tonneau

flette ; petite chaloupe au service d’un chaland (péniche) de rivière

forlonger : distancer, laisser en arrière

fonçaille : planche supportant la paillasse dans un lit sans sommier

fustanelle : petite jupe évasée et plissée

qui fait partie du costume masculin traditionnel des Grecs

Elle nous laisse la possibilité de laisser deux mots de côté…

 

Vous vous souvenez de Pépé et Mémé Jeanne

ce couple mythique que j’ai rendu atypique?

Voici leur histoire.

Pépé est rentré dans la vie de Mémé Jeanne au siècle dernier.

Elle le trouvait très beau et enjôleur.

Toutefois il cachait une infirmité

Il était fissipède du pied gauche

suite à un accident malheureux provoqué par un faucard

En moins de temps qu’il ne le fallut

Pépé marqua le coeur de Mémé Jeanne à la ferrade .

Elle se souvient de leur première sortie,

Pépé l’avait emmenée chez le ferrandinier

Elle était émerveillée devant toutes ces étoffes.

Sans la concerter il choisit pour elle une fustanelle

Le soir même ils traversèrent un lac à bord d’une flette

pour rejoindre une petite cabane aménagée dans une prairie.

Tout était organisé par ses soins,

champagne, petits fours, petits fours, champagne .

La fonçaille était assez inconfortable,

et la paillasse aurait eu besoin du passage d’un filetoupier.

Il manquait quelques faussets dans les volets de bois,

laissant passer des senteurs de fétuques.

Mémé Jeanne avait de plus en plus de mal à respirer,

les allergies l’envahissaient et elle sentait l’agacement de Pépé.

Après quelques verres il devenait agressif et ses mots tombaient comme un fentoir.

Ils fondèrent une jolie famille, il voulait tout gérer jusqu’à la propre vie de Mémé Jeanne,

elle n’avait rien vu venir.

Quand elle comprit qu’il s’était introduit dans sa vie tel un filaire 

dans un fruit et qu’elle ne lui avait servi que de fidéjusseuse

Elle prit la décision de se forlonger.

Cela ne s’est pas fait sans mal, mais elle ne regrette rien.

La voilà libérée, délivrée 🙂

-dimdamdom-

 

L’égo dans tous ses états !!!

Toi le philosophe

Qui m’apostrophe

Chaque nuit tu vagabondes

Dans mon monde

Comme un fantôme diaphane

Dans une vielle cabane.

De derrière ta psyché

Bien caché

En toute transparence

Tu joues de mon innocence

Tu me demandes d’être honnête

Mais la vérité tu n’acceptes

J’aimais pourtant quand ta poésie

Rimait avec fantaisie

Mais tu viens de lever le voile

Sur ce que tu représentes sur la toile

Tes mots savants

Sont devenus pour moi insignifiants

Tu parles dans le brouillard

Tu joues à colin-maillard

Derrière un foulard de dentelle

Dans une lumière artificielle

Je te crains moins lorsque tu es visible

Que lorsque tu te fais invisible

Ta nouvelle politique

Prend des goûts de vomique

Tu cherches à briller

Mais le cristal est usé

Ton énigme est introuvable

Parce qu’elle est déplorable

Avec toi mon vin s’est transformé en eau

Il est devenu aussi insipide

Que toi tu es devenu schizoïde

Tu voulais voir ma nudité

La voici en toute limpidité

Ton lagon je n’ai fait que traverser

Je ne veux plus m’y arrêter

ADIEU

-dimdamdom-

A travers mes mots je ne cherche pas à faire du mal à qui que ce soit,

Souvent j’utilise ma poésie pour évacuer mes maux,

Je laisse à chacun la possibilité de les interpréter selon leur motivation

Et surtout je n’ouvre pas de débat sur les miennes.

Alors à vous tous qui me lisez,

Considérez que ce poème n’est autre qu’un exercice d’écriture

Auquel j’aime participer.

Ce qui m’amène à cette citation de Bertrand Russell

« L’objet de la philosophie,

C’est de partir d’une chose si simple

Que ça ne vaut pas la peine d’en parler et d’arriver

A une chose si compliquée que personne n’y comprend plus rien. »

Voici ma participation au premier jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

mené par Lilousoleil.

Ce poème est une réédition !!!