Elle s’appelle
Et c’est mon amie
Je l’ai connue sur Bloguez.com à mes débuts
Et depuis, on ne s’est plus quittées
Elle m’a donné le goût à la poésie
Même si elle se sous estime dans ce domaine
Pourtant je lui trouve de grandes valeurs
Depuis nous nous sommes rencontrées réellement
Comme j’ai rencontrés beaucoup d’autres
Et elle reste une des seules à ne pas s’être fait influencée
Par ceux et celles qui voulaient me détruire
Et je la remercie !!!
Elle me fait aujourd’hui un cadeau
Celui de participer à mon défi
Sachant au combien j’aime les mots
Alors voici ce qu’elle m’écrit….
Hello Domi
Nous sommes jeudi 10 mars !
Voilà ce que je t’envoie pour ton défi du 9 mars :
Pourquoi nous aimons nos blogs et tous les votres bien sûr .
Le poème offert sera pour moi le plus beau cadeau que l’on m’a offert ,
Plus beau que tous les bijoux , même si j’aime les bijoux…je les garde aussi .
Je pourrai en faire un livre…j’y songe…
Une belle histoire d’amour invoquée en poésie dans notre belle langue française…
Le don du poème pour moi
Lire :
Des extraits de
Jean_MIchel Maulpoix
Qui donne ? Le donateur, c’est-à-dire le poète…
Il se trouve investi d’une fonction éminente :
Donner aux hommes un objet qui est constitué
De leur bien le plus propre et peut-être le plus dangereux : le langage.
A quel titre, de quel droit le peut-il?
Il faut ici ouvrir une parenthèse et rappeler que le poète
Est lui-même présenté par la tradition comme doté ou doué d’un don:
Celui qui précisément consiste à pouvoir composer des poèmes.
Ce don, il le reçoit des dieux, voire, pour chaque texte particulier,
De la muse qui l’inspire.
Et il semble bien que son pouvoir de donner du langage ce qu’on appelle « inspiration »
Soit proportionnel à son élection.
« Les vers sont faits pour être donnés, et qu’en échange on vous donne quelque chose
Qui ressemble à de l’amour. »
La lecture: réception du don.
Ne pourrait-on dire également que la réponse la plus évidente au don du texte n’est
Autre que la lecture?
Au silence de l’écriture s’accorde le silence de la lecture.
Ce sont là deux expériences « réservées » du langage.
Un échange éminemment verbal mais éminemment silencieux,
Dans la distance, dans l’inconnu.
L’accord musical est parfait quand l’écrivain ne connaît pas son lecteur,
Ni celui-ci son auteur.
Alors, l’un se substitue à l’autre…
La lecture est par excellence le moment où s’accomplit l’offrande.
Où le texte est reçu, goûté, apprécié, intériorisé peut-être.
Elle est le moment de la pesée du cadeau,on l’apprécie et de sa pensée,
On le déchiffre, on l’interprète, ce moment ou le langage d’un autre vient
Au contact de notre propre langage.
Le vrai remerciement du lecteur au texte donné est la pensée.
A proprement parler, dans l’écriture et la lecture il n’y a pas d’échange,
Pas de communication.
Mais deux modalités de la solitude comme ouverture à autrui.
D’un côté une solitude ouverte sur un don,celle de l’écrivain,
De l’autre une solitude ouverte
Sur une réception celle du lecteur.
Le don serait finalement cette ouverture même, cette ouverture ou cette clairière,
Sentie comme sortie de soi, accueil de l’autre…
Le texte offert est d’abord cadeau.
Il dit ce qui n’est plus, ce qui n’est pas encore, ce qui ne sera jamais, et,
Le disant, l’écrivant,
Il le rend présent.
Plutôt qu’un poème, on offre son écriture. On offre de son temps,
Celui que l’on a passé à l’écrire.
Le poème vaut moins comme objet que comme acte, surtout pour celui à qui il est destiné,
Qui d’abord en retient le geste, ou l’intention.
Offrir un poème, ce serait peut-être comme offrir un geste, esquisser un geste.
On offre des vers, des rythmes, des images et des rimes,
C’est à dire un univers mesuré et harmonieux.
On ne donne pas une chose, on offre des signes, un ensemble de mots où il est question
De choses et d’autres, dans des mots choisis.
« Le poème, en tant qu’il est, oui, une forme d’apparition du langage,
Et par là, d’essence dialogique,
Le poème peut être une bouteille jetée à la mer, abandonnée à l’espoir
-certes souvent fragile- qu’elle pourra un jour, quelque part,
Etre recueillie sur une plage,
Sur la plage du coeur peut-être.
Les poèmes, en ce sens également, sont en chemin :
Ils font route vers quelque chose.
Vers quoi?
Vers quelque lieu ouvert, à occuper,
Vers un toi invocable, vers une réalité à invoquer. »
Des extraits de
Jean-MIchel Maulpoix
des mots receuillis sur la plage du coeur……c’est magnifique….
bisous gros…
Sympa, ton amie …
Je te souhaite un bon week-end, malgré la pluie annoncée ….
Bisoux +$$$
Gloupsss ! J’ai une boule coincée dans ma gorge …je vais boire un coup !
Merci pour ce feu d’artifice!
Merci à toi pour tes mots poétiques lancés aux quatre horizons éveillant les âmes.
Je t’allume un beau soleil pour ce week end ….profites en bien… Bisous !
C’est beau d’échanger des mots comme ça. Bravo pour votre amitié. @ bientôt ! Bisous
Une blogueuse m’a fait découvrir le haiku, écriture spéciale de poème chinois.
Tu devrais essayer.
Bonne journée,
Clics de Vie
Coucou ma Domi
ça te fera du bien de passer un week-end au calme .
Je t’oublie pas pour l’horloge les aiguilles sont faîtes c’est juste que j’avais pas les yeux en face des trous pour centrer le saiguilles lool.
Passe un bon week-end et gros bisoux ma Domi
Bonjour ma belle,
Je connais son blog, j’y passe et je vote pour elle aussi bien sûr.
Elle a un très beau blog.
C’est un amour cette fille. Je ne suis pas étonnée qu’elle soit ton amie, qui se ressemble s’assemble !
Bon week-end et longue vie à vos blogs.
Bisous doux.
Vous avez toutes les deux ce don de la magie des mots et aussi le don de l’amitié sans compter , c’est merveilleux.
Bisous à toutes les deux
Corinne
C’est un très beau texte et une belle amitié !
Bisous gros
Mouffles
Petit bonjour M’dame !
J’espère que tu vas bien et que tu as le beau tyemps. Que c’est bien le printemps !!!
Bon WE, reste sage lol
Gros bisous.
Moi
je recois ce texte avec plaisirs et je le lis en pensant à toi Domi !
Je passe te souhaiter un bon dimanche.
J’aime la musique de petite fille, elle te va bien…
Bisous doux.
Bonsoir +5
Le bonheur!!!!!
Le bonheur est comme un papillon
Que l’ on poursuit
Sans jamais pouvoir l’ attraper
Et puis un jour Le souffle court
On est assis
Et doucement le papillon
Sur notre épaule vient se poser
Et toi que je regarde au fond des yeux
J’y vois des milliers de gouttes d’ or
C’est le reflet des ailes multicolores
De ce papillon si merveilleux
Que l’ on appelle le bonheur
Et qui habille le c�ur
Des gens qu’ on dit heureux
Le bonheur est comme un papillon
Que l’ ou pour suit
Sans jamais pouvoir l’ attraper
Et puis un jour
le souffle court
On est assis
Et doucement le papillon
Sur notre épaule vient se poser ……
Passe une bonne soirée
toujours pas de nouvelles de Laolita , je ne sais pas
Faire un Livre des bijoux que tu aimes ? Tu n’y penses pas ! Ca ternirait leur éclat d’être refermés l’un sur l’autre …..!
……….. Bref, plein de bijoux pour toi !
Un superbe texte vraiment très intéressant et son style imagé lui insuffle un air agréable. Les amis sont très importants, les vrais amis vous accompagnent dans les bons et les mauvais moments. Les amis vous apprennent de nombreuses choses et dans le monde virtuel, l´échange amical nous ouvre une mine d´informations. Bonne journée Domi. Tu es une grande amie. Ismeralda