Et si on en riait!!!!

Ballade à travers les fables de La Fontaine!!!

 

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Cette photo a été prise lors de mes dernières vacances dans un parc  » Fenestre » de La Bourboule (Puy de Dôme »)

Tout au long duquel, nous avons pu découvrir ces fables de La Fontaine!!!

Chaque semaine ou mois un thème est choisi

Pour le plus grand plaisir des touristes!!!

 

Alors, je vous rassure, le texte ci-dessous est un peu long

Mais pas piégé!!!

Je m’en suis inspirée, pour dire que parfois dans la vie

On vit des situations difficiles, que l’on gère plus ou moins bien

Et que moi j’essaye dans la mesure du possible

De les gérer avec le sourire!!!

 

Le Milan, le roi et le chasseur!!!

 

Comme les Dieux sont bons, ils veulent que les Rois

Le soient aussi : c’est l’indulgence
Qui fait le plus beau de leurs droits,
Non les douceurs de la vengeance :
Prince, c’est votre avis. On sait que le courroux
S’éteint en votre coeur sitôt qu’on l’y voit naître.
Achille qui du sien ne put se rendre maître,
Fut par là moins Héros que vous.
Ce titre n’appartient qu’à ceux d’entre les hommes
Qui, comme en l’âge d’or, font cent biens ici-bas.
Peu de Grands sont nés tels en cet âge où nous sommes,
L’Univers leur sait gré du mal qu’ils ne font pas.
Loin que vous suiviez ces exemples,
Mille actes généreux vous promettent des Temples.
Apollon, Citoyen de ces Augustes lieux,
Prétend y célébrer votre nom sur sa Lyre.
Je sais qu’on vous attend dans le Palais des Dieux :
Un siècle de séjour doit ici vous suffire.
Hymen veut séjourner tout un siècle chez vous.
Puissent ses plaisirs les plus doux
Vous composer des destinées
Par ce temps à peine bornées !
Et la Princesse et vous n’en méritez pas moins :
J’en prends ses charmes pour témoins ;
Pour témoins j’en prends les merveilles
Par qui le Ciel, pour vous prodigue en ses présents,
De qualités qui n’ont qu’en vous seuls leurs pareilles
Voulut orner vos jeunes ans.
Bourbon de son esprit ces grâces assaisonne,
Le Ciel joignit en sa personne
Ce qui sait se faire estimer
A ce qui sait se faire aimer.
Il ne m’appartient pas d’étaler votre joie ;
Je me tais donc, et vais rimer
Ce que fit un Oiseau de proie.
Un Milan, de son nid antique possesseur,
Etant pris vif par un Chasseur,
D’en faire au Prince un don cet homme se propose.
La rareté du fait donnait prix à la chose,
L’Oiseau, par le Chasseur humblement présenté,
Si ce conte n’est apocriphe,
Va tout droit imprimer sa griffe
Sur le nez de sa Majesté.
– Quoi ! sur le nez du Roi ?- Du Roi même en personne.
– Il n’avait donc alors ni Sceptre ni Couronne ?
– Quand il en aurait eu, ç’aurait été tout un :
Le nez Royal fut pris comme un nez du commun.
Dire des Courtisans les clameurs et la peine
Serait se consumer en efforts impuissants,
Le Roi n’éclata point : les cris sont indécents
A la Majesté Souveraine.
L’Oiseau garda son poste : on ne put seulement
Hâter son départ d’un moment.
Son Maître le rappelle, et crie, et se tourmente,
Lui présente le leurre, et le poing ; mais en vain.
On crut que jusqu’au lendemain
Le maudit animal à la serre insolente
Nicherait là malgré le bruit
Et sur le nez sacré voudrait passer la nuit.
Tâcher de l’en tirer irritait son caprice.
Il quitte enfin le Roi, qui dit : Laissez aller
Ce Milan, et celui qui m’a cru régaler.
Ils se sont acquittés tous deux de leur office,
L’un en Milan, et l’autre en Citoyen des bois :
Pour moi, qui sais comment doivent agir les Rois,
Je les affranchis du supplice.
Et la Cour d’admirer. Les Courtisans ravis,
Elèvent de tels faits, par eux si mal suivis :
Bien peu, même des Rois, prendraient un tel modèle ;
Et le Veneur l’échappa belle,
Coupable seulement, tant lui que l’animal,
D’ignorer le danger d’approcher trop du Maître.
Ils n’avaient appris à connaître
Que les hôtes des bois : était-ce un si grand mal ?
Pilpay fait près du Gange arriver l’aventure.
Là, nulle humaine Créature
Ne touche aux animaux pour leur sang épancher.
Le Roi même ferait scrupule d’y toucher.
Savons-nous, disent-ils, si cet Oiseau de proie
N’était point au siège de Troie ?
Peut-être y tint-il lieu d’un Prince ou d’un Héros
Des plus huppés et des plus hauts :
Ce qu’il fut autrefois il pourra l’être encore.
Nous croyons, après Pythagore,
Qu’avec les Animaux de forme nous changeons :
Tantôt Milans, tantôt Pigeons,
Tantôt Humains, puis Volatilles
Ayant dans les airs leurs familles.

Comme l’on conte en deux façons
L’accident du Chasseur, voici l’autre manière.
Un certain Fauconnier ayant pris, ce dit-on,
A la chasse un Milan (ce qui n’arrive guère),
En voulut au Roi faire un don,
Comme de chose singulière.
Ce cas n’arrive pas quelquefois en cent ans ;
C’est le non plus ultra de la Fauconnerie.
Ce chasseur perce donc un gros de Courtisans,
Plein de zèle, échauffé, s’il le fut de sa vie.
Par ce parangon des présents
Il croyait sa fortune faite :
Quand l’Animal porte-sonnette,
Sauvage encore et tout grossier,
Avec ses ongles tout d’acier,
Prend le nez du Chasseur, happe le pauvre sire :
Lui de crier ; chacun de rire,
Monarque et Courtisans. Qui n’eût ri ? Quant à moi,
Je n’en eusse quitté ma part pour un empire.
Qu’un Pape rie, en bonne foi
Je ne l’ose assurer ; mais je tiendrais un Roi
Bien malheureux, s’il n’osait rire :
C’est le plaisir des Dieux. Malgré son noir souci,
Jupiter et le Peuple Immortel rit aussi.
Il en fit des éclats, à ce que dit l’Histoire,
Quand Vulcain, clopinant, lui vint donner à boire.
Que le peuple immortel se montrât sage ou non,
J’ai changé mon sujet avec juste raison ;
Car, puisqu’il s’agit de morale,
Que nous eût du Chasseur l’aventure fatale
Enseigné de nouveau ? L’on a vu de tout temps
Plus de sots Fauconniers que de rois indulgents.

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Et si on en riait!!!!:
Ballade à travers les fables de La Fontaine!!!

 

 

Cette photo a été …

Fin d’une belle époque!!!

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II faut tourner la page
Changer de paysage
Le pied sur une berge
Vierge
II faut tourner la page
Toucher l’autre rivage
Littoral inconnu
Nu
Et là, enlacer l’arbre
La colonne de marbre
Qui fuse dans le ciel
Tel
Que tu quittes la terre
Vers un point solitaire
Constellé de pluriel
II faut tourner la page…
Redevenir tout simple
Comme ces âmes saintes
Qui disent dans leurs yeux
Mieux
Que toutes les facondes
Des redresseurs de monde
Des faussaires de Dieu
II faut tourner la page
Jeter le vieux cahier
Le vieux cahier des charges
Oh yeah
II faut faire silence
Traversé d’une lance
Qui fait saigner un sang
Blanc
II faut tourner la page
Aborder le rivage
Où rien ne fait semblant
Saluer le mystère
Sourire
Et puis se taire….

 

Claude Nougaro

 

Ben voilà, comme à mon accoutumée

J’ai cherché les mots

Ils tournaient fou dans ma tête

Mais je n’ai pu les coller sur la page

Alors je les ai empruntés

A un grand monsieur!!!

 

Ben oui, pour moi une page vient de se tourner

Je ne l’ai pas choisi

Dès à présent

C’est ici et nulle part ailleurs

Que vous pouvez venir laisser vos mots!!!

 

Fini, la concurrence,

Je reviens à la case départ

Et je refais de ce blog

Uniquement un endroit de partage!!!

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Fin d’une belle époque!!!:

 

II faut tourner la page
Changer de paysage
Le pied sur une berge
Vierge
I …

Le fabuleux destin de Dimdamdom!!!

Ben voilà, le choc du départ de l’enfant prodigue étant un peu estompé

Je me suis plongée dans mes souvenirs de vacances

Pour vous faire cette petite vidéo

Qui évoque pour moi de bien belles choses

De très belles rencontres

A travers les routes de France et de Blogswizz

C’est ainsi que le virtuel finit par prendre des allures de réel

Et je vous invite tous à en faire autant

Dans les mesures du possible!!!

 

Lénida, Martine, Argi, la qualité de cette vidéo n’est pas excellente, je vous l’enverrais l’originale en privé!!!!

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Le fabuleux destin de Dimdamdom!!!:
Ben voilà, le choc du départ de l’enfant prodigue étant un peu estompé

Je me suis plongée dans …

L’aventure c’est l’aventure!!!!

Et bien voilà, tout à une fin!!!

J’aurais du faire de ce billet

Un rayon de soleil

Et voilà, que mon coeur est un peu terne aujourd’hui

Pourtant je le savais depuis quelques temps

J’ai eu toutes mes vacances pour m’y faire

Et pourtant ce matin

J’avais la vue embrouillée

La voix rauque

Le coeur à l’envers!!!

Je sais ce que vous allez me dire

T’as encore abusé toi!!!

 

Bon, j’avoue

Mais c’était pour la bonne cause

Puisque, ce matin le petit oiseau

Qui avait retrouvé le nid

A repris son envol

Mais cette fois, il s’est envolé au delà des océans

Pour découvrir d’autres horizons

Et il aurait tort de s’en priver!!!!

Alors je lui souhaite une merveilleuse année

Pleines de découvertes

Dans ce merveilleux pays

Qu’est le Canada!!!

Amuses-toi mon garçon

Et savoure chaque instant de cette liberté!!!

 

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Donnez moi un peu de temps avant de réaliser vraiment

Et je ferai un article

Avec mes souvenirs de vacances

Des vacances où j’ai rencontré des personnes super

Pour qui j’ai une grande affection!!!

 

 

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L’aventure c’est l’aventure!!!!:
Et bien voilà, tout à une fin!!!

J’aurais du faire de ce billet

Un rayon de soleil

On s’attache!!!

 

 

Nous sommes le 25 juillet et je me demande ce que je pourrais bien vous raconter aujourd’hui!!!

A vrai dire je n’ai pas trop d’inspiration, ni de motivation;

Trop de belles choses à vivre en dehors du net en ce moment.

Faut avouer, à part les Bretons, pauvres Bretons, nous sommes gâtés par la météo!!!

Et donc plaisirs de plein air à gogo!!!


Bon je vais essayer quand même de vous raconter quelques chose!!!

Ben voilà, quand on est maman de trois grands garçons, on a le bonheur de croiser de jolies jeunes filles.

Ils vous les amènent à la maison, parfois c’est éphémère parfois ça dure des mois , des années.

Et que fait-on nous parents et bien on s’attache, tant et si bien que le jour où on vient vous annoncer que ce n’était pas la bonne et bien on ne peut faire
autrement que de verser quelques larmes et ressentir au fond de son coeur cette douleur si caractéristique qu’on ressentait nous même à chaque chagrin d’amour!!!

Puis il vous faut refaire bonne figure devant une nouvelle tête, se réhabituer à un nouveau caractère, refaire des manières… et c’est ainsi que nos petits
deviennent des hommes!!!

Voilà ce qu’est la vie d’une maman et d’une belle maman!!!

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On s’attache!!!:
 

 

Nous sommes le 25 juillet et je me demande ce que …

Hasta la vista!!!

http://i46.tinypic.com/6ohi0k.jpg

 

Bon, pour la plupart vous aurez déjà lu cet article dans votre messagerie aujourd’hui,

Mais comme j’ai laissé quelques adresses chez BW, et que ce sont les vacances annuelles donc pour tous ceux qui n’ont pas lu
mon message le voici :

Voilà quand la motivation n’y est pas ou n’y est plus,
Et c’est mon cas en ce moment et sûrement le cas de beaucoup d’autres
Dans ce cas mieux vaut s’abstenir!!!
Le soleil , les vacances, la nature me donnent envie de profiter pleinement , plutôt que de rester plantée des heures derrière mon PC!!!
Donc, n’en prenez pas ombrage, je m’octroie une pause!!!
Je vous souhaite le meilleur du monde pour cette période estivale et vous donne rendez-vous, dans quelques jours, quelques mois…. au grès de mes envies!!!

Aussi, je vais profiter de cette pause pour changer mon décor et réfléchir à des sujets plus intéressants que cette coupe du
monde!!! Un mois de foot c’est long, j’en conviens!!!

Il est probable que je revienne ici pour re- publier quelques-unes de mes chroniques qui sont tombées dans les oubliettes, par
manque d’intérêt pour ce sport!!! Mais aussi pour faire un test!!!

En effet ma plateforme qui est over-blog, nous propose de vendre nos articles, alors pourquoi ne pas essayer, qui sait ,
trouverai-je peut-être la célébrité mdr!!!

Aussi en tant qu’associée de Blogwizz, nous allons prendre le temps de vous proposer des nouveautés pour cette merveilleuse
plateforme qui ne demande qu’à revivre!!!

Hasta la vista!!!



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Hasta la vista!!!:

 

Bon, pour la plupart vous aurez déjà lu cet article dans votre messagerie aujourd’hui,

Rien à foot!!!!

Salut les filles!!!

Bon je sais pour la plupart d’entre vous, vous ne lirez pas mon article,

moi même je ne l’ai pas entièrement lu, et pour cause c’est du FOOT!!!


Mais bon, pour ne pas mourir idiote et surtout ne pas leur faire croire qu’on l’est

je m’y suis un peu intéressée, ça vaut quand même son pesant d’or de connerie!!!



Alors les filles je vous autorise à zapper et à passer directement à la fin de mon article!!!


Ces expressions qui n’appartiennent qu’au foot


Nous vous proposons un voyage à travers le jargon parfois bizarre du milieu

Le langage du sport en général, et du football en particulier, est truffé de métaphores et d’expressions qui n’appartiennent qu’à lui. En ce dernier jour de l’an, nous vous proposons un voyage –
en plein dans l’autodérision, puisque nous sommes les premiers à reproduire ces termes – à travers ce jargon parfois incompréhensible ou dénué de sens mais souvent universel. Le seul but : rire
de cette linguistique spéciale.

Le détail qui fait la différence : c’est inévitable lorsque le score est étriqué, l’équipe a perdu sur un détail comme une faute inutile, une erreur de placement, de marquage, de
concentration. Les mêmes détails qui font parfois perdre un match 3-0. Bizarrement, on entend rarement dans les commentaires « qu’on a perdu à cause de trois détails ».

L’erreur qui se paie cash :
c’est celle que l’on retient. Si un joueur commet exactement la même erreur mais que l’adversaire n’en profite pas, ce sera beaucoup moins grave.

La bête faute et la faute nécessaire, qualifiée aussi de faute intelligente ou professionnelle : l’acte est souvent le même, mais le premier a lieu à hauteur de la ligne médiane,
l’autre de la surface de réparation.

Le joueur transparent :
qualifie bassement celui qu’on ne voit pas du match. S’il marque deux buts, on louera sa capacité à se faire oublier et on parlera de renard des surfaces.

La lanterne rouge :
métaphore de la lanterne qui était, dans le temps, accrochée au dernier wagon des trains. Aujourd’hui, c’est un terme qui met en lumière la dernière équipe du
classement, souvent peu… brillante.

Le match à six points :
il n’en rapporte toujours que trois. Est qualifié ainsi, car le vainqueur empêche aussi son adversaire direct de prendre trois points. S’il gagne, il prend donc
trois unités d’avance là où il aurait pu en concéder trois d’où la différence de six points.

Mouiller son maillot et montrer de l’envie : cette exigence revient toujours dans la bouche des supporters insatisfaits. « Si seulement ils mouillaient leur maillot » . Personne
n’a jamais (volontairement du moins) couru dans le vide sans s’occuper du ballon juste pour montrer son envie et satisfaire le peuple.

Prendre du plaisir : ce qu’un coach demande souvent à ses joueurs avant un match. Chacun s’accordera à admettre, en cas de victoire pénible, que l’essentiel était de prendre
trois points.

Les termes guerriers

Soyez agressifs… mais dans le bon sens du terme

Certaines actions, pourtant identiques, font parfois l’objet de commentaires antagonistes, selon l’auteur de l’acte. C’est ainsi qu’une même faute sera tantôt « un tacle viril » tantôt « une
agression ».

L’agressivité dans le bon sens du terme, muscler son jeu et mettre le pied : la définition d’agression mentionne une attaque non provoquée, injustifiée, généralement soudaine et
brutale. Dans le bon sens du terme, c’est sans doute la capacité de chatouiller les chevilles sans sanction de l’arbitre. Comme Stijnen sur Podolski ?

Le front de l’attaque : relu quinze fois, c’est toujours aussi difficile à analyser. Commentaire des Cahiers du football : « Certains attaquants agaçants balaient le front de
l’attaque comme une mèche rebelle. Chez un entraîneur, le front de l’attaque est creusé de profondes rides, appelées tranchées. » En finale du Mondial, Zidane a confondu le front de l’attaque et
l’attaque de front.

Le clash : c’est plus trash que le sommet ou le choc. On peut aussi aller au clash avec un club, un joueur ou un entraîneur.

Avoir la haine de la défaite : personne n’aime perdre. Il ne faut pas en faire tout un plat.

Les excuses faciles

Comment se mettre un peu de baume au cœur ?

Très (trop) souvent, les joueurs et les entraîneurs nous sortent, à la fin d’un match (admettons que ce n’est pas le moment idéal pour s’exprimer), un discours formaté qui, d’un côté, a pour but
de ne pas mettre sa place de titulaire en péril et, de l’autre, exige de ne pas empiéter maladroitement, au risque de froisser, sur le discours qui se tiendra en interne.

Certaines expressions ont aussi pour but de ne pas froisser.

L’attaquant de poche : décrit celui qui est souvent trop petit pour s’imposer dans le football moderne. On louera sa vivacité.

La chance se provoque : réplique courante de quelqu’un vexé par le constat d’une victoire avec un certaine réussite.

On n’a pas su saisir notre chance : manière gentille de ne pas vexer les attaquants qui ont raté beaucoup d’occasions. On peut aussi utiliser « il a fait le mauvais choix » ou « il
y avait la place pour faire mieux ».

Un match très tactique : pourquoi ne pas avouer directement qu’on s’est ennuyé ? On loue aussi l’organisation adverse.

La passe téléphonée : il y a les passes ratées qui vont en touche. Celle-là est interceptée par l’adversaire.

Il n’est performant qu’en match : manière sympa de laisser une star glander aux entraînements. Le joueur d’entraînement est celui qui réussit tout en semaine, rien le
week-end.

Un joueur étrangement seul : maquillons l’erreur de celui qui devait l’accompagner.

Tirons à la même corde ou jouons en bloc : solution répétée aux journalistes qui demandent la solution aux résultats négatifs. Bref, certains jouent trop leur carte
personnelle.

Dans le collimateur de l’arbitre : ce dernier est, lui, toujours du mauvais côté du fusil dans les déclarations d’après-match.

Rien que le poids des mots

En vrac, quelques-unes des autres expressions courantes du monde du ballon rond

D’autres formulations célèbres.

Se mettre à l’abri : lorsqu’un joueur plante le 2-0 à un quart d’heure du terme, il aura mis son équipe à l’abri de toute mauvaise surprise. Jusqu’au moment, bien entendu, où
l’adversaire plantera le 2-1 ce qui permettra de sortir une autre expression éculée : « Un match dure nonante minutes. »

Le coaching gagnant : non, les coaches ne sont pas responsables que des défaites.

Le marquage à la culotte : capacité à ne pas lâcher son opposant d’une semelle… et à lui en mettre une de temps en temps.

Il s’est empalé dans la défense : plus poétique que de dire que l’attaquant n’a tout simplement pas su prendre le dessus sur les défenseurs.

La forêt de jambes : une variante de la précédente mais dans une défense regroupée. S’il force l’exploit, on précisera qu’il est passé par un trou de souris.

L’ambiance est bonne : un classique même quand tout va mal. Il n’y a qu’à Mons qu’on avoue qu’elle est pourrie. Micro-climat sans doute.

Pécher dans le dernier geste : acte coupable de l’attaquant qui n’arrive pas à secouer les filets. Pour le gardien qui va rechercher les ballons dans ses filets, la pêche est par
contre rarement bonne.

Une frappe de mule :
aucun rapport avec Tom, qui préfère d’ailleurs brosser ses tirs.

Avoir les pieds carrés : se dit d’un attaquant particulièrement maladroit. Variante : il a deux pieds gauches.

Les sirènes de l’étranger : expression poétique pour signifier qu’on a répondu à l’appel de l’argent et/ou de l’attrait sportif.

En football, tout va de plus en plus vite : manière subtile utilisée par un joueur pour faire comprendre que ce qu’il a dit un jour ne sera plus valable le lendemain, surtout en
matière de transferts. Seul le jeu en Division 1 belge ne va pas de plus en plus vite…

Un déclic :
réponse classique à la question de savoir ce dont l’équipe a besoin pour améliorer ses résultats. Quand personne ne le trouve, les dirigeants demandent au coach de prendre
ses clics et ses claques.

Nous aurions aussi pu évoquer d’autres expressions : Servir un caviar , la clé du match , la zone de vérité , l’espace entre les lignes , imprimer le rythme , le match-référence
, enrhumer le gardien , crucifier le portier , le dernier rempart , bafouiller son football , prendre une casquette , courir après le score , vaincre le signe indien , revêtir ses habits de gala
, manger le ballon , ne pas s’enflammer , garder les pieds sur terre , la faillite collective , prendre une leçon de réalisme , manquer l’immanquable , le match dans le match , le poumon de
l’équipe ,…

Celles dont on ne comprend pas l’intérêt ou le sens

Le penalty imaginaire ne l’est jamais, comme la faute de main volontaire

Ce qui rend le football si populaire, c’est sa simplicité. Dans les règles, évidemment, ou la plus compliquée à comprendre est celle du hors-jeu. Rien d’insurmontable. Mais aussi dans le langage.
Certaines expressions, pourtant, restent dénuées de sens ou d’intérêt.

L’égalité parfaite : elle l’est souvent. De cette expression a découlé une question devenue culte, lorsqu’un partage a sanctionné le match, d’un de nos confrères radio : « Le
score inverse n’aurait-il pas été plus logique ? »

L’abstraction du contexte :
pour bien montrer qu’il ne tient pas compte des critiques des médias, de l’enjeu du match, de son retour chahuté dans son ancien club, un joueur soulignera
qu’il fera totalement abstraction du contexte. Généralement, en cas de succès et de but, il sera le premier à souligner que c’est un moment particulier pour lui, que son but est une réponse aux
quolibets du public, etc.

Le match le plus important de la saison : c’est celui qui se reproduit généralement à cinq ou six reprises sur une saison.

Prendre les matches les uns après les autres : un classique dans les discours quand deux matches sont rapprochés dans le temps et que le second est beaucoup plus important.
S’accompagne souvent de « sans se poser de questions ». Ne nous en posons donc pas trop sur cette expression.

Je suis à X % de mes possibilités : ça ne représente rien et c’est pourtant une des questions le plus souvent posées à un joueur revenant de blessure.

Être motivé à 200 % : enjolivement compréhensible mais inutile de son envie.

Un nul qui n’arrange personne : qui l’échange contre une défaite ?

Une frappe sans conviction : religieuse ou politique ?

Avant le match : on a tout fait pour ne pas avoir de regret . Après le revers : on aurait dû faire ceci ou cela.

La faute de main involontaire : dans 99 % des cas, elle l’est. Peu font exprès de placer la main sur la trajectoire du ballon juste pour offrir un penalty.

Faire un non-match : n’équivaut pas à ne pas faire de match. Synonyme : la parodie de football.

Le penalty imaginaire : se termine souvent par un but réel. La faute, par contre, est parfois inexistante.

Écrire au tableau noir :
le tableau moderne est blanc.



Alors Messieurs, voilà pourquoi vous les hommes n’arrivez pas à nous intéresser à votre sport favori!!!
Bon, heureusement il existe des exceptions, et franchement j’en fait partie parce que lors de la coupe du monde c’est moi qui me vautre dans le canapé, avec sur la
table de salon tous les ingrédients pour passer une super soirée , à savoir, le numéro de téléphone de Allo Pizza, le célèbre décapsuleur à découvrir
chez notre amie Bulle° (link), et l’outil principal, la
zapette!!!
Ah j’oubliais, le drapeau et la crécelle!!!

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Rien à foot!!!!:
Salut les filles!!!

Bon je sais pour la plupart d’entre vous, vous ne lirez pas mon article,

moi même je n …

C’est pas la joie!!!!

Ce matin, j’avais toujours des problèmes de souffle

Toujours pas d’inspiration!!!

Heureusement  Soazinnet (link)


Est passée par là pour m’insuffler un peu d’iode de sa Bigoudénie

Et cela donne ceci :


Avec cette crise, tout le monde souffre :

 

http://i49.tinypic.com/5dp0sj.jpg


Les boulangers ont des problèmes croissants.

Chez Renault la direction fait marche arrière, les salariés débrayent.

A EDF les syndicats sont sous tension.

Coup de sang à l ‘ usine Tampax.

Les bouchers veulent défendre leur bifteck.

Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce :

Ils en ont assez de se faire plumer.

Pour les couvreurs c’est la tuile.

Les faïenciers en ont ras le bol.

Les éleveurs de chiens sont aux abois.

Les brasseurs sont sous pression.

Les cheminots menacent d’occuper les locos : ils veulent conserver

leur train de vie.

Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.

Les pédicures doivent travailler d’arrache-pied.

Les ambulanciers ruent dans les brancards.

Les pêcheurs haussent le ton.

Les prostituées sont dans une mauvaise passe.

Sans oublier les imprimeurs qui sont déprimés et les cafetiers qui trinquent,

Les carillonneurs qui ont le bourdon.

Les électriciens en résistance.

Et les dessinateurs qui font grise mine

Et vous, ça va ?

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C’est pas la joie!!!!:
Ce matin, j’avais toujours des problèmes de souffle

Toujours pas d’inspiration!!!

Heureusement  …

Moi ça va!!!

Bon, à la demande générale

Je suis venue vous rassurer

En vous disant que finalement

Moi ça va!!!

Bon, l’inspiration et la motivation

N’y sont toujours pas

Et c’est pour ça que je suis allée

Faire un petit tour dans mon vieux grenier (link)

Pour vous ramener ça !!!

Bon, je sais pas si vous êtes comme moi

Mais Coluche je l’adore

 

 

 

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Moi ça va!!!:
Bon, à la demande générale

Je suis venue vous rassurer

En vous disant que finalement

Moi ça va!! …

Grosse fatigue!!!!

http://i49.tinypic.com/2d6jmz7.jpg

 

Combien de fois faut-il?
Ou le dire avec style
Je ne veux pas sortir

Non non non non je ne veux pas prendre l’air
Non non non non je ne veux pas boire un verre


Je veux juste aller mal et y a pas de mal à ça
Trainer, manger que dalle écouter Barbara


Non, je ne veux pas faire un tour
A quoi ça sert de faire un tour?
Non, je ne veux pas me défaire
De ce si bel enfer
Qui commence a me plaire
Je ne veux pas quitter mon salon


Non, je ne veux pas aller mieux
A quoi ça sert d’aller mieux?
Non, je ne veux pas m’habiller
Non plus me maquiller
Laissez moi m’ennuyer
Arrêtez avec vos questions!

 

Bon vous l’aurez compris je ne veux rien!!!

Même ces paroles, je m’en suis emparées

Parce que je ne veux rien!!!

 

Suis fatiguée, je ne trouve plus l’inspiration

Peut-être cela reviendra t-il

Mais pour l’instant je veux rester tranquille!!!

Seule dans ma maison!!!

 


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Grosse fatigue!!!!:

 

Combien de fois faut-il?
Ou le dire avec style
Je ne veux pas sortir

Non non no …