Vous souvenez-vous, l’an dernier, en septembre,
Nous lancions un appel à rassemblement
Pour la belle et généreuse idée de
Dame Quichottine qui récidive ici (CLIC)
Après avoir effeuillé la marguerite,
Nous aboutissons logiquement à un Mariage (CLIC),
Auquel vous pouvez prendre part activement,
Par l’écriture ou par l’illustration.
Je vous rappelle que ces histoires à plusieurs mains
Seront mises en vente et que , je cite :
“Les bénéfices des ventes seront intégralement reversés à l’une des associations
Se chargeant de réaliser les rêves des enfants malades.”
Avec le souhait et l’accord de Quichottine
Voici ma participation!!!
Te souviens-tu c’était en quatorze
Un quatorze exactement
En ce temps là point de téléphone
Et encore moins de smartphone
Pas de nom d’utilisateur ou de mot de passe
Pour s’écrire des mots d’amour
Je me souviens cette année là
Nos regards qui n’étaient pas de glace
Se sont croisés lors d’une conférence internationale
Dont le thème était “Paix dans le monde”
Tu parles d’une escroquerie, un déballage d’illusions.
On ne nous a pas laissé réfléchir longtemps
Puisqu’une semaine après tu partais pour le front.
Pendant ces quatre années nous nous écrivions
Et chaque jour notre amour se renforçait
Tu n’avais pas encore découvert ma jolie cambrure
Mais tu es resté patient jusqu’à ton retour,
Où tu te hasardas à demander ma main à mon père
Te souviens-tu c’était en quatorze
Un quatorze exactement
Il faisait soleil, le parvis de l’église était parsemé
De roses rouges emblème de toute une vie d’amour.
-dimdamdom-
un joli souvenir mais une période que l’on aurait bien voulu éviter
C’est Magnifique Domi ! J’♥ beaucoup !
Bon dimanche !
Bisous♥
Il a de la chance d’en revenir et d’épouser sa belle… qui aurait pû finir dans les bras d’un autre s’il était mort au champ d’honneur… On dit jamais deux sans trois, ok côté bonne chose, sinon !! Bon dimanche Dim… bises
Tu aurais pu le mettre dans la communauté il y a cent ans, également.
Ceux qui sont revenus de cette boucherie ont eu, si l’on peut dire, de la chance.
Mais les séquelles physiques et psychologiques ont dû être nombreuses.
Bises et bon week-end.
Un amour qui s’est concrétisé malgré la grande guerre. Quichottine et ses deux copines font un boulot exceptionnel pour cette 4ème anthologie. Je suis fière de faire partie de ce mariage ! Bises et bon dimanche. ZAZA
En ce temps là ils étaient patient les amoureux……Quand on pense que de nos jours on consomme bien avant histoire de voir si tout *’s’encoche* bien.
d’un autre côté compréhensible la vie est courte autant profiter de tout, sans excès toutefois…………..Dommage que ce soit ces guerres qui engendre des si beaux écrits…
bon dimanche
Bonjour
C’est un texte magnifique!
Oui, je passe quand j’ai le temps maintenant. Des fois c’est pas facile, alors il se peut que je ne donne pas de nouvelles.
Bisous
Si je ne participe pas cette année au mariage des anthologies , c’est pour moi une très belle expérience et t’encourage dans ce sens avec ce beau poème 🙂 . Bon dimanche et bises
Un très beau texte qui trouvera sa place dans ce quatrième ouvrage. Je participe cette année, et mon texte a déjà paru sur mon blog et dans le rappel des participants.
Quelle chance pour ces deux-là d’avoir pu se retrouver, et heureusement qu’il y en a eu car nous ne serions pas là les uns et les autres…Sourire!!
Belle fin de dimanche et bisous d’EvaJoe
Mon amie de contes a une histoire familiale sur un mariage en 14 qu’elle va donner cette semaine. Mais son histoire ne se termine pas aussi bien que la tienne !
Bisous
Un beau texte, une belle histoire, il en faut, cette période n’en portait guère.
Bonne soirée
Bises
est il encore temps pour participer.
Bises
🙂 une belle histoire qui va se rajouter dans ce livre d’histoires à quatre mains. Bisous du soir !
Belle participation avec, en plus, une belle histoire d’amour et on en a bien besoin en ce moment des jolies histoires qui finissent bien. Bisous à toi ma douce.
Magnifique, Domi. Grrrr, rien inventé pour cette chère Quichottine, aurai-je encore le temps et l’inspiration ? Une chose est sûre, j’achèterai le livre. Bizzzzz !
Oui, terrible époque!