La poésie des Marolles !!!

Pour cette première quinzaine de la saison

chez les Croqueurs de Môts, Jill Bill, notre maîtresse

ouvre le bal avec le thème suivant :

Poème dans un patois.

Voici ma participation.

Hee Tich’ke

Tu sais pas quoi?

Ben mon père il est mort !

Si si, mes yeux ont vu son sang

Beurk, ça sortait à chaud bouillon;

Non zot pas à Bouillon !

Ca sortait de son gros flan;

Mais non Tich’ke pas de son pudding;

Mais de son gros bide hein !

Ce sang qui lui a garanti des murailles;

Non pas à passer des murailles !

Hee mon père c’est pas Bourvil hein Tich’ke !

Ce sang qui lui a fait gagner des batailles;

mais non pas à la bataille, tu piges rien !

Son sang il fumait encore ;

Ben non Tich’ke on a pas fait du boudin avec !

Mais on aurait pu tellement il était roûche.

Allé Tich’ke je te laisse

Parce que j’arrête pas de tchouler

À cause de tout ça depuis là tantôt…

-dimdamdom-

Parodie d’une tirade célèbre

Tournée par mes soins à la sauce belch, oui mais laquelle ? ….

Voici la réponse :

Corneille, Le Cid, acte II, scène 8

Siremon père est mort ; mes yeux ont vu son sang
Couler à gros bouillons de son généreux flanc ;
Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles,
Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles,
Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux
De se voir répandu pour d’autres que pour vous,
Qu’au milieu des hasards n’osait verser la guerre,
Rodrigue en votre cour vient d’en couvrir la terre.
J’ai couru sur le lieusans force et sans couleur :
Je l’ai trouvé sans vieExcusez ma douleur,
Sirela voix me manque à ce récit funeste ;
Mes pleurs et mes soupirs vous diront mieux le reste.

Mariage en mai !!!

Pour ce premier jeudi poésie, défi 252,

chez les Croqueurs de Môts,

Zaza nous propose le thème suivant :

« Mariages en Mai »

– « Quelques dictons pour illustrer ce thème :

** Mariages de mai ne fleurissent jamais **,

ou encore :

** Si le dicton dit vrai, méchante femme s’épouse en mai. ** 😹 »

Je me suis mariée le 23 mai 1981 …

Un autre dicton  dit : **Mariage pluvieux, mariage heureux, mais si le temps

se met au beau , c’est que la vie sourit aux époux nouveaux

Ce 23 mai,  il faisait venteux et pluvieux …

avec toutefois de belles éclaircies.

Il en a été ainsi pendant 34 ans

Puis, c’est devenu mariage pluvieux … mariage pluvieux 😕

Trente ans déjà

Et alors on va pas en faire un plat

Trente ans c’est un bail

Et voilà que j’en baille

Arrête tu sais que je rigole

Tu as toujours été mon idole

OK cette fille

Et alors ce n’était pas une amie

Toi et moi

C’est clair ce n’était qu’émoi

De beaux enfants

Ce n’est pas du vent

Nous voilà, toi grand père

Et moi grand-mère

Bon on fait quoi en attendant

On se donne encore trente ans?

Là je crois que j’en demandais de trop!

Tu as raison je n’étais pas de tout repos

Pourtant j’ai cru, croix de fer, croix de bois

Que jamais je n’aurais pu me lasser de toi

Se dire que tout n’est pas perdu

C’est un conte de fée auquel je ne crois plus.

-dimdamdom-

Dans quelques années je pourrai me souvenir

Que cette année 2015 était celle du changement pour moi.

Et que cela n’a pas été facile de comprendre

Pourquoi un jour le changement devient vital,

Six ans ce sont passés …

Je commence à me sentir bien , cela ne s’est pas fait sans mal

Et quand mes yeux s’embrouillent

Je pense à cette petite phrase

Toute, toute première fois : défi 250 et un

Pour ce second jeudi poésie

L’équipage des Croqueurs de Môts

remonte dans le temps.

En hommage à Brunô, Tricôtine

et tous ceux qui participent ou ont participé,

depuis 2009,

j’ai demandé à chacune et chacun

de rapporter leur toute première participation.

Pour vous plaire

J’ai choisi ma première crémaillère,

lorsque Tricôtine m’a confié le gouvernail de la célèbre Coquille.

c’était il y a tout juste 7 ans 😛

C’était hier

On a pendu la crémaillère

J’ai reçu de Belgique de la bière

De Suisse du gruyère

Du thé d’Angleterre

Du café de la Cordillère

Des cailloux venant d’une huitrière

De la choucroute de Bavière

Du cochon en bétaillère

Du saucisson d’une charcutière

Du couscous dans une semoulière

De Bourgogne tout une escargotière

De Tirlemont de la betterave sucrière

Du chocolat d’une chocolatière

Et me voilà à braire …

Pour les retardataires

J’ai préparé quelques tupperware

Merci à vous bande de rastaquouères

Tout cela est somptuaire

Seulement voilà, j’ai le mal de mer

Vite vite allez me chercher ma mère

Avant qu’on ne me ramasse à la petite cuillère.

En partant n’oubliez pas de passer la serpillère

Car j’ai tout vomi sur le pont hier.

Et tant que vous y êtes faites une petite prière

Je vous donne rendez-vous au cimetière.

-dimdamdom-  (02/06/2014)

 

 

 

1 2 3 … c’était en 2009 …

C’était en 2009,

nous sommes en 2021 !

Pour le défi 250 et 1 chez les Croqueurs de Môts

en hommage à l’ami Brunô,

fondateur de la célèbre Coquille,

 l’équipage a décidé de reprendre

le tout premier défi de la communauté

mené par Brunô

qui nous demandait ceci …

Défi n°1

« Ecrivez un texte avec 1,2,3,4,5,6,7,8,9,10 insérés dans cet ordre dans votre récit »

C’est l’histoire d’UN homme qui est né à Colombey les DEUX Eglises.

Il s’appelait Charles et avait TROIS testicules.

Toute sa vie durant, le pauvre Charles

alimentait un complexe grandissant au sujet du nombre de ses testicules.

À l’école déjà, tous ses petits camarades se payaient quotidiennement sa tête

en l’appelant ‘sapin de Noël’ faisant preuve d’un imaginaire

surdimensionné en rapport avec sa glande surnuméraire.

Puis l’armée, où les moqueries encore se répètent

en le surnommant “triple bille’.

Son complexe commençait à prendre une importance démesurée.

Pour que son malheur soit complet, les QUATRE pauvres filles à qui il a pu exhiber

sa particulière anatomie se sont toutes sauvées … vraiment pas sympa les filles!

Ou alors elles s’esclaffaient  à s’en faire une hernie.

Au bord du suicide, Charles décide de consulter des “chats” sur la toile,

et par pur hasard, sur un forum d’échange classé CINQ étoiles

Il lit une personne fort sympathique à qui il explique son souci d’androgénie.

Celui-ci lui recommande d’aller voir un psy

Charles, étant un peu un cyber-plouc sur les bords

et ne comprenant pas grand chose

aux subtilités du net, décide d’aller parler de son anamorphose.

Il va donc voir le psy le 06/07 à 8h00 précises

Vous comprenez docteur, avec mes trois testicules, ma vie n’a pas de sens…

Mais bien au contraire jeune homme,

imaginez-vous la chance que vous avez d’être un surhomme!!!

Une fois et demie un homme normal!!!

lui dit le psy avec beaucoup de bon sens.

Bref, vous êtes un surhomme, c’est fantastique !

Mais c’est vrai ça!’ dit Charles qui rebondit

en sortant du cabinet sans même dire au revoir au psy..

Quelques mètres plus loin, il monte dans le bus 9 avec la démarche typique

du super-homme qu’il est, style Aldo Maccione, mais DIX fois moins ridicule

Il s’assied à côté d’un monsieur et l’accoste de façon inopportune.

Savez vous monsieur qu’à nous deux nous avons cinq testicules?

Et voilà que le monsieur lui répond d’un air incrédule,

Ah bon? Vous en avez qu’une?

Bouquet final !!!

Avant d’être amirale pour les Croqueurs de Môts

j’étais administratrice de l’Annuaire pour les Nuls

Beaucoup doivent s’en souvenir pour m’avoir fait l’honneur

de participer aux nombreux défis que j’y organisais.

Je ne vous remercierai jamais assez pour votre fidélité.

Hélas la vie n’étant pas toujours un long fleuve tranquille

j’ai dû arrêter l’aventure.

Pour la 250 et une, , l’équipage de la Coquille des Croqueurs de Môts

proposait que nous remettions le défi n°1, à l’honneur.

Pour la petite histoire, la communauté fut fondée par  Brunô en Août 2009,

jeux d’écritures, Haïkus, défis, poésie, amour des mots …

chaque semaine Brunô proposait   son Défi   » Les môts de Tête «

avec cette image :

Bien des thèmes et façons d’écrire furent abordés  , dans une ambiance bon enfant

Pour des raisons personnelles, la communauté fut transmise à  Tricôtine

 en Avril 2010, nommée « La Coquille de noix«  par les croqueurs

en hommage à son ancien capitaine.

Et c’est en quatorze de l’an deux mille

Que la commandante Dômi recevait à son tour le célèbre chapô .

C’est grâce à Eglantine, 1er Vétéran,

décorée Miss Coquille par le fondateur Brunô,

que j’ai pu remonté au tout premier défi  de Brunô

Nous commencerons cette quinzaine par le premier jeudi poésie

sur le thème : un abécédaire.

Pour ma participation j’ai retrouvé le bouquet final d’un abécédaire

que j’avais organisé sur l’Annuaire pour les Nuls qui nous avait tenu

en haleine une demi année .

 

Ah nous y voici

 Brillants vous avez été

Convivialité au rendez-vous

Drôles à souhait

Estime de l’autre

Formidable fut l’aventure

Géniales vos participations

Ho la belle bleue

Imagination à gogo

J‘ai adoré

Kaléidoscope sur vos univers

Liberté d’expression

Merci à vous

Nuls vous avez été oui mais avec un grand N

Originaux à souhait

Partage sans condition

Que faire maintenant

Recommencer une nouvelle aventure

Sans tambour ni trompette

Toujours dans la joie et la bonne humeur

Unis quoi qu’il arrive

Vertige de l’amitié

Wagon de bisous

XY html est notre nouveau langage

Zut c’est déjà fini!!!

Je tricote ma vie …

Pour ce défi 250 chez les Croqueurs de Môts

mené par Jazzy (Le bon côté des choses)

sur le thème des couleurs,

j’ai fouillé dans mes poussières d’hier

et voici ce que j’ai trouvé …

Petit à petit

Je tricote ma vie

Je prends du fil noir et gris

Pour tricoter mon désespoir et mes cris

Je me nourris de poésies

Le regard plongé dans le ciel infini

Je prends du fil bleu

Et je remets un peu d’espoir dans mes yeux

J’écris de la poésie

En écoutant des douces mélodies

Je ne suis ni Verlaine, ni Rimbaud,

Mais mes poésies sont juste de l’amour et des mots

Petit à petit

Je tricote ma vie

Je prends du fil rouge et rose

Pour tricoter plein de tendresse et de belles choses

Je ne rêve pas de luxe et de palace

Mais d’une vie simple sans strass

Mon fil n’est pas assez long

Pour tricoter tous mes pardons

Je le sais je ne suis pas une sainte

Et tricote mal mes plaintes

Mais il y a tant de place dans mon coeur

Et suffisamment de couleurs

Pour tricoter à ceux que j’aime

Un joli arc en ciel sans blême

Je laisse les couleurs de la rancoeur et de la haine

Et j’oublie les rares amis qui m’ont fait de la peine

J’offre le restant de ma laine

A ceux qui veulent apprendre à me connaître quand même.

Ce magnifique poème ne m’appartient pas

Je l’ai cherché à travers le net, pour exprimer quelques sentiments.

Et je remercie deux personnes qui m’ont permise

De le publier ici!!!

Merci à Laurelyne     link

Mais aussi à Pauleys Poésie   link

Des blogs aujourd’hui fermés !!!

Suis sûre que vous vous posez la question

« Mais où veut-elle encore en venir  Dimdamdom? »

Et bien c’est très simple

C’est que depuis que je suis dans ce monde

Je suis devenue accroc.

Ce billet n’est pas anodin

Vous savez au combien mon esprit était torturé

Ces derniers temps

Et j’ai cherché une issue

Et je l’ai trouvée enfin

C’est fou comme ça tricote dans ma tête

Et comme je ne tricote pas trop bien la laine

Et que je préfère tricoter les mots

Ceux qui me passent par la tête

Ou ceux qu’on me prête

Je vous ai fait un tricot de mots que j’ai empruntés

Afin d’en recouvrir la planète

Celle de l’amitié sans frontière

Pour laquelle je suis toute prête!!!

-dimdamdom-

Les couleurs de l’amitié

Un jour, toutes les couleurs du monde se mirent à se disputer entre elles,

Chacune prétendant être la meilleure, la plus importante, la plus belle,

la plus utile, la favorite.

La première affirma :

Je suis la plus essentielle, c’est indéniable. je représente la vie et l’espoir.

J’ai été choisie pour l’herbe, les arbres et les feuilles.

Sans moi, les animaux mourraient.

Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.

La seconde prit la parole :

Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan.

C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace,

la paix et la sérénité.

Sans moi, vous ne seriez rien.

La troisième riait dans sa barbe :

Vous êtes bien trop sérieux.

Moi j’apporte le rire, la gaieté .

Le soleil , tout comme la lune et les étoiles nous apportent la chaleur dans le monde

Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur.

Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.

Une quatrième éleva sa voix dans le tumulte

Je suis la couleur de la santé et de la force.

On me voit peut-être moins souvent que vous,

mais je suis utile aux besoins de la vie humaine.

Je transporte les plus importantes vitamines.

Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges, aux mangues et aux papayes.

Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever

ou au coucher du soleil,

Ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.

La cinquième très en colère et qui s’était retenue jusque là, prit la parole haut et fort :

C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie.

Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours la vie.

Je suis toujours prêt à me battre pour une cause.

Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune.

Je suis la couleur de la passion et de l’amour, de la rose , du poinsettia et du coquelicot.

Une sixième se leva et parla dignement :

Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir.

Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie

Parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse.

Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.

Finalement la septième prit la parole, beaucoup plus calmement que les autres

Mais avec autant de détermination :

Pensez à moi, je suis la couleur du silence.

Vous ne m’avez peut-être pas remarquée mais sans moi vous seriez insignifiantes.

Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule

et les profondeurs de l’eau.

Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.

Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter,

chacune convaincue de sa propre supériorité.

Leur dispute devint de plus en plus sérieuse.

Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda.

La pluie commença à tomber fortement.

Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.

Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :

Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres.

Ne savez vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale,

unique et différente ?

Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.

La pluie poursuivit :

Dorénavant, quand il pleuvra,

Chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleur

Et démontre que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie.

L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain.

Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel,

Pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.

Voilà, comme je n’avais pas grand chose à dire aujourd’hui,

Mais que je n’en pensais pas moins, je suis  venue partager

cette jolie histoire avec vous!!!

Et vous souhaite une journée aux couleurs de l’arc en ciel et de l’amitié!!!

Pour ce défi 250  chez les Croqueurs de Môts  Jazzy voulait

qu’on  l’aide à retrouver les couleurs que cet infernal de Croquecolori a mangées.

Elle croyait pourtant avoir fermé la porte du jardin des mots mais le rusé a du se faufiler.

Il nous fallait donc écrire un texte autour d’une couleur

pour la faire deviner sans jamais la nommer,

sinon Croquecolori pourrait de nouveau se manifester.

Page blanche …

C’est fou ça

Je n’ai rien à dire

Alors que dire

Qu’il y a des jours comme ça

Où l’on n’a rien à dire

Dans ce cas

Mieux vaut s’abstenir…

Ce qui m’amène à la citation suivante ;

« Sur une page blanche, tout est possible ,

On peut y écrire et dessiner

Ce qu’il y a de plus nouveau et de plus beau. »

Citations du président Mao Tsé-toung

Pour ce défi 250 chez les Croqueurs de Môts, Jazzy

nous demande de l’aider à retrouver les couleurs

que cet infernal de Croquecolori a mangées…

Ici en l’occurrence c’est le blanc.

Chère Jazzy, j’espère que tu ne m’en voudras pas,

pour cette page blanche,

c’est à cause de ma Pomponnette !!!

Aussi blanche soit-elle,

elle m’en fait voir de toutes les couleurs :mrgreen:

La chèvre de Monsieur Seguin

Pour ce second jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

Laura aimerait qu’il soit question d’ASCENSION religieuse ou pas.

La chèvre de Monsieur Seguin (Sauce dimdamdom)

En ce long week-end d’Ascension

Après une campagne électorale bien arrosée

M°Seguin, aux portes du paradis s’en alla frapper.

Sur ses épaules le petit Nicolas le portait

Il paraît qu’ils étaient de grands amis,

Enfin c’est Nicolas qui le dit.

Les voici arrivés devant la porte céleste.

Toc Toc, et la porte s’ouvrit instantanément,

Du haut de sa grandeur Saint Pierre s’exclama :

“Oh Philippe, soit le bienvenu, entre donc…”

Euh… par contre ta chèvre , sans vouloir en faire un fromage

Elle reste dehors hein!!!

-dimdamdom-

Lundi c’est férié !!!

Pour ce défi 249, chez les Croqueurs de Môts

Laura nous demande de mettre un jour férié à l’honneur

comme le lundi de PAQUES ou celui de PENTECOTE .

Elle ne veut pas entendre parler de PAQUES ou de PENTECOTE

mais de ce qu’on fait de ces lundis fériés

qui ne sont pas que des jours de fête religieuse ou de commémoration laïque,

mais des jours où beaucoup de français ne travaillent pas.

Je ne sais pas trop par où commencer …

Je pourrais vous parler de Mémé Jeanne et son affreux Pépé

mais j’ai peur de vous lasser .

Et puis zut, j’ai trop envie de décharger ma kalachnikov

sur ce kakatoès de mes fesses.

Alors laissez moi vous raconter une petite histoire coquine.

Oh mais je vous vois déjà outrés

Le Kamasutra un week-end de Pâques

Est-ce bien permis???

Et bien voyez-vous j’ai demandé la permission

A monsieur le curé qui m’a dit ceci :

Bien sûr que vous pouvez, mais uniquement

Avec votre conjoint (Pépé)

Il faut que ce soit une punition

Pas un plaisir .

Donc la dernière fois que Mémé Jeanne a dormi avec son Pépé,

c’était un jour férié,  un lundi de Pâques ou de Pentecôte

je ne me souviens plus très bien.

N’ayant jamais été très catholiques

et profitant que les enfants étaient en week-end prolongé

ces deux là décidèrent de flâner sous la couette.

Etant de nature frileuse Pépé a commencé le kama sous le drap…

C’est lorsque la chaleur se fit intense et que les cloches se mirent à sonner

qu’il a tenté quelques cabrioles.

C’est alors qu’il poussa un cri strident .

– Alors, qu’est-ce que t’as fait ? lui demanda Mémé

– Rien ….. J’ai vieilli.

Et pourtant … “J’avais une volonté de fer.

Mais c’est toujours la même histoire, le fer…ça rouille.” 😆