Atelier 49/3 chez Ghis: Une affaire de biscoteaux!!!

l'atelier de Ghis sur apln-blog

Cette semaine chez Ghis

Pour l’atelier n°49

 On fait un texte avec ces 10 mots imposés

Atmosphère, épaules, enfiler, planter, répéter,

infini, consulter, fou, générosité, enfant.

&&&&&

 Un coach ne cessait de répéter à un enfant

Avec la générosité d’un vétéran

Si tu relèves tes épaules

Que t’arrêtes d’avoir la gaule

Tu iras au ciel

Mais si tu restes superficiel

Que tu refuses d’enfiler

La ficelle dans ton joli fessier

Tu iras te planter en enfer

Pour détendre l’atmosphère

Le gamin pas si fou réfléchit

Un temps qui parut infini

Pour finalement demander

Qui il devrait consulter

Pour aller au cirque Medrano

Montrer ses biscoteaux

-dimdamdom-

Et comme le pli est pris

Je fais d’une pierre deux coups

En participant pour la première fois au défi chez

MILETUNE

Il était une foi… une dame de loi!!!

Georgina

Aurais-tu perdu la foi

Pour toi

Il était de bon aloi

Que soit respecté la loi

Quelle loi?

Celle de ce hors-la-loi

En qui tu crois?

Pourquoi tu crois

Qu’il a fini sur la croix

Peut-être parce qu’il n’a pas respecté la loi

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

J’ai écrit ce petit poème

Sans foi ni loi

Pour conscientiser

Sur la loi du mariage pour tous

Chacun à le droit d’avoir ses motivations

Même Madame Georgina Dufoix

Mais elle a eu peur de finir sur la croix

Et donc à renoncé à faire son discours

Georgina Dufoix contre le mariage pour tous

 

Oeufs brouillés pour les Croqueurs de mots!!!

A l'abordage le défi sur apln-blog

Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »

Cétotomatix à la barre n°120

 Quinzaine du 31-3 au 13-4-2014

Thème « Plat du jour, zeux à la coque »

Avec des mots commençants par e, eu et oe…

Me voici bien embarrassée

Tous les matins en ouvrant les yeux

Cétotomatix, j’ouvre mon PC

Voilà que je découvre le zeu chez Jill-Bill

Et que je décide de participer.

Oui mais voilà j’ai un souci…

Avez vous remarqué que dans les marques célèbres de pâtes aux zeux

Il n’y a pas d »E »

Panzani, Lustucru, Barilla…

Savez vous pourquoi???

Parce que les z »E » ils en ont assez

Qu’on leur tape sur la tête alors ils se sont tous cassés 🙂

 J’espère qu’on ne va pas se brouiller

Parce que je n’ai pas respecté les règles du zeu !!!

Alors on reste amis quand même 😉

 

Instant T de Nikit@ : Page blanche!!!

C’est fou ça

Je n’ai rien à dire

Alors que dire

Qu’il y a des jours comme ça

Où l’on n’a rien à dire

Dans ce cas

Mieux vaut s’abstenir…

Ce qui m’amène à la citation suivante

Pour le dico-citations

De l’annuaire pour les Nuls

annuaire pour les nuls sur la plateforme apln

Sur une page blanche, tout est possible ,

On peut y écrire et dessiner

Ce qu’il y a de plus nouveau et de plus beau.

Citations du président Mao Tsé-toung

Instant-T-chez-Nikit-2-

Pour toi Nikit@

SVP cliquez sur l’image

Pour découvrir l’univers de Nikit@

Merci 😉

Archibald va de catastrophe en catastrophe!!!

ipp

Pour écouter la musique qui accompagne mon texte veuillez cliquer sur l’image!!!

Nous sommes en 2014, j’ai tout juste 14 ans

Et je m’appelle Archibald

Depuis ma naissance je vais de catastrophe en catastrophe

Et pourtant quoiqu’il arrive je garde le sourire

Je vais donc essayer de vous planter le décor.

Nous voici à Paris, dans un immense bâtiment

A Passy plus précisément.

Juste en face, en me penchant un peu dangereusement , j’en conviens

J’ai vue sur un appartement

Plongé perpétuellement dans la pénombre.

Voilà maintenant une semaine que j’habite Paris

Cette ville dont j’ai souvent rêvé des sons et lumières

Que j’imaginais à travers les journaux que je vendais

Sur les trottoirs de Manille.

Oui mais Passy n’est pas Paris

Pour s’en rendre compte il suffit de comparer

Ma mère avec la reine d’Angleterre.

Voilà donc une semaine que je loge avec maman dans une chambre mansardée

Que l’on nous permet d’occuper pour un moindre loyer

A condition de ne pas nous faire remarquer.

Mon seul loisir, lorsque je rentre d’une journée d’errance

Est de me pencher au dessus de la lucarne

En espionnant les appartements voisins.

Aujourd’hui, en quittant ma chambrette

Je décide d’en savoir plus sur celui que je matte .

Me voilà dévalant les huit volées d’escaliers.

Arrivé en bas j’ouvre la lourde porte menant à la rue

Et là je me sens envahi par un brouhaha de sirènes,

De klaxons, marteaux-piqueurs etc…

Il fait chaud ce jour là.

Je traverse la rue manquant de provoquer un accident.

Je me sauve en me faufilant dangereusement entre les voitures

Car un grand malabar pas très commode

Tente de  me faire passer un mauvais quart d’heure.

Arrivé de l’autre côté je file droit devant

Pour m’engouffrer dans l’immeuble d’en face

Celui-là même que je m’étais mis en tête de visiter dans les moindres recoins

Laissant sur le pavé l’excité.

Me voici dans un long couloir, une odeur âcre me prend à la gorge.

En me dirigeant vers la gauche je vois un escalier en colimaçon

Que je décide de gravir.

Je fais un bref calcul, j’habite au huitième

Donc celui que j’entrevois de là haut doit être au cinquième.

Je grimpe les marches quatre à quatre,

Quand j’arrive à peine essoufflé au palier numéro cinq.

Il y a trois portes accessibles, mais je suis hésitant,

Quand j’entends un léger grincement du côté gauche.

Je me tourne et là je vois que la porte est entrouverte,

Tout laisse à croire que je suis attendu.

Je m’avance, je pénètre dans l’appartement au bout d’un long couloir

Je perçois sous une porte un filet de lumière, je m’approche

Je l’ouvre tout doucement et là je la découvre

Dissimulée dans un labyrinthe de tableaux

Je m’approche encore, je sens son parfum si fort

Que j’en oublie l’odeur âcre des couloirs

Elle a un beau visage, j’ai du mal à soutenir son regard

Aussitôt mes yeux s’enfoncent dans le parquet de la chambre

Puis j’entreprends une remontée discrète

Sur des bottes interminables, quand je remonte les cuisses

Je reste stupéfait….

Oh mais elle est nue!!!

Pour cette fois je réalise que c’est la plus belle catastrophe

Qui me soit arrivé depuis ma naissance.

 

ipp

 

Voilà M’dame Jill-Bill

L’histoire d’Archibald

Le fruit de  mon atelier d’écriture de lundi

Ca change de mes rimes habituelles

Mais je peux vous dire que j’ai adoré cet exercice!!!

Encore merci à toi Colette pour ce bel après-midi.

La cour de récré de Jill Bill

Mon poème pour la Fondation Brigitte Bardot!!!

les passeurs de mots sur la plateforme apln

 Mes chers amis

J’ai le grand honneur

De vous annoncer

Que mon poème a été primé

Par la fondation Brigitte bardot

Que je remercie infiniment!!!

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Avril

Mois du poisson

Je vous donne le thon

Premier Avril

C’est le jour du beau bar

En Avril

On ne se découvre pas d’un fil

Mais on saur le hareng

Hier

J’étais à la mer

A la mérou?

Sur la jetée tout au bout

Le mérou c’est bon

Mais attention

Quand la peau de merou pète

C’est la mort sûre

Demain

J’irais bien

Avec mes galoches

Me promener à loche

Vendredi

Brigitte mange du bardot

Brigitte n’aime pas les animaux

Vendredi

C’est aussi la fin de la semaine

Alors gardon le moral

Dimanche

Le serran porte la cravate

A la messe le serran hépâte

En Avril

Les petits pois sont verts

Sauf le premier

Les petits poissons rouges

Tout est permis

En Avril

Même d’être débile

-dimdamdom-

 Bon j’espère que vous n’êtes pas fâchés

 J’ai profité de ce 1er Avril pour vous prendre dans mes filets!!! hihi!!!

Le cheval de guerre pour la communauté « il y a cent ans »

il y a cent ans sur apln-blog

Pour la communauté « Il y a cent ans » de Claramicalement

« Cheval de guerre », le film de Steven Spielberg,

inspiré du roman éponyme paru en 1982,

écrit pour la jeunesse par Michaël Mopurgo,

donne l’occasion de se rappeler

que des milliers de chevaux ont été utilisés

pendant la « Grande Guerre ».

 En 1914 la première guerre mondiale a commencé

comme une guerre Napoléonienne,

avec la cavalerie: hussards, dragons, cuirassiers.

Des chevaux aussi pour tirer des chariots d’artillerie,

d’armement et autres matériels

pour les ambulances (hippomobiles) pour les cuisines « roulantes »,

l’approvisionnement des hommes,

et le fourrage destiné à nourrir les chevaux au front.

Toute sorte de chevaux: chevaux de traits, Percherons, Ardennais,

et chevaux de selle pour les cavaliers.

En Août 1914, alors que la Belgique est envahie par les Allemands,

la cavalerie française se lance vers le nord.

Trois semaines de déplacements opérationnels

sur plusieurs centaines de kilomètres,

en plein été, dans une chaleur étouffante,

avec des milliers de chevaux arnachés,

portant Dragons et Cuirassiers:

pas moins de 18 régiments de cavalerie.

Les chevaux étaient dans un tel état d’épuisement qu’il n’y eut aucun combat.

La bataille eut lieu entre Britanniques et Allemands, à Mons.

En Septembre 1914, le 06 Septembre très exactement,

c’est le début de la première bataille de la Marne.

Les Allemands battent en retraite,devant l’artillerie et les fantassins.

Mais les chevaux de la cavalerie Française étaient dans un tel état de fatigue,

et de souffrance, qu’ils étaient bien en peine de pouvoir engager une bataille.

Peu nourris, amaigris, jamais ou peu dessellés,

les chevaux ont des plaies suppurantes,

beaucoup meurent en chemin.

L’occasion donnée de diviser les forces allemandes,

en s’engouffrant dans une brèche de 40 kilomètres de large,

ne put être menée jusqu’au bout,

malgré 3 divisions du 2ème Corps de Cavalerie ( 12 000 chevaux)

et trois brigades de cavalerie britanniques.

Les chevaux était incapables d’avancer au trot,

et dans un extrême état de fatigue.

L’ordre fut donné de se replier.

Les Allemands refermèrent la brèche,

et stoppèrent leur retraite, puisqu’on ne les chassait pas.

La guerre de position commençait: le front se stabilisa

et les armées creusèrent des tranchées…

La guerre allait durer 4 ans.

Les chevaux n’allaient plus que très peu être utilisés dans des offensives,

mais ils continuent à servir pour tracter l’artillerie

( les engins motorisés ne passaient pas sur des terrains de boue, bosselés, difficiles d’accès),

ils servent encore pour les ambulances, et autres acheminements.

Gazés, déchiquetés par les obus, blessés dans les barbelés,

les sabots transpercés par des « chausse-trappes »

les chevaux ont connu le même enfer que les hommes…

J’ai vu ce film la semaine dernière

Que j’ai beaucoup aimé

Même si je l’ai trouvé un peu édulcoré

 Il m’a arraché  quelques larmes.

Spielberg à le don de faire ressortir à travers ses films

Des sentiments forts.

Une scène m’a beaucoup marquée

Celle où le cheval s’emmêle dans les barbelés

Sans l’aide d’un homme il ne s’en serait pas sorti.

A ce moment le héros du film sort de sa tranchée

Et un ennemi sort de la sienne

Tous deux se retrouvent autour de l’animal

Se conseillent mutuellement

Pour sauver le cheval.

La discussion est amicale

On voit visiblement qu’ils se demandent

Ce qu’ils fichent là….

Ils se séparent en jouant l’avenir de l’animal à pile ou face

 Bien évidemment c’est le propriétaire de celui-ci qui en obtient la garde

Et c’est en toute amitié que les deux jeunes soldats

Retournent dans leur tranchée!!!

[youtube]http://youtu.be/HkBiKwwUgR4[/youtube]

Voici un lien pour vous faire une idée

De ce qu’a été le calvaire de ces bêtes héroïques!!!

Chevaux victimes de guerre

Et pour finir

 La jument Paquerette (Extrait « Adieu Cavalerie » de M. CHAMBRE)

Il avait fallu obéir. Les chevaux avaient dû sauter en contrebas,

à la lumière de rares réverbères et des lampes d’écurie.

Beaucoup s’y refusaient, se cabraient.

Il fallait que deux hommes se tenant par la main

au-dessous de leur croupes les obligeassent à sortir du wagon.

C’était à cet instant que s’était passé dans mon peloton un triste accident :

la jument Pâquerette, une excellente bête, douce comme un agneau,

s’était fracturé une jambe de devant, prise entre deux rondins.

Le canon était ballant, brisé en deux.

Il n’y avait rien à faire, la pauvre bête était perdue, il fallait l’abattre sur place.

Comme par hasard, cela arrivait au cavalier de 1ère classe SERMADIRAS,

un des meilleurs du peloton, celui qui peut-être aimait le mieux son cheval.

Il adorait sa Pâquerette, la soignait comme ses yeux, ne la quittait pas,

trouvait le moyen de la faire boire même lorsqu’il n’y avait pas d’eau,

allant lui chercher au loin dans son seau de toile.

Il couchait toujours derrière elle, lui parlait, la caressait.

C’était ce qu’il aimait le plus au monde.

Le maréchal des logis SOUQUET était venu me chercher

pour me faire constater le désastre :

– Venez voir, mon lieutenant, qu’est-ce qu’il faut faire?

Le cavalier SERMADIRAS le suivait, en larmes.

J’avais vu. C’était irrémédiable.

SOUQUET emmenez Pâquerette un peu à l’écart.

Il faut l’abattre.

Prenez deux hommes avec des carabines

et qu’ils tirent à bout portant derrière l’oreille.

Elle ne souffrira pas. Contre un mur. Prenez garde aux accidents!

Attention aux balles!

SERMENDIRAS avait éclaté en sanglots.

– Non, mon lieutenant! C’est pas vrai!

J’aime mieux être tué moi-même.

– Allons SERMANDIRAS, ne dis pas de bêtises!

Tu vois bien qu’il n’y a rien à faire.

On ne peut emmener ta pauvre Pâquerette.

Elle souffre beaucoup d’ailleurs, il faut arrêter ça!

Dis-toi qu’elle meurt au champ d’honneur.

Ce ne sera pas la seule!

Un peu plus tôt, un peu plus tard, tu sais…

Nous aurons peut-être tous notre tour.

Allons du courage. »

Pour écouter la musique de cet article cliquez sur l’image!!!

 

 

 

Oeil pour oeil , dent pour dent pour l’atelier de Ghis!!!

Les mots imposés pour l’atelier de Ghis n°46 sont :

Bourgeoise, bagatelle, braise, bretelle, envie,

 Dénuder, lever, coller, aimer, danser

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 Quand il voit sa Fernande

Le Fernand il bande

Il aime son regard de braise

Quand il la baise

Oui mais il lui arrive parfois

De se lever avec la gueule de bois

Mais attention quand sa bourgeoise

Dans la chambre il croise

Et que se dénuder elle n’a pas envie

Son regard il vaut mieux qu’il dévie

Et surtout mettre son protège-dents

Avant qu’elle lui en colle une dans les dents

C’est elle dans la danse

Qui toujours donne la cadence

Voilà que sans remord la Fernande

Le renvoie aux Calendes

Fernand n’a plus qu’à oublier la bagatelle

Et à remonter ses bretelles.

-dimdamdom-

Ce qui m’amène à cette citation

Pour le dico-citations

De l’annuaire pour les Nuls

annuaire pour les nuls sur la plateforme apln

« Oeil pour oeil, dent pour dent »

 

Béatrice cantatrice de la rue!!!

 

Un clic sur l’image pour écouter Béatrice 😉

Un petit deux en un ça vous dit!!!

Donc aujourd’hui je participe d’une part

 Au défi “Les plumes d’Asphodèle”

 En utilisant les mots imposés

 D’autre part je participe au prénom

 Dans la cour de récré de Jill-Bill

 Aujourd’hui le prénom étant Béatrice!!!

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Voiture, rue, immeuble, abeille, théâtre, anonymat,

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Thème :  La ville

&&&&&

 Béatrice voudrait être cantatrice

Tous les matins dans sa douche

Sa belle voix elle hisse

Ce n’est pas facile

Pour elle qui travaille à l’hôpital

De faire tous les matins la file

Prendre le bus puis le train

Battre le pavé devant la gare

Même sous le crachin.

Et pourtant il lui arrive

Lorsqu’elle aperçoit le théâtre

De l’autre côté de la rive

D’avoir envie de sortir de l’anonymat

Elle en oublie cohue, embouteillages

Et se met à rêver de galas

Quand soudain une abeille

 Fait une petite visite dans le wagon

Oh mais quelle merveille!

Voilà qu’il y a soudain de l’animation

Une femme vient de chuter

Forçant l’arrêt devant le parc d’acclimatation

Béatrice en profite

Pour descendre de la voiture

Et prendre la fuite

La voilà qui se met à flâner

Abandonnant ses chaussures sur le bitume

Pour s’enfoncer dans le gazon fraichement coupé

L’endroit lui semble propice

Voilà que Béatrice vocalise

A défaut de devenir célèbre

Elle sera la cantatrice aux pieds nus

Afin d’adoucir le stress urbain

Elle chantera à tue tête dans  la rue

Pour le plus grand plaisir des citadins.

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Veuillez pardonner mon retard M’dame Jill-Bill

J’étais retenue dans les embouteillages

Car voyez vous

Nous avons accueilli Obama à la baraque 😉

Pour passer le temps

J’ai chanté quelques vocalises dans le tramway 😉

Oui mais voilà ils ont cru à un attentat

D’où ce brouhaha ce matin!!!

obama

 

Quand France rime avec Haine…

il y a cent ans sur apln-blog

Pour la communauté “Il y a cent ans” de notre amie Claramicalement

Pauvre France

Entre les deux ton coeur balance

A ne pas savoir ce que tu veux

Personne ne pourra dénouer les noeuds

Un jour tu cries espoir

L’autre tu broies du noir

Tu cherches la perfection

Dans un monde en contradiction

Oui mais attention quand tu verras bleu

Il te faudra soigner tes bleus

Ton identité ils n’en ont cure

Ils te jetteront en pâture

14/18 te souviens-tu

De l’identité de nos poilus?

-dimdamdom-

Suite aux élections françaises d’hier

Je suis révoltée de voir

Que les citoyens de cette belle France

Si chère à mon coeur

Soient découragés

Au point de voter

F( Haine)