Bonne fête petit Robert

Aujourd’hui 3 avril, nous fêtons les Robert

et Zaza nous demande pour le défi 204

chez les Croqueurs de Môts

de vous parler de Robert célèbres ou pas

du Petit Robert, de la ville de Robert …

Pour se faire

J’ai épluché le célèbre dictionnaire

et j’ai découvert

la nouvelle version du Petit Robert.

 

Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches

pour aider les riches des pays pauvres.

Archipel : Outil pour creuser des archi trous

Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après

que quand on est assis dedans.

Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.

Carla Bruni : Blanche-neige moderne ayant eu une préférence

pour un des sept nains : Grincheux.

Carte bleue : Viagra féminin.

Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes

mais emballe rarement les hommes.

Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l’homme.

Etat : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.

Etre au bout du rouleau : Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.

Egalité des sexes : Nouveau concept créé par les hommes

pour ne plus payer le restaurant.

Facebook : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.

Femme : C’est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve

Femme facile : Femme ayant les même besoins sexuels qu’un homme

GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.

Grand amour : Expression datant du 15ème siècle,

lorsque l’espérance de vie était de 35 ans.

Homme riche : Celui qui gagne plus d’argent que ce que sa femme n’en dépense

Jardiland : Seul endroit ou si tu prends trois râteaux tu as une pelle offerte.

Je me suis fait un bleu : Expression couramment utilisée par Zahia.

La beauté intérieure : Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.

L’amour : C’est comme un jeu de cartes, si tu n’as pas un bon partenaire,

il vaut mieux avoir une bonne main.

Le coiffeur : Le Gospel : C’est quand ton gamin a pris un coup de soleil

Les ex : C’est comme la prison, si tu y retournes c’est que tu n’as pas compris la leçon

Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.

Maison Blanche : Actuellement Barack noire.

Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d’entrer

Monter un meuble Ikea : Expression moderne signifiant « passer un week-end de merde ».

Mozart : Célèbre compositeur que l’on écoute le plus souvent

dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.

Orteil : Appendice servant a détecter les coins de portes.

Où est donc mon Ricard : Conjonction de coordination

Oui chérie : Gain de temps.

Oui-Oui : Fils illégitime de Sissi

Péniche : C’est oune zizi portugaiche.

Pharmacie : Confiserie pour vieux

Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs

d’un coup au lieu de les perdre une par une.

Soutien-gorge : Synonyme de flamby. Tu tires la languette et tout tombe.

Sudoku : Qui a le nord en face.

Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant

entre la police et la jeunesse.

Titeuf : Ce qui sort de la TitePoule.

Sentiments partagés : Quand votre belle-mère est en train de reculer

dans le ravin avec votre voiture toute neuve.

Suppositoire : Invention qui restera dans les annale

Un meurtre de sang froid : Un ice crime

Voiture : Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux

dans le moteur et un âne au volant.

Printemps

Aujourd’hui est un jour important

Voici enfin le printemps

Je reviens d’un long voyage

A bord de mon petit nuage

Je suis allée cueillir quelques fleurs

Pour vous faire un bouquet de bonheur

Un bouquet qu’il vous faudra entretenir

Pour ne pas le laisser mourir

Le printemps c’est douceur

Le printemps c’est couleur

Je vous le souhaite porteur

De toutes ces saveurs.

-dimdamdom-

Voici ma participation au premier jeudi poésie du défi 204

mené par Zaza pour les Croqueurs de Môts

 

Ce matin …

Ce matin
Drôle de matin.
Sept heures, j’ouvre un oeil
Trop tôt, je ferme l’oeil…
Oh patate dix heures trente
Me lever je tente,
Aux bruits extérieurs je reste sourde,
Mes paupieres sont lourdes…
Onze heures quarante deux
Cette fois je me lève ni une ni deux.
J’ouvre les volets
C’est une belle journée,
Je m’aère sur la terrasse
Et là haut quelque chose m’embarrasse.
Non hier elle n’était pas là
Je le jure sur la tête de mon papa.
Non je ne suis pas folle
Et je n’ai pas sniffé le tube de colle.
Regardez j’ai fait avec mon appareil
Une photo de cette merveille.

-dimdamdom-

Ma partici »passion » pour Laura Vanel Coytte chez les Croqueurs de Môts

Si longtemps que nous nous étions perdues de vue

Qu’un beau matin l’envie m’est venue

De m’envoler pour te retrouver.

Pour toi j’ai tout quitté

Dès mon arrivée autour de moi tu t’es lovée

Inlassablement nous avons flirté

Je garderai de ce beau voyage

Le témoignage du ciel et des nuages

Il est déjà temps pour moi de partir

Mais je te promets de revenir

Chaque fois que le besoin se présentera

Je viendrai me blottir dans tes bras.

Même si dans mon pays d’en haut

Il n’y a pas d’aussi beaux bateaux

Je ferai en sorte de les transporter

Afin que mon bonheur soit complet.

Désormais avec toi c’est une certitude

Plus jamais je ne craindrai la solitude.

-dimdamdom-

DSC_0008

DSC_0172

DSC_0161

DSC_0168

DSC_0162

DSC_0179

DSC_0169

DSC_0028

DSC_0197

DSC_0194

DSC_0183

DSC_0173

DSC_0163

DSC_0155

DSC_0146

DSC_0139

DSC_0106

DSC_0118

DSC_0193Pour ce deuxième jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

Laura nous demande de thématiser …

 » Les paysages, ceux que vous aimez ou pas,

en vrai, en peinture, photo ou poésie etc… »

Je ne suis pas originale, car ce poème vous le connaissez

Mais voilà, c’était mon plus beau voyage.

Tu viens d’incendier la bibliothèque ?

A qui la faute ?

 Tu viens d’incendier la Bibliothèque ?

 – Oui.

J’ai mis le feu là.

 – Mais c’est un crime inouï !

Crime commis par toi contre toi-même, infâme !

Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !

C’est ton propre flambeau que tu viens de souffler !

Ce que ta rage impie et folle ose brûler,

C’est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage

Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.

Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.

Une bibliothèque est un acte de foi

Des générations ténébreuses encore

Qui rendent dans la nuit témoignage à l’aurore.

Quoi! dans ce vénérable amas des vérités,

Dans ces chefs-d’oeuvre pleins de foudre et de clartés,

Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,

Dans les siècles, dans l’homme antique, dans l’histoire,

Dans le passé, leçon qu’épelle l’avenir,

Dans ce qui commença pour ne jamais finir,

Dans les poètes! quoi, dans ce gouffre des bibles,

Dans le divin monceau des Eschyles terribles,

Des Homères, des jobs, debout sur l’horizon,

Dans Molière, Voltaire et Kant, dans la raison,

Tu jettes, misérable, une torche enflammée !

De tout l’esprit humain tu fais de la fumée !

As-tu donc oublié que ton libérateur,

C’est le livre ? Le livre est là sur la hauteur;

Il luit; parce qu’il brille et qu’il les illumine,

Il détruit l’échafaud, la guerre, la famine

Il parle, plus d’esclave et plus de paria.

Ouvre un livre. Platon, Milton, Beccaria.

Lis ces prophètes, Dante, ou Shakespeare, ou Corneille

L’âme immense qu’ils ont en eux, en toi s’éveille ;

Ébloui, tu te sens le même homme qu’eux tous ;

Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;

Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,

Ils t’enseignent ainsi que l’aube éclaire un cloître

À mesure qu’il plonge en ton coeur plus avant,

Leur chaud rayon t’apaise et te fait plus vivant ;

Ton âme interrogée est prête à leur répondre ;

Tu te reconnais bon, puis meilleur; tu sens fondre,

Comme la neige au feu, ton orgueil, tes fureurs,

Le mal, les préjugés, les rois, les empereurs !

Car la science en l’homme arrive la première.

Puis vient la liberté. Toute cette lumière,

C’est à toi comprends donc, et c’est toi qui l’éteins !

Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints.

Le livre en ta pensée entre, il défait en elle

Les liens que l’erreur à la vérité mêle,

Car toute conscience est un noeud gordien.

Il est ton médecin, ton guide, ton gardien.

Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l’ôte.

Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute !

Le livre est ta richesse à toi ! c’est le savoir,

Le droit, la vérité, la vertu, le devoir,

Le progrès, la raison dissipant tout délire.

Et tu détruis cela, toi !

 – Je ne sais pas lire.

-Victor Hugo-

 

A qui la faute?

Pour ma part c’est à cause de mon addiction au PC.

J’ai bien une bibliothèque parce que j’aime les livres

mais je ne prends plus assez de temps pour lire

et je le regrette beaucoup

alors je profite de mes vacances,

de mes trajets, de la plage, sous la tente …

pour dévorer quelques ouvrages.

Voici ma partici »passion » au défi 203 mené par Laura Vanel Coytte

pour les Croqueurs de Môts

Joyeuses Pâques !!!

Avant j’écoutais mes amis, ma famille , mes voisins,

je leur parlais en les regardant dans les yeux,

maintenant j’attends derrière mon écran

un like, un Smiley, un commentaire, un partage

et je suis désespérée de constater

qu’on est bien plus seul derrière son écran

entouré de 1000 amis, que dans la vraie vie.

Je vous souhaite à toutes et tous

de Joyeuses Fêtes de Pâques.

Attention, ne vous gavez pas trop de chocolats,

ça rend patraque .

Je voudrai être moi …

C’était en mai 2015 … je cherchais des mots pour mes maux

J’ai trouvé ces quelques mots …

Toi l’auteur dont je ne connais que le pseudo

Sache que je n’ai pas volé tes mots

Je les ai trouvé si justes et si beaux

Que j’ai eu envie de les associer à mes maux.

 

Moi qui n’aimais que toi, moi qui ne pensais pas

Pouvoir regarder là où tes yeux n’étaient pas,

Moi qui t’ai adulé comme on prie les dieux

Moi qui ne savais pas vivre autrement qu’à deux …

 

Moi qui te mettais haut dans l’échelle du coeur

Prête à me saboter pour te lancer des fleurs,

Je me suis oubliée en croyant trop en toi

Je ne me voyais plus car je ne m’aimais pas.

 

Aujourd’hui, j’ai compris qu’il me fallait trouver

D’abord l’enfant perdu puis la femme envolée

Celle qui était en moi et que j’avais laissée

Pour être un peu de toi, occultant mes pensées.

 

Je n’en garde pas moins un souvenir merveilleux

Mais je suis à ma place et je me sens bien mieux

Quand enfin je m’écoute et défends mes idées

Je n’ai plus peur de moi, j’ai envie d’exister.

 

L’amour est un échange, pas une vénération

Le sentiment d’aimer n’est pas une addiction,

C’est en devenant soi qu’on peut enfin donner

Quand on se sait capable d’être soi-même aimée.

 

– Mayane-

 

J’ai mis trois années pour devenir celle que je suis

Ca ne s’est pas fait sans mal

Ca résonne encore en moi

Mais je suis fière du chemin parcouru

Et d’être enfin moi.

Voici ma participation au second jeudi poésie

mené par Luciole pour les Croqueurs de Môts

Le tango est une pensée triste qui se danse …

Pour ce défi 202 mené par Luciole chez les Croqueurs de Môts

« Le tango est une pensée triste qui se danse! (Enrique Santos Discépolo)

La peur est l’énergie qui contracte, referme

attire, court, cache

et blesse.

L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie

reste, révèle, partage

et guérit

La peur enveloppe nos corps

dans les vêtements.

L’amour nous permet

de rester nus.

La peur s’accroche et se cramponne

à tout ce que nous avons.

La peur retient,

l’amour chérit.

La peur empoigne,

l’amour lâche prise

La peur laisse de la rancoeur,

l’amour soulage.

La peur attaque,

l’amour répare.

Neale Donald Walsch

Dans l’air du temps

Ce matin en me levant

J’avais une folle envie

De m’envoyer en l’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois hôtesse de l’air

 

Comme le dit dans la chanson

Le léger Jacques Dutronc

Qui n’a rien d’une diva

Mais tout d’un Casanova

 

Ce matin il faisait beau temps

J’avais très envie

De rester dans mon rocking chair

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois voluptuaire

 

Comme l’était Emmanuelle

Aussi belle qu’une demoiselle

Qui les dimanche sur sa balançoire

Montrait ses jambes sous son jupon noir

 

Ce matin pas un souffle de vent

Pourtant j’avais bien envie

D’aller prendre un bol d’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois pompeuse d’air

 

Comme l’était Liz Taylor

Dont les disputes valaient de l’or

Avec son célèbre Richard Burton

Qu’elle rendait furibond

 

Ce matin derrière mon paravent

Je n’avais aucune envie

D’avoir les fesses à l’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois nonne au couvent

 

Comme l’était Soeur Sourire

Qui n’est pas morte de rire

Mais d’avoir tout quitté

Pour une femme qu’elle a aimée

 

Ce matin les cheveux au vent

Je n’avais qu’une envie

D’aller à la montagne prendre l’air

Ne croyez pas cependant

Que je n’aime pas les vacances balnéaires

 

Comme le disait Jean Ferrat

Qui n’habitait pas le Cap Ferrat

Que la montagne est belle

Tout en regardant voleter les hirondelles

 

Ce matin tempête et vent

J’avais très envie

De sortir de ma bulle d’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je manque d’air

 

Comme Mam’selle Bulle

Qui comme un funambule

Avait rêvé de s’envoler

De s’envoler pour tout quitter.

 

Ce matin tapis blanc

J’avais très envie

D’enfiler un mohair

En sortant j’ai eu peur cependant

De glisser sur mon derrière

 

Comme Jacques Higelin

Retombé en enfance au pied du grand sapin

Tombé comme un météore

Dans les poches de Balthazar, Gaspard, Melchior

 

Ce matin voilà le printemps

J’avais très envie

De respirer le bon air

Il faut savoir cependant

Qu’en ville c’est la galère

 

Comme le disait Michel Fugain

Dans un de ses refrains

Regarde les rues de la grande ville,

Regarde les murs de la grande ville

 

Ce matin malgré le vent

J’avais très envie

D’aller prendre l’air

J’ai entendu cependant

Que pour notre survie

Il fallait éviter la pollution de l’air

 

Comme le dit Philippe Geluck dans son dicton

Je pense sincèrement que la pollution

Ce n’est pas aussi grave qu’on le dit…

C’est beaucoup plus grave qu’on le dit.

 

Depuis tout un temps je vis en dehors du temps

Voilà pourquoi ce matin je n’avais pas envie

D’aller prendre un bol d’air

J’ai peur cependant

De manquer d’air

 

Comme le dis Manom D’Inverness

Dans ses chansons pleines d’ivresse

Dans c’qui forme mon univers et tout ce qui diffère

J’ai peur à mes repères, j’ai peur de manquer d’air

 

-dimdamdom-

 

Pour ce premier jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

Luciole à la barre

Voici ce qu’elle nous demande …

  • Poésie ou chanson ou autre sur les 4 éléments qui composent la danse :

          L’EAU, L’AIR, LE FEU, LA TERRE

En fouillant dans mon grenier j’ai retrouvé ce poème

Les quatre éléments y sont sauf peut-être le feu

Pour l’occasion j’y ai ajouté trois paragraphes.

A vrai dire je participe à un concours à la maison de la Francité

Je dois faire un texte de minimum 6000 caractères,

il m’en manque encore 3500 😆

« Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid »

Pour le défi 201 chez les Croqueurs de Môts

c’est votre commandant Dômi qui s’y colle

et voici ce qu’elle propose …

Nous sommes en hiver …

« Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid »

Il a neigé toute la nuit. Voilà ma matinée.

8h00 : Je fais un bonhomme de neige.

8h10 : une féministe passe et me demande

pourquoi je n’ai fait  une bonne femme de neige.

8h15 : Alors je fais aussi une bonne femme de neige.

8h17 : La nounou des voisins râle parce qu’elle trouve la poitrine

de la bonne femme de neige trop voluptueuse.

8h20 : Un couple homo du quartier grommelle que ça aurait pu être

deux bonshommes de neige.

8h25 : Les végétariens du n°12 rouspètent à cause de la carotte qui sert

de nez au bonhomme de neige.. Les légumes sont de la nourriture et ne doivent

pas servir à ça.

8h28 : On me traite de raciste car le couple est blanc.

8h31 : Les Musulmans de l’autre côté de la rue veulent que je mette

un foulard à ma bonne femme de neige.

8h40 : Quelqu’un appelle la police qui vient voir ce qui se passe.

8h42 : On me dit qu’il faut que j’enlève le manche à balai que tient

le bonhomme de neige car il pourrait être utilisé comme une arme mortelle.

Les choses empirent quand je marmonne : « ouais, surtout si vous l’avez dans le … »

8h45 : L’équipe de TV locale s’amène. Ils me demandent si je connais

la différence entre un bonhomme de neige et une bonne femme de neige.

Je réponds : « oui les boules » et on me traite de sexiste.

8h52 : Mon téléphone portable est saisi, contrôlé et je suis embarqué

au commissariat.

9h00 : Je parlais au journal TV , on me suspecte d’être un terroriste

profitant du mauvais temps pour troubler l’ordre public.

9h10 : On me demande si j’ai des complices.

9h29 : Un groupe djihadiste inconnu revendique l’action.

Morale : Il n’y a pas de morale à cette histoire.

C’est juste l’Europe dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lN71O3x8iDU[/youtube]