Je m’ennuie

Entre les rangées d’arbres de l’avenue des Gobelins

Une statue de marbre me conduit par la main

Aujourd’hui c’est dimanche les cinémas sont pleins

Les oiseaux dans les branches regardent les humains

Et la statue m’embrasse mais personne ne nous voit

Sauf un enfant aveugle qui nous montre du doigt.

-Jacques Prévert-

Certains jours je suis comme Jacques Prévert ….

Je n’ai point d’envie
Pas plus de fantaisie
Que de poésie

C’est bien ça le pire
Quand je manque de sourire
Et de mots à écrire

C’est comme un jour de pluie
Je m’ennuie
Même si au dehors le soleil luit

Alors je cherche
Qu’on me tende une perche
Et qu’on recherche

A me redonner l’envie
De fantaisie
Et de poésie

-dimdamdom-

Ceci était ma participation au second jeudi poésie

mené par Jeanne Fadosi

chez les Croqueurs de Môts

Oeil pour oeil, dent pour dent

Quand il voit sa Fernande

Le Fernand il bande

Il aime son regard de braise

Quand il la baise

Oui mais il lui arrive parfois

De se lever avec la gueule de bois

Mais attention quand sa bourgeoise

Dans la chambre il croise

Et que se dénuder elle n’a pas envie

Son regard il vaut mieux qu’il dévie

Et surtout mettre son protège-dents

Avant qu’elle lui en colle une dans les dents

C’est elle dans la danse

Qui toujours donne la cadence

Voilà que sans remord la Fernande

Le renvoie aux Calendes

Fernand n’a plus qu’à oublier la bagatelle

Et à remonter ses bretelles.

-dimdamdom-

Version revisitée d’une chanson d’un auteur connu

pour son langage un peu cru

ce qui n’enlève rien à son talent.

Je pense que vous l’avez tous reconnu 😉

Voici ma participation au premier jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

mené par Jeanne Fadosi

sur le thème de la vision.

 

L’enfermement

Longtemps que je ne m’abandonne plus dans mon coin de poésie

par manque de temps et d’inspiration.

L’un ne va pas sans l’autre.

Quand j’ai du temps, je n’ai pas d’inspiration

et quand je suis inspirée, je n’ai pas le temps.

Alors je glane des mots, par ci, par là et certains sont vraiment très beaux.

Ceux que j’ai choisis, sont le reflet de mon ressenti dans ma vie en ce moment.

J’ai tellement envie d’aller vers les gens, d’écrire, de publier

et je réalise que je rentre dans l’enfermement, sans comprendre pourquoi.

S’abandonner

Elle peut toujours sniffer du curcuma
L’élixir fatal d’un apothicaire
Même après quinze jours d’abstinence
Et s’être attachée dans son silence
L’actualité est un putain de virus
Qui transforme l’orgasme
En maladie rare

Comment se dessaisir
De l’insaisissable
Débrancher les ondes nuisibles
Écouter celles des insectes
Et fermer les yeux à la mort

L’amour présent est une évaporation
D’effluves et de sentiments
Qui illumine le scoop de l’instant
S’érige en parenthèses voluptueuses
Loin du brouhaha des échappements
Va et vient comme il vit
Tomber sous son charme
Se laisser bercer
Par la douce chaleur du soleil
Blotti dans un havre vert
Où l’esprit erre dans son ombre

Profiter de la brise solaire
Qui honore la paroi nord
D’une tendre et chair
Balaie la brume
Pour laisser place
À un bleu hypnotique
Qu’une montée au ciel
Ne négligerait pas
Face à une sombre poussée
D’un enfermement ostentatoire
De quelques fous qui auraient oublié
D’ouvrir la cage à la beauté
Et à la préciosité de la vie

Éternellement
Reprendre son souffle
Le bonheur
Personne ne connaît mes rêves
Ni même Dieu
Je suis allé dans le phare
Épier la libellule
Sur le limon des anges
Elle s’est assoupie
Sur les ailes désirables
De son front tiède
J’écoute le charivari de son cœur
Où j’écris à son ombre
Une ultime fréquence

-James Px.-

Ce poème ne m’appartient pas

Je l’ai trouvé sur le net dans un site de poésie …

LIBROSOPHIA

Je n’ai pas vu d’interdiction de partager,

Si toi l’auteur de ce poème venait ici à te reconnaître

Sache que je n’’ai pas volé tes mots

J’ai juste eu envie de les partager

Afin de les faire traverser toutes les frontières .

 

 

 

L’injustice …

Rien à dire

C’est bien ça le pire

Il faut que tu te taises

C’est ça qui me pèse

Il faut que tu t’inclines

C’est ça qui me chagrine

Il faut que tu mentes

C’est ça qui me tourmente

Il faut que tu te venges

C’est ça qui me dérange

Il faut que tu doutes

C’est ça qui me dégoute

Demande moi de rire

C’est tout ce que je peux faire de pire!!!

-dimdamdom-

Voici ma participation au premier défi poésie mené par Jill Bill

chez les Croqueurs de Môts

sur le thème de l’injustice.

Vos gueules les hiboux !!!

Pour ce défi poésie dont je suis la meneuse chez les Croqueurs de Môts

encore une fois j’ai sorti un poème de la cale du batô.

Pardonnez-moi si je me répète, mais voilà,

celui-ci à mon humble avis est incontournable.

A force de le ressortir, qui sait peut-être un jour il attirera l’intérêt d’un éditeur.

Alors voilà mon poème sur le thème des vacances 😉

 

Vos gueules les hiboux …

A la mi-août

Nous voilà sur la route

De retour de vacances

Au revoir douce France

Quand soudain un éléphant roux

Passe devant nos roues

Mon chéri fait une embardée

Pour éviter l’animal effrayé

Voilà qu’il freine comme un fou

Et nous nous retrouvons sur un chemin de cailloux

Il fait presque nuit

La lune dans le ciel luit

Sur une branche deux majestueux hiboux

Crient “hou hou”

Mon époux tente de redémarrer

Le moteur semble peiner

Il sort et se met à genoux

Pour regarder en dessous

Malgré l’obscurité

Il voit que la roue a pété

Voilà qu’il se met à pester contre cette ogresse

En fin de grossesse.

Il sait qu’avec une voiture

Quand la roue pète c’est la mort sûre

Il souffre de partout

Ce qui lui fait faire une vilaine moue

Maintenant il faut bien

Appeler un mécanicien

Pour le changement de cette fichue roue

Dans laquelle il y a un énorme trou

Oui mais comment le payer

En vacances nous avons dépensé tous nos deniers

Aux enfants il ordonne de donner tous leurs joujoux

Vous les auriez vu pleurer les pauvres choux

Le mécanicien fut appelé

Et la roue réparée

Mais il refusa les joujoux

Leur préférant mes bijoux

Tout est bien qui finit bien

Dans cette histoire qui ne ressemble à rien

Et sur leur branche les deux hiboux

Continuaient à faire “hou hou”…

Après notre mésaventure

Avec notre voiture

Le mauvais état des genoux

De mon époux

Nous reprenions la route

Cette nuit de la mi-août

Les enfants avec leur joujoux

Et moi dépouillée de mes bijoux

Nous roulions gentiment

Nous éloignant lentement

Des deux hiboux

Qui faisaient “hou hou”

La fatigue se faisant sentir

Nous cherchions un coin pour dormir

Mon mari prit cette fois un petit chemin de boue

Parsemé de quelques cailloux

Il faisait nuit

La lune se cachait derrière des nuages de pluie

Et sur une branche “hou hou”

Faisaient toujours deux hiboux

A l’arrière les petits choux déjà endormis

Mon tendre amour et moi de la voiture sommes sortis

Quand soudain nous glissions dans la boue

Encore un peu nous nous rompions le cou

Mais très vite nous prenions du plaisir

A nous vautrer dans cet élixir

Sous le regard des deux hiboux

Qui faisaient maintenant “bou bou”…

Après le cauchemar

De la mare

C’est dans une clarté entre chien et loup

Et recouvert de boue

Que nous essayions de nous agripper

Pour jusqu’à la voiture nous hisser

Et qui donc faisaient toujours “hou hou”?

Ces deux crétins de hiboux

Soudain mon mari

Lança un horrible cri

Voilà qu’il était prêt à s’embourber

Il fallait que je trouve une bouée

J’étais moi même dans la boue

Jusqu’aux genoux

Pour la suite pardonnez mon indécence

Digne d’une gamine pas encore sortie de l’adolescence…

J’eus juste le temps d’enlever mon slip

Croyez moi ça valait bien un vidéoclip

Oui mais pas de caméra dans les joujoux

De mes petits choux

Je lui envoyais donc de mon slip l’élastique

J’en conviens que cela n’est guère pratique

Il me promit que si par magie je le sortais de cette boue

A notre retour il me couvrirait de bijoux

Et m’emmènerait voir un spectacle de travestis

Ces mecs déguisés qui s’exhibent dans les cabarets de Paris

Quel air pathétique

Pour son premier envol à l’élastique

Et toujours les deux hiboux incrédules

Qui de leur branche hululent!!!….

Après cette histoire mythique

Du saut à l’élastique

Et ces hiboux

Qui sans cesse faisaient “hou hou”

Nous reprenions la route

En cette nuit tragique de la mi août

Nos enfants tenaient sur leurs genoux

Leurs derniers joujoux

Tandis que mon mari et moi

Etions encore tout en émoi

Nous avions une faim de loup

De Bruxelles nous rêvions de choux

 Fallait-il encore les accommoder

Avec un morceau de viande de notre boucher

Oui mais voilà nous n’avions plus un sous

Ni même de bijoux

Sur la branche toujours les deux hiboux

Qui faisaient “hou hou”

Ne voulant pas les tuer

Tout au plus les effrayer

Mon mari lança des cailloux

Pour faire fuir les sacs à poux

Mais c’est complètement sonnés

Que tous les deux de l’arbre sont tombés

Il ne nous manquait plus que les choux

Pour manger les hiboux à la mode de chez nous

Pendant que mon chéri s’occupait de la flambée

Et se chargeait de les déplumer

A défaut de choux je me décidais de préparer un court bouillon

De chenilles avant transformation en papillon

Accompagnées d’oeufs de cafards

En éclosion, met, dit-on, aussi fin que du caviar

Au moment de planter la fourchette

C’est éperdues que les pauvres bêtes

Qui nous avaient accompagnés jusqu’au bout

Se mirent à crier “pas nous pas nous”

-dimdamdom-

Bienvenue chez les Croqueurs de Môts

Pour cette quatrième rentrée, peut-être cinquième, je ne sais plus trô,

en tant que commandant de la célèbre coquille,

juste après Brunô, le fondateur, suivi de Tricôtine

qui tricotait si bien les Môts

j’ai proposé qu’ensemble nous donnions

à de nouveaux moussaillons , l’envie de nous rejoindre

dans cette formidable aventure des Môts.

Pour se faire j’ai demandé de créer sur votre blog

un texte drôle ou pas, en prose ou en vers,

d’utiliser des images, photos, vidéos, tout ce qui vous passe par la tête

et d’inviter les gens au voyage des Môts .

Pour ma participation, j’ai ressorti des cales du navire

un petit poème que beaucoup connaissent

qui me tient très à coeur.

Ce poème désuet reflète bien ma vision de la blogosphère,

depuis dix ans que je navigue sur les flôts des Môts.

Si cela vous tente, je vous invite à nous y rejoindre

sans aucune contrainte, juste pour le plaisir de voyager ensemble.

Mais attention s’il n’y a pas de contraintes, il y a des règles à suivre.

Bon vous me suivez ???

Si oui c’est par ici, anciens, irréductibles et nouveaux

soyez les bien venus là-bas …

Le blog de la communauté des Croqueurs de Môts

Dis papa c’est vrai que la politesse

 C’est de ne pas montrer ses fesses

 Tu n’as pas tort

 Mais encore!!!

 La politesse

 C’est rendre avec délicatesse

 Des mots de tendresse

 A ceux qui te les adressent

 Dis papa , un égoïste, tu crois

 Que c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi

 Tu n’as pas tort

 Mais encore

 Un égoïste n’est épanoui

 Que si on ne pense qu’à lui

 Il dort la nuit

 Le monde peut s’écrouler autour de lui

 Dis papa, c’est vrai qu’un blog

 Est un endroit où l’on dialogue

 Tu n’as pas tort

 Mais encore

 Un blog est un endroit de partage

 Où de page en page

 Il s’en dégage

 Des sentiments sages

 Alors papa suis-je assez sage

 Pour commencer ce partage

 Oui si tu respectes les mots

 Que je t’ai dits plus haut

 Et si tes mots

 Jamais ne sonnent faux

 -dimdamdom-

C’est la rentrée chez les Croqueurs de Môts

Pour la rentrée chez les Croqueurs de Môts

Voici un petit poème tout mignon

Que j’ai été rechercher dans mon coin de poésie

L’école en poésie

L’odyssée poétique de la rentrée

Mon cartable

Mon cartable a mille odeurs,

Mon cartable sent la pomme,

Le livre, l’encre, la gomme,

Et les crayons de couleurs.

Mon cartable sent l’orange,

Le bison et le nougat,

Il sent tout ce que l’on mange,

Et ce qu’on ne mange pas.

La figue, la mandarine,

Le papier d’argent ou d’or,

Et la coquille marine,

Les bateaux sortant du port.

Les cowboys et les noisettes,

La craie et le caramel,

Les confettis de la fête,

Les billes remplies de ciel.

Les longs cheveux de ma mère,

Et les joues de mon papa.

Les matins dans la lumière,

La rose et le chocolat.

-Pierre Gamarra-

Bonne rentrée à toutes et tous

Le rideau est tombé

Aujourd’hui était pour moi un jour important

Aussi beau qu’un jour de printemps

Je reviens d’un long voyage

A bord de mon petit nuage

Je suis allée cueillir quelques fleurs

Pour vous faire un bouquet de bonheur

Un bouquet qu’il vous faudra entretenir

Pour ne pas le laisser mourir

Le printemps c’est douceur

Le printemps c’est couleur

Je vous le souhaite porteur

De toutes ces saveurs.

-dimdamdom-

Merci Denis, Oriane, So Ft, Elisa, Mélina, Bérengère, Silvia, Marie, Isaline, Camille

pour ce que vous m’avez apporté tout au long de cette année, grâce à vous j’ai retrouvé

confiance en moi et ça fait un bien fou 😍

Voici ma dernière participation de la saison chez les Croqueurs de Môts

Je vous retrouve en septembre pour de nouveaux défis

en espérant vous retrouver nombreux 😀

A très bientôt.

Bises amirales.

Dômi.

Lettre à Mathieu

Pour ce défi 206 chez les Croqueurs de Môts

Asfree nous demande d’imaginer qu’un personnage fictif rencontré

à travers un roman ou un film nous écrive ?

A moins que se soit nous qui ayons quelque chose à lui dire.

Alors voilà, comme je n’ai guère de temps en cette fin de saison

je me suis inspirée d’un ancien défi , j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.

Bonjour Mathieu,

Je pose à l’instant  le roman de Clémentine Célarié

dans lequel tu joues le personnage principal.

J’avoue que je me suis empressée d’en commencer la lecture

afin de pouvoir répondre à un défi chez les Croqueurs de Môts 

“On s’aimera” ce livre, au titre emprunté à un célèbre chanteur

raconte l’histoire d’une famille engluée dans sa richesse matérielle,

smartphone, écrans divers, et autres symboles du progrès de la technologie

et  se retrouve soudain bloquée dans sa luxueuse maison

par une violente tempête de neige ….

Je suis admirative, Mathieu, devant ta détermination

de vouloir réunir cette famille de “geek” complètement à l’Ouest.

i'm accroJe ne sais encore si tu es parvenu à leur réapprendre à se parler,

à s’écouter, à se regarder, à se toucher, à s’aimer

mais j’apprécie ta persévérance et le ton enjoué que tu as utilisé pour y arriver.

Alors il faut que je te dise pourquoi j’ai choisi cette lecture.

Tout comme toi Mathieu je me retrouve bloquée par une violente tempête dans ma vie.

Avant j’étais engluée dans une ambiance, métro, boulot, dodo, famille,

quand un tsunami a tout fait basculer.

Alors je me suis réfugiée derrière des écrans divers ,

chaque matin je me levais en mettant mes statuts à jour

puis je faisais le tour de mes contacts virtuels.

Après la pause café je commentais le statut ou l’article

de Pierre, Jacques ou Paul, puis voila cool j’avais un nouvel ami.

Avant midi j’allais vite voir si l’un ou l’autre

avait commenté mon dernier article et …. rien.

Je me suis retrouvée désarmée avec le sentiment

que mes amis me délaissaient parce qu’il n’avaient

que faire de mes états d’âme.

Maintenant j’aimerais tant qu’un petit gars comme toi Mathieu

m’aide à retrouver ma vie d’avant .

Du coup, tu vois,  je me suis posée quelques questions afin de comprendre

pourquoi je suis tombée dans cet engrenage.

Pour se faire je me suis inspirée d’un article dans un magazine

Que j’ai un peu tourné à ma sauce!!!

Voici ce qu’il nous dit :

Pourquoi sommes nous addicts aux réseaux sociaux et pas que

Simplement, enfin c’est pas si simple,

parce qu’on se façonne une vie parallèle.

On a besoin de reconnaissance,

mais on ne la trouve pas dans la vie réelle.

Alors que sur les réseaux sociaux, blogs y compris

on a l’impression d’être une super star

parce qu’on a des centaines d’amis même des grandes stars

Qu’on ne connait, ni d’Eve, ni d’Adam enfin parfois on les connait

Ce qui m’a valu un coup de gueule un jour sur mon compte privé de FB

On nous tague un peu partout, on réagit à notre statut,

On s’extasie qu’on puisse se lever le matin

Prendre son bain, manger aller aux toilettes …

On nous oblige à aimer et commenter

Ne pas aimer, est une chose impossible

On s’expose sur les photos, de nos vacances, de nos soirées

On expose, nos amours nouveaux ou déchus.

Bref on fait notre People en nous fabricant une image.

Et le comble, c’est qu’on adore ça et on en redemande!!!

On y cherche aussi un psy à moindre coût

On  utilise les blogs et les réseaux sociaux comme thérapie.

Ils sont notre confessionnal.

On n’est pas face à la personne à qui l’on se confie.

Il n’y a ni pleurs, ni cris, ni silences, ni regards

Qui en disent long,  juste des mots et des smileys.

Et ça fait tellement de bien de “PARLER”

Que finalement, dès qu’il nous arrive le moindre évènement,

On envoie un message à l’un de nos contacts

Et on attend impatiemment derrière son écran une réaction.

D’ailleurs il me tarde de voir vos commentaires 😉

J’aime beaucoup le livre de Clémentine Célarié qui nous ouvre les yeux

sur une virtualité devenu hélas tellement réalité.