Les plumes d’Asphodèle : La der de la saison ;)

(En cliquant sur l’image vous accédez au blog d’Asphodèle)

Récolte des mots pour les Plumes 33 chez Asphodèle :

Vacances- scolastique – immortalité – seconde – mémoire 

longueur – ange – douleur -oubli – repos – cercle 

passion – péché/chemin* – vampire – jour – cathédrale 

lassitude – liane -lucarne.

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Je me souviens d’un âge moyen où j’étudiais les sciences scolastiques,

c’était le chemin incontournable à suivre pour devenir

un bon citoyen croyant et pratiquant de surcroît.

A l’université je faisais partie d’un cercle de jeunes étudiants

qui préparaient une thèse sur le sujet de l’immortalité des vampires.

A longueur de journée ils s’amusaient à me raconter

des histoires morbides qui me glaçaient le sang

Tous les jours nous allions prier dans une immense cathédrale.

J’aimais m’y recueillir pour concerter les anges car ma santé était fragile.

J’ implorais l’oubli de mes douleurs qui me lancinaient

ne me laissant pas une seconde de repos.

Il m’arrivait souvent de regarder à travers la petite lucarne de ma chambre

et de rêver de vacances car du fond de ma mémoire

je ne me souviens pas en avoir prises,

alors je regardais au loin mes compagnons se jeter du haut d’une tour,

pendus à un élastique.

Un jour l’un d’eux qui pratiquait ce sport avec beaucoup de passion

se brisa le crâne car l’élastique était trop court,

il montait et descendait comme un yoyo et chaque fois se cognait sous la potence….

Et voilà encore une fois j’ai dérapé , j’en suis vraiment désolée !!!

Oh et puis zut ce n’est pas un péché de rire sinon ça se saurait 😉

Voilà Asphodèle ma participation in-extremis

J’espère que tu ne vas pas pour cette dernière me coiffer du bonnet d’âne 🙁

 

Selle-ci est bien bonne !!!

Et bien voilà, ce matin, je me suis levée

Me suis ruée sur mes blogs

Ben oui, j’en ai tout de même trois

Plus l’annuaire pour les Nuls

(En cliquant sur l’image, vous y accéderez)

Je le gère toute l’année

Même quand vous êtes en vacances 😉

 J’y organise des jeux

Pour ceux qui ne partent pas

Et où ceux qui partent (ou pas)

Peuvent nous envoyer des cartes postales

J’aime bien lire vos messages par milliers !!!

 Et tout en m’admirant le nombril

Je me suis creusée pour vous trouver

Une petite bafouille à vous mettre sous la dent aujourd’hui.

C’est Florence du blog   « Testé pour vous »

Qui m’en a donné l’idée,

En nous demandant ce matin :

Comment va ton trou du cul? (sic)

&&&&&

Je vais donc vous rappeler l’origine d’une expression

que nous employons tous les jours,

sans même en connaître le sens exact.

Savez vous, donc, d’où vient l’expression : ‘Comment allez vous ? ‘

Cette expression remonte aux environs de la Renaissance et,

à cette époque, elle signifiait :

Comment allez vous à la selle ?

Car il faut savoir que la qualité des selles et des urines était alors

extrêmement importante étant signe de bonne ou de mauvaise santé…

Il était donc fort poli de se soucier de la forme de son interlocuteur ou

de son interlocutrice, en lui demandant comment il, ou elle,

avait déféqué le matin !

Imaginez si, de nos jours, nous redonnions

à cette question si banale son sens d’origine?

En comité de direction, le lundi matin,

je m’imagine fort bien, répondant à

ma pédégère s’enquérant de ma forme :

Super bien ! J’ai largué un étron tellement gros que j’ai failli le garder

dans un bocal, tant il avait belle allure !

Ou bien :

J’ai une chiasse de daube, quand je vais aux chiottes, j’ai l’impression

de faire de l’aérographe! Et toi, toujours constipée ?

Avouez que les relations d’entreprises auraient une autre qualité, plus

humaine, plus conviviale…

Cela aurait un autre cachet que l’éternel « Comme un lundi » ou autre

« Bien et toi ? »

Sans vouloir jouer les nostalgiques, je pense sincèrement que les hommes

deviennent de plus en plus égocentriques et ne se soucient plus que de leur

cul, en se foutant royalement de la merde des autres…

Quel bonheur de posséder une langue

aussi étoffée que l’est notre beau français !…

Alors si vous me demandez comment ça va?

je ne vous parlerai pas de mes selles

Mais vous dirai que comme beaucoup en cette période estivale

Je glande 😉

Florence, je t’interdis de me demander comment va mon gland 😮

Enfin tout ça pour vous dire

Que « je vais bien, tout va bien »

Info APLN !!!

Vous avez été nombreux à apprendre voire constater

Que notre plateforme APLN avait été sauvagement attaquée

Par une bande de pirates en folie

Puisqu’ils ont piraté pas moins de 50.000 blogs

Utilisant les fonctions Wisija de WordPress pour leur Newsletters.

Actuellement nous avons pu récupérer notre plateforme

Après un travail acharné de l’ami Gibee

Que je remercie infiniment, sans quoi APLN ne serait plus 🙁

Seulement cela ne s’est pas fait sans désagrément

Même si nos blogs ont repris une vitesse de croisière

Il persiste encore quelques accrocs au niveau de l’envoi des newsletters

Et c’est le cas pour mon blog de poésie.

Après avoir publié mon article de ce matin

J’ai envoyé la newsletters mais voilà que celle-ci

Vous est arrivée sous forme de mail, avec uniquement un titre :

« La clé de l’amitié »

Aussi j’aurais pu publier ce poème ici

Mais j’estimais que ce n’était pas sa place.

Donc je vous dirige vers mon blog de poésie

Dont voici l’adresse :

http://lecoindemapoesie.apln-blog.fr/2014/07/31/cle-lamitie/

Je tente de vous envoyer une newsletters car vraisemblablement

Je n’ai aucun souci avec cet envoi via ce blog ci.

Veuillez nous excuser pour la gêne occasionnée

Nous mettons tout en oeuvre pour que tout refonctionne comme avant.

Merci pour votre compréhension.

Je vous attends tous là bas dans mon coin de poésie 😉

 

Instant T de Nikit@ : Séquence anniversaire!!!

Joyeux Anniversaire anaë (3)

Quand on est enfant,

C’est une joie de vieillir d’un an,

Car on aime bien les surprises,

Les gâteaux et les friandises!

Et quand on est grands-parents

C’est une joie d’avoir une petite-fille

Aussi jolie et gentille

Joyeux Anniversaire Anaë 😛

http://nikita-m-hera.over-blog.com/article-apres-true-colors-l-instant-t-84015113.htmlVoici ma participation à l’Instant T de chez Nikit@

Veuillez cliquer sur l’image

Pour accéder à son magnifique blog.

Si vous aussi vous voulez participer

Surtout n’hésitez pas

Nikit@ se fera un plaisir de vous accueillir!!!

J’ai jeté mon coeur à la poubelle!!! Défi 128, M’amzelle Jeanne à la barre!!!

En cliquant sur l’image

Vous accédez au blog de la communauté des Croqueurs de Mots

Pour ce défi 128 M’amzelle Jeanne nous propose :

Par magie.. ou en réalité.. vous avez… connu.. aimé..

Vous avez été le partenaire… le modèle..

Vécu dans l’univers d’un homme (ou d’une femme) connu

Du siècle dernier.. ou de celui d’avant…

Il ou elle était…

poète…philosophe…. écrivain..cinéaste.. acteur

Peintre..politicien..ou…

Vous vous étiez, sa muse, sa femme, son ami, son médecin.. son mécène…

Nous serions curieux de connaître les sentiments

Qui vous unissaient

Amitié.. amour.. jalousie….. ou rancoeur ?

&&&&&

Elles étaient trois

Se promenant au bois

Toutes les trois aimaient se retrouver

Pour se raconter de petites histoires

Parfois du matin au soir

Tantôt qui les faisaient éclater de rire

Tantôt faisant éclater leur ire

Elles avaient du caractère

Aucune ne se laissait faire

Mais une fois les choses dites

Elles revenaient à leurs rites

Jusqu’au jour, un renard

Apparut sans crier gare

Il n’était pas méchant en apparence

Il fit quelques pas de danse.

Et les trois amies furent aussitôt séduites

Oubliant de prendre la fuite

Faut dire qu’il avait un beau langage

Et savait y faire pour complimenter son entourage.

Il avait bien une tanière

Mais chaque fois qu’on trouvait son repère

Il faisait en sorte

Que close soit sa porte.

Jusqu’au jour l’une d’elle

Et se fut sans appel

Comprit son jeu

Ce qui le rendit quelque peu furieux

Il fit tant et si bien de semer la zizanie

Que se séparèrent les trois amies .

L’une tenta bien de justifier

Son attitude face à ce renard futé

Mais les deux autres ne voulurent rien entendre.

Elles laissèrent partir leur amie sans mots dire

Oubliant tout qui jusqu’ici les avait fait tant rire!!!

Celle-ci, partit non sans se retourner

Avec le coeur profondément blessé

Laissant entendre

Que plus jamais elle ne se laisserait prendre .

-dimdamdom-

Du vécu, tu as demandé Jeanne

Hélas en voici

Ce poème a été écrit pour la première fois en 2012

J’avais fait la connaissance de deux super nanas blogueuses

Nous avions beaucoup de points communs

Notamment l’humour

Mais aussi quelques coups durs de la vie

On s’est connu, on s’est reconnu,

On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue

On s’est retrouvé, on s’est réchauffé,

Puis on s’est séparé.

Puis…… je n’ai pas compris 🙁

J’ai laissé délibérément les commentaires.

Dans ceux-ci, pour la plupart, nous ne nous sommes plus revus,

Pas toujours voulu, parfois le sort s’en est chargé

Je garde notamment une pensée émue

Pour mon ami Antonio qui nous a quitté

Le 1er Avril 2013

Quelle mauvaise blague tu m’as fait là Antonio …

Saint Nicolas priez pour lui!!!

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Séparation, revoir, froid, embrasser, larmes, famille,

fête, ripaille, allégresse, bilan, amour, quai, adieu, joie,

ami, inquiétude, irréparable, intensément.

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La fête est bien finie

La France aujourd’hui te renie

Adieu ripailles

A ton tour de te retrouver sur la paille

Le bilan est trop lourd

Il va falloir descendre de ta tour

Tu as commis l’irréparable

Abusant intensément de dessous de table

Tu as fait de tes amis

Tes meilleurs ennemis

Te voilà plongé dans un monde d’inquiétude

Que tu as marqué d’incertitude

Les Français maintenant tu alarmes

En feintant ta petite larme

Difficile de revenir en arrière

Lorsqu’on a été si fier

Tu ne fais plus partie

De la grande famille

L’heure de la séparation a sonné

Ne compte pas sur nous pour t’embrasser

Trop Froid était ton coeur

Lorsque tu dansais avec allégresse sur le quai de tes erreurs!

Difficile aujourd’hui de contenir notre joie pour te dire

Au revoir!

-dimdamdom-

Voilà ma chère Asphodèle ce que m’ont inspiré

ces retrouvailles 😉

Chaise musicale pour le défi 126 des Croqueurs de mots!!!

Il m’invita à prendre une chaise

Et me mettre à l’aise

Nous eûmes beaucoup de petites chaises

Jusqu’à ce que Marie-Thérèse

Un jour ramène sa fraise

Et nous biaise

Remarquant que nous étions assis entre deux chaises

Elle usa de son regard de braise 😈

Pendant un temps musicales furent nos chaises

Nous plongeant dans un grand malaise

Mais c’est avec beaucoup d’aise

Que nous l’avons fait tomber de la chaise

Et la voilà obligée de filer à l’anglaise

-dimdamdom-

Voilà ma chère Jeanne

Ma participation de dernière minute

Pas facile de composer vie virtuelle

Avec vie réelle 😉

les croqueurs de mots sur apln-blog

Défi n°126 “Les chaises  …  ”

A la barre Jeanne Fadosi

 Vous vous souvenez des chaises d’Emile ? Mais si ! Eglantine,

Qui vient de me passer la barre, avec l’assentiment de Dômi,

Nous les avait présentées au défi n°111, le 11/11 dernier.

 C’est l’été, du moins dans l’hémisphère nord,

Les oubliés sur la terrasse se retrouvent ici…

Pleure pas Rémi!!!

Mais non Rémi

Tu n’es pas sans famille

Tu as plein d’amis

Une femme et une jolie petite fille

 

Alors arrête de pleurer

Tu finiras par les faire fuir

A force de ruminer

Ils préfèrent te voir sourire

 

Non mon garçon

Ta vie n’est pas que mépris

Mais si tu n’écoutes pas la leçon

Elle ne sera que gâchis

 

Allons donc Rémi

Ouvre les yeux

Sourit à la vie

Et tu verras que tu seras heureux

-dimdamdom-

correction : les essuie-glaces 😉

 

Et voilà M’dame Jill-Bill

Que je clôture cette belle année

Passée en votre compagnie, par une note

Quelque peu mélancolique

Mais voilà on ne choisit pas toujours

Et il arrive parfois que les vicissitudes de la vie prennent le dessus

De notre joie de vivre.

Je vais prendre quelques vacances

Et vous retrouver dans trois semaines

Tout en vous les souhaitant

Douces et agréables

Que vous partiez ou pas

Peu importe, l’essentiel est de se détendre dans la sérénité

Et le repos du corps et de l’esprit.

La cour de récré de Jill Bill

Les textes qui font la différence pour Les Plumes d’Asphodèle!

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LES PLUMES 30 – Les textes qui font la DIFFÉRENCE !

Les mots imposés sont :

déranger, égal, étranger, éloignement, richesse, complémentaire,

séparation, solitude, similitude, dispute, tolérance, handicap,

amour, regard, mosaïque, incompréhension, solidarité, tendresse,

peau, souffrir, combattre, hagard, herbage, horrifiant.

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Tu n’es pas un Zéro…

 

Tu aurais pu rester figé

Dans un fauteuil

Duquel il aurait fallu un treuil

Pour que tu puisses marcher

 

Dans ton malheur

Tu as eu de la chance

Quelle délivrance

Malgré la douleur

 

Les docteurs n’étaient pas loquaces

Pour nous donner des explications

Au sujet de tes lésions

Mais ils ont été efficaces

 

Ton dos ressemblait à une mosaïque

Ils ont fait des prouesses

En refermant la plaie avec adresse

Ce n’était pas un acte prosaïque

 

Aussi sordide que cela paraisse

Tu as fait des études

Tu avais une bonne aptitude

Mais PAREIL aux autres, beaucoup de paresse.

 

Le regard des autres devenait pesant

De celui-ci ton avenir allait dépendre

Tu as décidé de tout suspendre

Quel gâchis cependant

 

Ton handicap t’a socialement fait souffrir

Bien trop d’incompréhension

T’ont donné des appréhensions

Jusqu’à vouloir en finir

 

Notre quotidien n’était plus que disputes

Difficile de nous mettre dans ta peau

Tu refusais de suivre le troupeau

Tu ne supportais plus qu’on te bizute

 

Un jour nous avons vu dans tes yeux hagards

Un grand moment de solitude

Plus aucune similitude

Avec notre petit gaillard

 

Dès la naissance tu as appris à combattre

Telle était ta richesse

Voilà que tu sembles oublier tes promesses

De toujours et toujours te battre

 

Tu nous devenais étranger

Et pourtant nous restions complémentaires

A ta vie sur cette terre

Toi qui croyait nous déranger

 

Nous supportions mal cet éloignement

Ce que nous considérions comme solidarité

Toi tu le prenais pour de la pitié

Nous n’étions juste que tes parents

 

Avec le temps tu es devenu fort

Fini les entailles aux règlements

Tu es devenu papa maintenant

Il te faut prouver ce qu’est l’effort

 

A ton tour d’encourager ton enfant

De lui apprendre la tolérance

Et ne pas pratiquer l’indifférence

Il n’y a rien de plus horrifiant

 

Mon garçon, ce poème je te l’adresse

Avec toute la tendresse

D’une mère pour son enfant

Dont la seule différence

Est de n’avoir jamais voulu être différent.

 

-dimdamdom-

 

Voici Asphodèle mon texte

Avec beaucoup de retard.

Des soucis d’ordre privé

M’ont empêché d’être là à l’heure

Mais je n’aurais voulu en aucun cas

Rater ce rendez-vous

Pour un sujet qui me touche de très près.

D’ailleurs je n’ai fait que compléter un texte que j’avais déjà écrit.

J’ai délibérément laissé le mot « séparation »

Et n’ai pas su placer « égal et herbage »

Ceci m’amène à la citation suivante de Luc Besson

Pour le dico-citations

Sur l’annuaire pour les Nuls

annuaire pour les nuls sur la plateforme apln

« Les intimités les plus violentes demandent à être apprivoisées à nouveau

dès lors qu’elles ont été quittées.

Il faut refaire tout le chemin une fois qu’on s’en est écartés,

repartir de zéro lorsqu’on a perdu la partie, ne serait-ce qu’une fois. »

 

Elle est mortadelle!!!

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On dit d’Adèle

Qu’elle n’est pas très belle

En plus de ça elle a un gros tort

Elle mange du hareng saur

Ce qui lui donne une haleine

De grosse baleine

Elle n’a pas d’amis

A part un sale ami

Un drôle de zozo

Avec qui elle partage sur les réseaux

A l’école ses compagnons il provoque

Demandant que d’Adèle on se moque

Comme il n’y a pas de gens bons sur terre

A l’unisson on la déblatère

Voilà qu’elle n’en peut plus

Un matin on la trouve pendue

Et pour renchérir de plus belle

On dit d’elle, elle est mortadelle

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Voilà M’dame Jill-Bill

Pardonnez-moi la morbidité de mon histoire

Mais j’aimerais que l’histoire d’Adèle

Interpelle tous les élèves de la cour de récré.

Trop de jeunes finissent hélas comme Adèle

Impuissants devant ce monstre sacré de l’Internet

Dans lequel ils se retrouvent emprisonnés.