Bon, ne me prenez pas pour une folle!!!
Cela fait quelques semaines, quelques mois, quelques années
Que je rencontre des difficultés par rapport à ma façon d’être
Et à celle dont on me perçoit
Bien souvent cela se termine mal
Et j’en suis arrivée à me poser des questions
Sur ce que je suis, ce que je représente.
Alors j’ai fouillé sur le net
En tapant des mots clés comme
Tolérance, colère, persécution, vengeance….
Tous des mots peu glorifiants je trouve
Mais se poser la question est une gloire en soi
Alors voilà ce que j’ai trouvé et cela me convient très bien
Comme cela devrait convenir aux personnes avec qui trop souvent
Je tombe en incompréhension!!!
Voici un texte, très long j’en conviens
Que vous lirez si vous aussi rencontrez les mêmes difficultés
Et si vous aussi vous vous interrogez.
Je vous laisse l’adresse du site
Que vous pouvez parcourir à votre rythme
Selon les difficultés que vous rencontrez dans la vie
Selon vos questionnements
Par rapport à ces difficultés
Voici le lien link
Mais attention à respecter ceci :
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LA VERITABLE PAIX
COMMENCE PAR L’OBSERVATION ET L’ACCEPTATION
DE NOTRE PROPRE VIOLENCE
Résumé du livre de Pema Chödrön :
« Pour faire la paix en temps de guerre »
paru aux éditions de La Table Ronde.
L’origine de la colère, la violence, ou la guerre, se trouve toujours au niveau d’une sorte de crispation intérieure. Un fait, une parole, un événement, vont susciter une fermeture de notre coeur
et un emballement de nos pensées dans une réaction en chaîne. Cette inflexibilité nous entraine vers les dogmes et jusqu’à l’intégrisme.
Nous sommes, à la base, incapables de nous observer dans ces situations. Pourtant, en général, nous fonctionnons en image miroir à ceux contre qui sont dirigés tous nos griefs.
Or c’est bien de là qu’il faut partir : l’observation de notre attitude nous permet de choisir de ne pas en prendre le chemin, de ne pas retomber dans cet automatisme qui jalonne notre parcours.
Ce choix exige le courage de faire face à la peur. Car arrêter le moulin de ces réactions en chaine crée un profond malaise, qui, si nous sommes capables de le traverser, mène à l’apaisement, et
à l’ouverture du coeur.
Quand nous nous reconnaissons porteur de ce que nous condamnons justement chez l’autre, nous ouvrons la porte à l’empathie. Nous comprenons alors que nos peurs, notre dogmatisme, notre
intégrisme, notre rigidité, nous font tout autant souffrir que l’on peut souffrir de l’oppression et de l’injustice. Les deux facettes font partie de la même pièce. Et stopper l’engrenage d’un
côté stoppe la spirale de la violence.
Selon Pema Chödrön, la patience est l’antidote de l’agression. Elle nous permet de ne pas entrer dans le cercle infernal de la réponse à l’agression. Car la riposte ne réduit pas, mais amplifie
la douleur de l’agression, elle ne réduit pas non plus la colère.
La patience, à l’inverse, permet de décaler le regard, stopper l’automatisme. Elle refuse également de se laisser piéger par l’urgence. En s’arrêtant, en se mettant à l’écoute de son ressenti, on
prend le chemin de l’apaisement. Ce n’est pas un chemin facile mais il porte au-delà de notre propre paix, pour soi et pour tous.
Pema Chödrön exprime que cela exige beaucoup d’intrépidité. En se mettant dans l’attente, on apprend à accepter de faire face à la colère, la nôtre, et la douleur qui y est inhérente. Cette
attente, ce refus d’utiliser nos automatismes, permet de cultiver la patience. Et rien ne permet d’éviter de traverser cet état : pas de raccourci, de remède, de bouée.
Mais cette capacité à traverser cela nous permet d’accéder à autre chose. Outre le choix qui devient possible entre la spirale de l’agression et la paix; la patience mène à un nouveau regard, à
plus de lucidité.
En laissant tomber notre armure, en refusant de riposter, nous sommes amenés à faire face à notre vulnérabilité. Et la lucidité face à notre propre vulnérabilité, mène à une forme d’indulgence,
voire d’humour, envers soi-même, mais également envers les autres. La patience nous mène en quelque sorte à découvrir une dimension de nous-mêmes. En la découvrant chez nous, nous la découvrons
aussi chez les autres, et faisons croître notre indulgence, notre bienveillance, à leur égard.
Pema Chödrön introduit le terme tibétain de « Shenpa » qui désigne un concept mal identifié en Occident, le moment où, lors d’un événement (reproche qu’on nous adresse, faux pas,
échec), quelle qu’en soit la taille, nous mordons à l’hameçon, en ressentant un malaise ou une frustration. Et, si nous ne sommes pas conscients de ce qui nous arrive, l’impulsion d’agir ou de
réagir à l’événement, nous entraine dans des comportements automatiques. Ce malaise et cette agitation correspondent à une insécurité profonde. S’abstenir d’agir peut s’apparenter au refus de
réagir lors de démangeaisons. Pour parvenir à ne pas se laisser emporter par la shenpa, Pema Chödrön propose la méditation, le retour au moment présent, l’immobilité dans l’irritation, en
apprenant la patience.
Il est possible d’apprendre aussi à repérer la shenpa chez autrui, et, dans la bienveillance et la patience, adapter la conversation avec sagesse – ce qu’on appelle la « prajna » – de
manière à ne pas créer une escalade et calmer le jeu.
Les fois où nous cédons à la démangeaison, constituent aussi un apprentissage a posteriori, par la réflexion, en se remémorant les émotions, pour parvenir à les dépasser.
Pema Chödrön définit quatre étapes de ce processus : reconnaître la shenpa, s’abstenir d’agir, se détendre, et enfin décider d’interrompre définitivement cette dynamique. On conserve de la sorte
notre énergie et on élargit nos perspectives, notre conscience.
La réalité dure de la vie (deuils, frustrations, confrontations, douleurs,…) est inévitable. Mais ce n’est pas de là que vient le malheur, il vient de notre recherche à y échapper. Or la
souffrance est à l’origine de beaucoup d’enseignements : le questionnement, l’empathie face à ceux qui vivent pareil, l’humilité devant la vie. Les difficultés et souffrances sont des chances
d’évolution, de transformation. La recherche du bonheur à tout prix est une prison. Traverser la souffrance en l’acceptant, en y étant présent, permet d’accéder à une force intérieure. La
réaction de fuite devant la menace, la douleur, la colère, nous rigidifie. Nous nous construisons des murs de protection face à toutes ces situations, qui nous enferment, plutôt qu’ils ne nous en
libèrent. Apprendre à reconnaître nos systèmes de protection est le chemin qui mènera à les démanteler. La méditation, la pratique de la patience, et la capacité à reconnaître la shenpa, sont les
moyens pour y arriver. Cet apprentissage exige un entrainement à être attentif, à rester ouvert à la difficulté à s’observer.
Pour s’y aider Pema Chödrön présente la notion bouddhiste de la bodhicitta, qui consiste à vouloir aller mieux et vouloir que le monde aille mieux; ces deux choses faisant partie d’un seul
concept.
La bodhicitta relative concerne la bienveillance et l’attention que l’on se porte à soi-même, dans toutes les dimensions, et à toutes les parties de soi. Il s’agit d’un amour inconditionnel, qui
ne stimule pas les parties problématiques de soi, mais les accepte et les aime sans honte, ni culpabilité, mais aussi sans limite.
Quand nous fuyons des parties de nous-mêmes, cela va nous forcer à fuir les situations pouvant mettre au jour ces parties devant d’autres personnes. Dans nos relations, l’accès à une forme
d’intimité avec l’autre, va tôt ou tard dévoiler les parties de nous moins visibles. Si ce sont des parties que nous n’acceptons pas nous-mêmes, nous serons amenés à fuir ces situations. Tout
l’art est alors de refuser de fuir pour apprendre à s’aimer tel qu’on est. En cultivant cette capacité à se regarder lucidement, en s’aimant inconditionnellement, on apprend la compassion, à
savoir : on apprend à accepter chez l’autre ce que l’on accepte chez soi. En sachant aimer une personne, on devient capable d’aimer des millions de personnes.
La bodhicitta absolue va un cran plus loin. C’est l’ouverture du coeur, la capacité d’amour inconditionnel envers le monde, au-delà des jugements et préjugés. On arrive à un tel niveau par
l’entrainement. En commençant par observer nos états d’âme, ensuite en ne se laissant pas piéger par eux, et en accueillant la souffrance inhérente au fait de ne pas les fuir; on surmonte alors
peurs et douleurs, et de la sorte, en s’élevant, on aide à diminuer la souffrance dans le monde.
Quand on parvient à éviter la shenpa, qu’on accepte d’éprouver l’insécurité et la colère, d’observer nos états d’âme sans poser d’acte immédiat; on évite déjà d’entrer dans une escalade. Mais il
est possible aussi d’accompagner cela par un voeu que cette attitude touche les autres qui souffrent de la même manière, en éprouvant de la compassion pour eux. Il est même possible de pratiquer
cela hors situation, par visualisation d’un sentiment d’aversion, par exemple. La pratique amène à ce que cette aversion se désagrège. Il ne s’agit donc ni de fuir le malaise, ni de le
rechercher, mais de le traverser, et d’accéder de la sorte à une force nouvelle, une conscience élargie.
Si l’on considère cet apprentissage à un niveau planétaire, et que ce que nous vivons maintenant est la conséquence de nos actions du passé; en travaillant sur soi dans la compassion, nous semons
les graines d’une paix future dans le monde. Peu importe le temps que cela mettra, l’important étant d’agir maintenant dans le bon sens. Les changements réalisés chez soi et ailleurs créent de la
sorte une nouvelle culture.
Quand nous ne mordons pas à l’hameçon, et nous permettons une pause plutôt que de réagir : nous brûlons les graines de l’agression. A la fois nous nous ouvrons à une réalité élargie et oeuvrons
pour un mieux dans le monde. Lorsque toutes nos graines de l’agression seront brûlées, nous rayonnerons la confiance, l’authenticité, nous serons d’une présence agréable. Car si nous nous aimons
nous-mêmes, sans honte, sans culpabilité, et avançons dans la sécurité, nourrissant la compassion pour nos prochains, incapables de leur reprocher ce que nous ne nous reprochons plus; alors
personne ne pourra se sentir en danger face à nous.
Pema Chödrön propose, quand on s’éloigne de la crispation, et qu’on cultive la compassion, de simplifier les choses. Accepter ce qui est sans se poser mille questions, et traverser, commencer à
faire les choses autrement, participant à cette nouvelle culture, pour soi et pour toute la planète.
Claire De Brabander
janvier 2009
Ps : J’accepte tous les commentaires,cet endroit est un endroit de libre expression, tout le monde est bien venu rien ne sera censuré!!!
bonjour dom.
je te connais que depuis peu, pas assez pour porter un jugement.
d ailleur pourquoi porter un jugement.
je ne peut me le permettre.
j espere que tu aura trouver les réponse a tes interrogations.
bisous
Salut Domi
j’ ai pas tout lu ton texte et oui en ce moment j’ ai deja du mal a finir un livre , bon tu t interrogse?? et bien fais comme moi ne te poses pas trop de questions car de toute
facon on a jamais la bonne rèponse…Bon week end ma belle et repose ta tete.
Gros bisous
au papillon tout bleu resplendissant,
pour qu’il puisse, vers toi, voltiger
afin de t’apporter besos et calins abondants.
Ils sont tous pour toi,
Avec toute notre chaleur
gros bisous besos ♥ hola si y yo también yo deseo saber porque ?
Ma Domi,
Je viens de lire ton texte et je vais te dire qu’il est difficile d’y répondre tout de go par écrit car c’est très discutable tu me comprends bien n’est-ce-pas ? mais je peux dores et déjà te dire que ce texte reflètes beaucoup la réalité des choses lorsque l’on a connu pas mal de malheur dans sa vie. Nous aurons certainement l’occasion d’en reparler de vive voix. Gros bisous
Hau Domi,
oups! sacré texte que voilà… heu, pas tout lu je l’avoue! j’espére que tu as trouvvé les réponses voulues, attendues et qu’elles t’éclairent un peu ! lol
Mais pourquoi s’en poser autant , en rapport avec les derniers incidents sur blog et BW ? je ne m’en formaliserai pas àta place, tant de choses sont pris de travers… je pense que lire le dictionnaire serait de bon goût pour la saison froide à venir!!! MDR En attendant, moi j’aime bien ce que tu es, ce que tu dis et ton humour fait du bien… tant de choses tristes partout, de colére, de frustration …. bref! avec toi, je me sens bien … chose dite! NA ..
bon je continue mon petit tour de blogs, je laisse ma trace deçi-delà , si peu présente depuis queques semaines! Bientôt le froid, je vais squatter l’ordi ensuite!!!! hihihihihihi
des bisous ma belle, bon we à toi, toksa ake
dis madame Domi tu peux pas les faire moins longs tes articles
j’ai pas tout lu pffffffff pas de courage
bon si tu as trouvé la réponse aux questions que tu te poses j’en suis heureuse pour toi et reste zen
bon week end
bisous
cellya
Un ptit coucou de Varsovie où je passe le week end pour découvrir un peu cette ville… t’inquiète pas ma Donoma on t’aime comme tu es hey je crois bien que la perfection çà serait ennuyeux, je n’ai pas le temps de lire ton texte mais je le lirai à mon retour, bonne soirée et bon week end 🙂 bisous
Très beau texte ! Je fais mon possible pour suivre ces principes, mais c’est difficile !
Bonne soirée, bises
Hello ma copineû Franco/ Belgeû , pas facileû de lâcher priseû a tout ce qui fait maleû et à toutes les blessureû..
Et oui c’est de l’intérieur que l’on guerrit de ses douleurs, toute en douceur sans se faire violence, car cette violence se retourne contre soi. Prendre soin de notre vie émotionnelle en s’accordant le temps et la liberté de trouver ce qu’il nous faut aimer , privilégier. Les instants changent et sont imprévisibles à nous de leur donner vie. Parole d’une sageû …!
Gros bisous Domi!
kikoo !
J’ai ma propre vision de la vie comme chacun d’ailleurs ! Je suis comme je suis et c’est vrai que je paraîs pour une originale voire une folle aux yeux de certains car j’ai décidé d’être ce que je suis et non être ce que la morale, la société, la religion… attendent de moi.
Le malheur est triste mais le malheur est bon et j’avoue que sans lui j’aurais été peut être comme tout le monde pour mon plus grand malheur… car le malheur réveil les personnalités profondes pour peu qu’on veuille s’écouter et c’est là le secret de la « sérénité » à mon sens. Ne pas s’écouter, n’apporte rien de bon et parfois je me dis que les gens qui souffrent énormément sont soient des gens qui n’acceptent pas leur malheur en clair qu’il le fuit ou ils sont soient des gens qui ne se sont pas assez écoutés.
Bref tout ça pour dire qu’une personne qui veut absolument se fondre dans la masse et qui critique un tel parce qu’il ne pense pas ou ne vit pas comme nous, c’est hyper malsain ! Ces personnes là sont pour moi des robots, de ceux qui peuple cette palnète en voyant à peine plus loin que le bout de leur nez. Ils font ce que la société, la moral attendent d’eux, mais n’ont jamais cherché à aller plus loin dans le raisonnement sous peine et peur de se faire traiter de fou.
Mais les fous ne sont pas ceux qu’on croit. Quand on me dit que je suis folle, dépressive etc etc pour moi se sont des gens qui n’ont rien compris au sens profond de la vie, et tant pis s’ils ont peur de ce que je dis je sais qu’au fond je n’ai pas tort ! Pour eux ils sont dans la norme vu qu’ils ont maison, jardin… mais que font il du spirituel même sans verser dans la religion, les sectes… non pardon de leur spirituel ! Avant d’aller voir ailleurs il faut d’abord s’écouter soi. Je me suis écoutée et mon être me dit que j’ai pas besoin de posséder, de gouverner, d’aimer en possédant, ça leur fait peur tanpis ! J’ai pas besoin d’avoir leur avis et encore moins besoin d’eux, je me contente du minimum en tout. Je suis heureuse d’être ce que je suis et de penser ainsi. Là est l’essentiel.
Bref remets tous ça dans l’ordre pas le goût de relire, et en plus c’est très mal dit et écrit !!! J’adore philosopher même si je sais que ça ne refera pas le monde, mais si je pouvais faire accepter ma façon de penser aux gens sans qu’ils prennet peur et me traitre de barge je veux bien en parler. C’est dit je déteste le conditionnement humain !
Bizzzzzzzzzzzzzzzz et bon week-end ! Florel ou Dieu lol
Bonjour Domi.
Je vois que tu es en plein questionnement. C’est sain et il faut le faire régulièrement sans tomber dans l’obsession bien sûr. Etre et paraître…
bisous
Et tous prêt à venir nous arrêter chez toi
Déposer tous ses bisous venu soleil
Pour te faire un petit coucou.
Et te souhaiter une agréable journée
coucou Dimdam tu vas bien j’espère dsl de me faire rare dans les coms lol , heyyy joli ton décor , ça nous fait pensez au printemps lol , alors quel temps là haut ? ici il rannonce de la neige pour ce week lol , passe une bonne fin de journée et dsl de ma rareté dans les coms lol , bizzzzzzzzzzz du steph
je deviens deplus en plus zen face à l’intolérance, à la haine, à la méchanceté, que le vent d’automne emporte tout tes ennuis.
coucou ma Domi
Bah moi, je ferais plus court que toi !! hihi
Je t’aime comme tu es avec tes qualités et tes défauts !! De toute façon, dis toi bien une chose … Bah personne n’est PARFAIT !!!
J’t’adore
gros poutous
Bien faire et laisser dire: telle est ma devise!
Tu fais bien, alors, laisses dire!
Bon, se remettre en question de temps en temps c’est bien, mais vouloir changer pour les autres, là non !
On est ce que que l’on est, point !
Si tu veux changer pour les autres, tu vas te perdre, tu ne seras plus toi !
Reste comme tu es ! c’est comme ça que l’on t’aime ! les autres ne se remettent jamais en question, alors toi continue ton chemin comme tu es !
Bonne journée
à +
Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
Martine